Après un premier documentaire sur le Tango (« My walking is my dancing, my dancing is my walking »), réalisé en suivant durant une année des danseurs amateurs, Erika Réault, auteur et réalisatrice, élabore un webdocumentaire sponsorisé par Lartino. Lartino : Bonjour Erika, peux-tu nous présenter en quelques mots le webdoc ? Erika : Bonjour l’équipe Lartino et ses membres, « Seeing Something Happen » est un webdocumentaire sur la danse et qui sera ensuite décliné en film documentaire (52′). Il sera construit autour d’interviews de danseurs professionnels et amateurs qui mettront en avant leurs perceptions, leurs ressentis. Des théoriciens seront également invités à présenter leur regard sur la danse. Par ailleurs, des scènes de danse, nourries de cet ensemble de visions subjectives, prendra une place importante dans le documentaire. Nous partons d’une question en apparence très simple : qu’est-ce que la danse ? Elle sera la clé qui nous permettra d’accéder en profondeur à d’autres champs sémantiques très liés réciproquement à la danse comme celui du corps, du mouvement, du geste, du rythme, du temps, de l’espace, etc. Avec cette question et la réponse que nous souhaitons y donner, il ne s’agit pas de donner une seule définition, une seule vision ou une  » certaine vérité  » de la danse, mais d’arpenter, de cartographier l’ensemble des éléments qui nous aideront à mieux la saisir, la comprendre. Pourquoi as-tu choisi ce titre ? « Seeing Something Happen » est une phrase reprise dans un texte de Georges Didi-Humerman, Le Danseur des solitudes où il parle du grand danseur espagnol Israel Galván. Selon Didi-Huberman, Edwin Denby  » proposait de fonder toute appréciation de la danse sur notre capacité à savoir regarder les gens du commun lorsqu’ils marchent dans la rue et, alors, de  » voir s’il arrive quelque chose  » (seeing something happen) ou pas.   Cette capacité à voir s’il arrive quelque chose est la condition obligatoire pour que la danse est lieu, d’ailleurs pour que tout art puisse exister. Pourquoi un documentaire sur la danse ? Au-delà de l’engouement que nous sentons tous actuellement pour la danse et le grand plaisir que nous éprouvons en la pratiquant, en devenant quelqu’un d’autre, en étant avec les autres ; il nous semble qu’en cherchant à la comprendre nous pourrons en même temps découvrir, comprendre notre propre existence. La danse est un de meilleurs moyens pour parler de nous-mêmes. Pour les membres intéressés par le projet, qui contacter ? Nous allons démarrer une première phase dès début avril sur Paris en rencontrant des danseurs et théoriciens mais également des contributeurs. J’en profite pour lancer un appel aux membres de la communauté Lartino, nous recherchons actuellement un graphiste pour la réalisation d’un logo, tout centre de danse, association ou danseurs souhaitant partager leur expérience et leur pratique professionnelle ou amateur. Pour me contacter : webdoc-ssh@lartino.fr Merci Erika. Merci et à très bientôt pour la suite !

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Les 14 et 15 mai prochains aura lieu le 6e salon de la BD et des Arts graphiques de Roubaix. Créé en 2006 et dédié à l’univers de la Bande Dessinée et de l’animation, ce salon émane d’une volonté de rassembler un large public autour du 9e art et de récolter des fonds, destinés à des associations caritatives. À l’initiative du Furet du Nord, du Lions Club et de la Mairie de Roubaix, ce festival prend un peu plus d’ampleur chaque année. Pour la première fois, Ankama (Dofus, Wakfu…) dont la réputation n’est plus à faire, est partenaire du salon. Le festival accueillera une cinquantaine d’auteurs en dédicaces, dont plusieurs têtes d’affiches, notamment Turf, parrain de cette édition, auteur de la Nef des Fous et aussi concepteur de l’affiche. Il y aura également Lucien De Gieter auteur de Papyrus, Fabrice Le Hénanff auteur de H.H Holmes, Les Caméléons, Foerster auteur de Gueule de bois, Silex Files et auteur phare de Fluide Glacial, Eric Arnoux auteur de Sophaletta, Witness, Timon des blés, les ailes décapitées, Philippe Matter auteur de Mini-Loup ou encore Bill et Gobi auteurs de Zblucops. Notons que la dernière édition a fait près de 5000 entrées !

