Le choix d’un cadeau original à offrir pour une naissance n’est pas évident. Cela passe souvent par une étude approfondie des besoins de l’enfant. A la naissance, il n’est pas encore conscient de ses besoins ni des jouets qu’il préfère. Au fil de sa croissance, il découvrira petit à petit le goût de la vie et de l’enfance. Quel cadeau lui offrir alors ? Offrir un cadeau pratique Un ange vient de naître et justement, c’est une belle occasion d’offrir des cadeaux pour la maman ou pour le petit ange. Cependant, il faut avant tout penser au bien-être du petit et à son épanouissement. Il existe tout un tas d’idées de cadeaux que l’on peut envisager, mais il faut tout de même penser à quelque chose de pratique. Un oreiller en peluche par exemple servira à la fois d’oreiller et de peluche. Non seulement, il deviendra le meilleur compagnon du petit mais il lui fournira aussi un grand confort au lit. Il est important de fournir un nid douillet au petit ange pour qu’il puisse bien dormir la nuit sans se réveiller par un mal de dos ou de cou. Outre la peluche oreiller, on peut aussi lui offrir un sac de couchage en forme d’animal comme un poisson ou une veilleuse en forme d’animal. Ou alors, de tétines Bibs. Offrir un cadeau ludique Comme il s’agit bien d’un bébé, il faut lui fournir des câlins en permanence, un jouet sur qui il va se défouler quand il n’est pas content. Un jouet peut aussi le distraire et l’aider à se calmer durant les périodes de crises. Un cadeau ludique est indispensable pour l’accompagner tout au long de son enfance. On peut citer en premier lieu l’arche d’éveil qui l’aidera à s’endormir. Il y a aussi Sophie la girafe, une petite peluche sympathique faite de caoutchouc. Les peluches géantes s’invitent également. Pour attirer l’attention du bébé, il lui faut quelques choses de grand et de chaleureux comme une peluche en lapin ou un autre animal. D’autres idées sont envisageables comme un doudou, une boîte à musique ou un jouet d’éveil qui bouge, qui chante ou qui parle. Offrir un cadeau déco de la chambre Pour sublimer la chambre du bébé et pour qu’il reconnaisse facilement son environnement personnel, on peut lui offrir des articles de décoration. Par exemple, une arche d’éveil, une guirlande insolite et un tapis en forme d’animal. Tous les accessoires déco qui mettent en avant l’univers de l’enfance sont les bienvenus dans sa chambre. Les cadres photo, les veilleuses, les tapis, les rideaux de berceau et les toiles permettent de rehausser la décoration de sa chambre et apporter un peu de caractère à son espace. Le choix d’un cadeau original permet de donner de la valeur à la naissance d’un être cher. Plus ces cadeaux sont valeureux, le petit ange saura à quel point il est aussi précieux pour vous.

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La première édition du Festival de Paris débutera le 9 juin et prendra fin le 29 juin. Plusieurs concerts de musique classique sont prévus dans des lieux emblématiques de la capitale française. Un nouveau festival vient s’ajouter à la longue liste de ceux proposés à Paris. Baptisé « le Festival de Paris », ce nouveau rendez-vous proposera cinq concerts de musique classique au Petit Palais, à la Sainte-Chapelle, à la Tour Eiffel… Le premier concert du festival aura lieu premier étage de la Tour Eiffel avec Patricia Petibon, l’une des chanteuses lyriques françaises les plus en vue du moment. Les places sont proposées à des prix raisonnables, entre 15 et 60 euros, pour « attirer aussi bien les mélomanes que les néophytes », expliquent les organisateurs. Outre Patricia Petibon, le pianiste David Fray sera à la Mairie du IVème, la jeune soprano allemande Regula Mühlemann au Musée de la Vie Romantique (9ème arrondissement), le chœur de chambre Les Cris de Paris au Petit Palais et le contreténor anglais Tim Mead à la Sainte Chapelle. La programmation complète est à retrouver sur le site internet du festival.