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Chaque année depuis 1974, le Festival International de la Bande Dessinée prouve combien le «neuvième art» compte parmi les formes d’expression les plus vivantes et créatives de son temps. La 36ème édition du festival d’Angoulême se déroulera du 29 janvier au 1er février 2009. Rendez-vous annuel de toute une profession, bien au-delà des seules frontières françaises, le Festival international de la bande dessinée est l’occasion de mettre en place à Angoulême, quatre jours durant, ce qui constitue vraisemblablement la plus grande librairie de bande dessinée du monde. Les grands atouts du Festival, en la matière, sont évidemment la diversité et la complémentarité. Nulle part ailleurs, sans doute, on ne trouve réunis sur un même site un tel éventail d’acteurs de l’édition de bande dessinée, des grands groupes européens qui constituent l’ossature du secteur jusqu’aux plus modestes des jeunes éditeurs. Composé de 10 Prix dénommés les « Essentiels », le Palmarès Officiel du Festival international de la bande dessinée sera, quant à lui, décerné à Angoulême le dimanche 1er février 2009, dernier jour de la 36e édition du Festival.Il récompensera des albums publiés entre décembre 2007 et novembre 2008 en langue française, quels que soient leurs pays d’origine.Ces Essentiels seront attribués par plusieurs jurys, et désignés par ces jurys au sein de trois listes spécifiques d’ouvrages présélectionnés, listes établies au fil de l’année 2008 par un Comité de sélection réuni par le Festival.Ces trois sélections réunissent l’ensemble des albums en compétition, soit un total de 84 livres. Actualités, expositions, rencontres … pour tout savoir sur ces 4 jours rendez-vous sur le site officiel du festival.

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L’association Artistes à la Bastille propose une nouvelle exposition intitulée « Hybrides » qui a lieu du 30 novembre au 3 décembre 2017 à l’Espace Commines Paris 3e, à laquelle sont conviés une vingtaine d’artistes de l’Asociacion Artistas Plasticos Goya Aragon ». Durant cette exposition-événement, 60 artistes parisiens et 20 artistes espagnols invités aborderont ce thème d’actualité, l’hybridation est à la mode, réputée créatrice dans de nombreux domaines : les technologies avancées, la décoration, la science, et même la politique ! Le postulat étant qu’en croisant des idées ou des éléments existants, on peut aboutir à quelque chose de réellement différent et d’assurément meilleur. En art, la pratique n’est pas nouvelle : des animaux fantastiques du Moyen Âge aux expériences surréalistes, de Jérôme Bosch à Jules Verne, les exemples ne manquent pas. Mais à l’ère des images de synthèses, des OGM et des prothèses bioniques, que peuvent les artistes aujourd’hui ? Ce thème est une invite à chercher des formes issues d’univers différents, des styles des matériaux et des couleurs qui exprimeront la joie du mélange, le croisement des contraires et les correspondances les plus surprenantes. Comme des ouvertures à la rêverie ou à la réflexion sur notre monde. Invités dans le cadre d’un échange,  les 20 artistes espagnols d »Asociacion Artistas Plasticos Goya Aragon » font partie d’un collectif de 500 artistes existant depuis 1977, porteur de principes démocratiques et animé du souci de défendre les droits des artistes. La région d’Aragon, terre d’artistes, a vu naître en 1947 le mouvement artistique d’abstraction «Groupe El Portico», et pendant la dictature, l’avant-garde de l’abstraction en Espagne.  D’autres grands artistes, comme Francisco Goya, Antonio Saura, ou Jose Manuel Viola ont apporté une lumière artistique à cette région. Les 80 artistes participants réaliseront 2 petits formats en plus de leurs œuvres exposées sur le thème. Le premier sera mis aux enchères le soir du vernissage au cours d’une vente ludique animée par un comédien, le second sera proposé à la vente dans un espace dédié installé en mezzanine. Informations pratiques : Vernissage de l’exposition : Jeudi 30 novembre à partir de 18h Adresse : Espace Commines. 17 rue Commines 75003 Paris / Métro ligne 8 : Filles du Calvaire, bus 96

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Pierre-Philippe Côté, aka Peter Henry Phillips, est un jeune auteur-compositeur-interprète multi-instrumentiste qui a fait ses débuts en tant que musicien aux côtés de nombreux artistes québécois. Mieux connu sous le nom de “Pilou”, il a accompagné Ariane Moffatt, Jorane, Elisapie, Lewis Furey… Pierre-Philippe est un artiste aux multiples talents, convoité et constamment en création. En 2008 « Pilou » rencontre Maxime Morin, aka DJ Champion, qui décide de le recruter pour son album Resistance. Il participe à l’enregistrement de plusieurs titres de l’album, dont la chanson Alive Again qui s’est hissé tout en haut des palmarès radiophoniques canadiens, ainsi qu’à la tournée pan-canadienne qui accompagne la sortie de l’album. Parallèlement, il se fait connaître d’un public plus large en interprétant “la chanson vinyle” sur  l’émission TV hebdomadaire « Belle & Bum ».Mais à force de travailler sur les compositions et arrangements de ses propres titres, Pilou se  découvre un savoir-faire de réalisateur et de producteur. Il crée donc son propre studio, le nid, à St Adrien en Estrie, près d’Abestos, son village natal (entre Montréal, Québec, trois rivières et Sherbrooke).Au fil des années, il assure ce rôle auprès de Marie-Jo Thério (Chasing Lydie), Philippe Brach (La foire et l’ordre), David Giguère (Hisser haut), Sébastien Lacombe (Territoires), Ines Talbi (Boarding Gate) ou Fanny Bloom (Solo) ce qui lui vaudra de nombreuses récompenses. Mais Pilou a d’autres cordes à son arc et écrit également pour le cinéma et la télévision. Il signe ainsi la musique du « règne de la beauté » le dernier film de Denys Arcand (Le déclin de l’empire américain, Les invasions barbares…), celle de la série française Deux flics sur les docks avec Bruno solo diffusée sur France 2 et produite par TGV/Zodiak média (Versailles), celle de la série l’accident (pour laquelle Dreamcatcher, un des titres de son album figure au générique) qui sera diffusée sur France 3 en fin d’année 2016 et est pressenti pour signer la BO du premier film de la jeune actrice/réalisatrice Quinn Shephard (Harrison’s flowers, Otages…) protégée du festival Sundance.2015. Le temps est venu pour Pilou de se concentrer sur son projet solo, sous le nom de Peter Henry Phillips, et de présenter son premier album.Paru fin 2015 au Canada, « The Origin » est unanimement salué par les médias. Nominé au GAMIC dans la catégorie « album folk de l’année », l’album sort en France en janvier 2017.

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ØCTAV est l’arc électrique entre Victor et Manue, le pont entre leurs émotions, un lien entre ici et ailleurs, une entité qu’on a très envie d’aimer. ØCTAV nous raconte des histoires, les siennes ou les nôtres, allez savoir ! Et si on lui demandait ce qu’il fait, ØCTAV nous répondrait : « de l’électro-pop spatiale ». ØCTAV est une planèteUne planète filante, ici le matin mais déjà là-bas le soir – et peut-être même aux deux endroits en même temps. Ubiquité, pluralité. Quand on écoute ØCTAV, on a envie de conduire la nuit et de tendre les bras vers les étoiles. Toucher son univers, le ciel, le mystère. En les sélectionnant pour Les Inrocks Lab, l’hebdo écrit que le « duoélectro-pop risque de secouer le microcosme indie français ». Il faut dire qu’ØCTAV surprend en mode crescendo. Musique pure et ciselée, paroles imagées… mettez un casque et vous verrez le clip qu’il n’a même pas eu le temps d’imaginer. Un ton qui rappelle le meilleur, le plus classe de la variété des années 60/80, avec ce qu’ilfaut de distance et d’espièglerie. ØCTAV est une fusionUn musicien et une chanteuse qui ne peuvent pas vivre sans musique et passent des heures à voir des films. Chacun partage ses goûts, ses sons, ses images… Deux univers qui finissent par en former un troisième, celui d’ØCTAV, qui nous invite à les rejoindre. Sa musique est ludique, joue avec nos souvenirs et donne envie de bouger… même quand l’histoire n’est pas si légère qu’elle en a l’air. Le rythme reste en tête, les paroles aussi, faisant mentir ceux qui disent que la langue française s’adapte mal à la musique. Sur scène, Victor et Manue sont connectés, reliés par un fil invisible, une énergie explosive, positive.

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Chaque année en juin, le Centre chorégraphique national de Tours vous donne rendez-vous avec son festival Tours d’Horizons. Organisé en partenariat avec de nombreuses scènes de la Ville de Tours et du territoire, Tours d’Horizons est un véritable espace d’observation de l’étendue et de la richesse de l’art chorégraphique. Imaginée à travers une thématique nouvelle, cette quatrième édition déploie les liens subtils qui unissent la danse aux partitions. Restez à l’affût, certains artistes viendront danser là où vous vous y attendez le moins… – Mardi 9 juin 19h > Espace Malraux Maguy Marin, Rencontre (ANNULÉE) Maguy Marin, artiste incontournable de la danse contemporaine, nous fait le plaisir de revenir sur son parcours et d’évoquer les deux pièces qu’elle présente cette année au festival. – Mardi 9 juin 20h30 > Espace Malraux (en co-accueil) Maguy Marin, May B (1981) Inspirée de l’œuvre de Beckett, cette pièce créée il y a plus de trente ans traverse le temps sans jamais perdre de sa force. Sur scène, dix interprètes aux visages blafards nous plongent dans un réalisme à la fois drôle et inquiétant. Immanquable ! – Mercredi 10 juin & Jeudi 11 juin 19h > CCNT Thomas Lebrun / Atelier chorégraphique du CCNT & Étudiants du CRR Francis Poulenc de Tours, Loops (création amateurs) Abderzak Houmi / Razy Essid, La Tête à l’Envers – extrait (2014) Sur des partitions de musiques répétitives, deux groupes de danseurs amateurs, de tout âge et de tout niveau, présentent une nouvelle création de Thomas Lebrun. Razy Essid danse quant à lui sur la voix de l’une des cantatrices les plus célèbres, La Callas. – Mercredi 10 juin21h > La Pléiade Christine Jouve, Mes yeux voient à hauteur de racines, Léonard Rainis, minimal, Guesch Patti, Dans le temps (3 commandes/3 créations) Christina Chan, Between (2014) Cette soirée inédite réunit trois chorégraphes français et une jeune artiste de Singapour autour d’œuvres musicales minimalistes américaines. – Jeudi 11 juin 21h > Théâtre Olympia Maguy Marin, BiT (2014) Au rythme d’une bande-son techno, puissante et entêtante, six danseurs explorent, entre danses traditionnelles et danses macabres, la question du rythme et celle de l’existence. Une expérience percutante ! – Vendredi 12 juin 19h > Salle Thélème Raimund Hoghe, L’après-midi (2008) Ce solo écrit pour Emmanuel Eggermont, en hommage à Nijinski et Debussy, nous transporte dans un univers poétique, empreint d’une mélancolie douce et secrète. – Vendredi 12 juin 21h > CCNT Marco Berrettini, iFeel2 (2012) Sur les notes électro-pop expérimentales du groupe Summer Music, Marco Berrettini et Marie-Caroline Hominal se livrent avec humour à un pas de deux hypnotique, proche d’une transe philosophique. – Samedi 13 juin 14h15 > Les Cinémas Studio Jean-Michel Plouchard / Odile DubocTrois boléros (2007) Trois boléros : trois visions chorégraphiques du Boléro de Ravel, imaginées à partir de trois versions musicales de l’œuvre la plus diffusée au monde. Toute en nuances et ralentis, cette pièce majeure d’Odile Duboc laisse respirer la danse, la musique et l’interprète. – Samedi 13 juin 17h > Petit Faucheux Bérangère Fournier & Samuel Faccioli,

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Le 16 novembre prochain ouvrira à Paris le premier musée mondial dédié à « l’entertainement ». « Art Ludique, le musée » accueillera une exposition dédiée au géant de l’animation, Pixar. Les Docks, ce site au coeur de Paris qui accueille déjà la Cité de la Mode et du Design sur les bords de Seine dans le 13e arrondissement, accueillera à partir du mois de novembre, le premier musée consacré à l’animation, le manga, le jeu vidéo, la bande dessinée ou encore au cinéma. Baptisé « Art Ludique : le musée », ce lieu a été conçu et imaginé par Jean-Jacques et Diane Launier, déjà propriétaire de la galerie Arludik, première galerie au monde à exposer et vendre des objets issus de la BD, des mangas, du jeu vidéo ou du cinéma d’animation. Pour son ouverture, le musée proposera l’exposition « Pixar, 25 ans d’animation ». Plus de 500 œuvres seront ainsi exposées du 16 novembre 2013 au 2 mars 2014. Infos pratiques : Art Ludique, Le Musée Les Docks – Cité de la Mode et du Design 34 quai d’Austerlitz 75013 Paris

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Ce jeudi matin, Thierry Frémont, délégué général du festival, a dévoilé la sélection du 66e Festival de Cannes , qui se tiendra du 15 au 26 mai. La sélection du 66e Festival de Cannes , qui se tiendra du 15 au 26 mai, a été dévoilée ce matin. Audrey Tautou  a été choisie pour présenter les cérémonies d’ouverture et de clôture. Le jury sera présidé par le réalisateur et producteur  Steven Spielberg. Films en compétition pour la Palme d’Or THE IMMIGRANT de James GRAY GRISGRIS de Mahamat-Saleh HAROUN HELI de Amat ESCALANTE TIAN ZHU DING de JIA Zhangke SOSHITE CHICHI NI NARU de KORE-EDA Hirokazu LA VIE D’ADELE de Abdellatif KECHICHE WARA NO TATE de Takashi MIIKE JEUNE ET JOLIE de François OZON NEBRASKA de Alexander PAYNE LA VENUS A LA FOURRURE de Roman POLANSKI BEHIND THE CANDELABRA de Steven SODERBERGH LA GRANDE BELLEZZA de Paolo SORRENTINO BORGMAN de Alex VAN WARMERDAM ONLY GOD FORGIVES de Nicolas WINDING REFN JIMMY P. de Arnaud DESPLECHIN MICHAEL KOHLHAAS de Arnaud DESPALLIERES INSIDE LLEWYN DAVIS de Ethan COEN, Joel COEN UN CHATEAU EN ITALIE de Valeria BRUNI-TEDESCHI Catégorie Un Certain Regard GRAND CENTRAL de Rebecca Zlotowski SARAH PRÉFÈRE LA COURSE de Chloé ROBICHAUD ANONYMOUS de Mohammad RASOULOF LA JAULA DE ORO de Diego QUEMADA-DIEZ L’IMAGE MANQUANTE de Rithy PANH BENDS de Flora LAU L’INCONNU DU LAC d’Alain GUIRAUDIE MIELE de Valeria GOLINO AS I LAY DYING de James FRANCO NORTE, HANGGANAN NG KASAYSAYAN de Lav DIAZ LES SALAUDS de Claire DENIS FRUITVALE STATION de Ryan COOGLER DEATH MARCH de Adolfo ALIX JR. OMAR de Hany ABU-ASSAD Films hors compétition BLOOD TIES de Guillaume CANET ALL IS LOST de J.C CHANDOR

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Le film la Cité Rose de Julien Abraham avec Azize Diabate Abdoulaye, Idrissa Diabaté, Ibrahim Koma sorti le 27 mars 2013 a enregistré plus de 100 000 spectateurs. Synopsis: « Mitraillette » a 12 ans. Il vit à la Cité Rose, sa cité qu’il ne quitterait pour rien au monde. Son univers, c’est sa famille : Isma, son cousin de 16 ans, qui admire Narcisse, le caïd du quartier et prend un mauvais chemin. Son grand frère, Djibril, 22 ans, étudiant à La Sorbonne et qui rêve de devenir avocat. Mitraillette, lui, aimerait juste sortir avec Océane, la plus belle fille du collège… Leurs destins sont liés, au sein d’un quartier, au coeur de ses tours où les rêves, parfois, se payent cash.

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