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La 54e édition de la Foire Internationale de la Photo à Bièvres, organisée par le Photoclub Paris Val-de-Bièvre en collaboration avec la commune de Bièvres, aura lieu cette année les 3 et 4 juin prochains. La photo est plurielle : technique, art, elle se décline de mille façons. Elle s’adapte, compose, évolue au fil du temps, toujours en phase avec son époque et dialoguant avec ses origines. Véritable institution pour tous les amateurs et passionnés de photo, les collectionneurs à la recherche de l’objet photographique rare, la Foire internationale de la Photo à Bièvres demeure, depuis plus de 50 ans, l’un des plus grands marchés de l’occasion et des antiquités photographiques d’Europe. Ce marché ne constitue d’ailleurs pas son seul attrait puisque expositions, conférences, animations, ateliers, signatures et marché des artistes viennent étayer cette véritable fête de la photographie. Depuis quelques années, la Foire innove, se rapproche des nouvelles technologies et s’intéresse à la jeune création. Pépites anciennes ou plus récentes Imaginez deux hectares entièrement dédiés à la photographie. Cette année encore, plus de 200 exposants ont répondu présents pour participer à cet événement international. Le marché de l’occasion et des antiquités photographiques proposera des boîtiers, filtres, objectifs, trépieds mais aussi des objets qui peuvent paraître étranges aux néophytes : photosphères, lanternes magiques, chambres de voyage, stéréoscopes. Les affiches et les caméras de cinéma, livres rares, photos anciennes, objets publicitaires viennent compléter cet inventaire à la Prévert. Les appareils argentiques, pellicules, papier photographique et autres accessoires comblent toujours les photographes amateurs ou professionnels. Des appareils numériques d’occasion sont également proposés. Une rétrospective des œuvres d’Isabel Muñoz au travers d’extraits de différentes séries emblématiques Photographe espagnole, Isabel Muñoz, a reçu, en 2016, le prix national de la photographie du ministère espagnol de la culture. Commencées au Foto Centro de Madrid, ses études photographiques l’ont conduite ensuite aux États-Unis pour maîtriser différentes techniques photographiques, notamment les procédés anciens dont elle est une grande spécialiste. Ses tirages au platine sur papier albumine sont d’une grande subtilité et délicatesse, cependant l’artiste travaille aussi en couleurs. Des danseurs de tango et de flamenco aux ethnies guerrières d’Éthiopie, des portraits des Maras, les membres de gangs du Salvador, aux adeptes d’une confrérie religieuse en Irak, sa photographie est centrée sur l’être humain, entre sensualité et paraître, entre intimité et communauté. Elle sait capter les chairs, les formes, les postures, mais aussi les codes, les signes et les rituels de communautés. Elle explore l’univers des corps en action, en mouvement, au travers de la danse, de la lutte, des arts martiaux, de la tauromachie. Elle travaille tout autant sur les corps mis en scène, sublimés, peints, parés, scarifiés, tatoués, des corps sociaux. Exposition de Christian Izorce, une journée à Dapelogo, Pogbi ou la scolarisation des jeunes filles au Burkina Faso : un projet qui s’inscrit dans la tradition du reportage humaniste, véritable leçon de vie. Les 10e Rencontres de Bièvres (conférences, débats et démonstrations sur la photographie) accueilleront des invités prestigieux parmi lesquels Jean-Christophe Béchet (le livre

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« The Art Of Chopin » c’est un disque et un court métrage avec un message fort, une lumière d’espoir véhiculée par la musique. Qui est Elizabeth Sombart ? Une pianiste au talent fou…une discographie époustouflante ! Tout commence pour elle à l’âge de sept ans, au Conservatoire de Strasbourg, quand elle est bouleversée par l’émotion que la musique lui offre. Puis s’enchaineront dès ses onze ans des concerts en public. Elizabeth Sombart connaît un parcours musical exceptionnel à travers le monde. À Paris, elle rencontre Bruno Leonardo Gelber, lequel l’invite à poursuivre sa formation à Buenos Aires avec lui et sa mère. C’est ensuite en Autriche, à Vienne, qu’Elizabeth Sombart se perfectionne grâce aux conseils de la pianiste Hilde Langer-Rühl. Son périple la conduit ensuite vers Peter Feuchtwanger, à Londres. Enfin, une étape décisive l’attend lorsqu’elle rencontre le chef d’orchestre Sergiu Celibidache. Grâce au grand maître et pendant une dizaine d’années, à Mayence et à Paris, elle accède à son enseignement unique: la phénoménologie de la musique. C’est pour elle un aboutissement. Cela constitue même une forme de révélation, si bien qu’Elizabeth Sombart, à son tour, souhaitera en partager la richesse avec le plus grand nombre en créant une Fondation. “La grâce passe par la musique. Transmettre ce moment de fraternité et d’émotion pure permet à l’être humain de s’élever au dessus de sa condition. Ce temps musical de partage éveille en tous une émotion universelle ; il ouvre les cœurs, brise les chaînes, permet l’oubli de la douleur du moment’’. Fondation Résonnance Animée par le désir de rendre accessible la musique classique aux plus défavorisés et d’enseigner sa pédagogie, elle crée effectivement la Fondation Résonnance en 1998 grâce à laquelle plus de cinq cents concerts sont offerts chaque année dans les lieux de solidarité tels que les prisons, les orphelinats, les établissements médico-sociaux, les hôpitaux ou les instituts accueillant des personnes handicapées et les camps de réfugiés. Sa pédagogie Résonnance y est enseignée, à savoir la phénoménologie du son et du geste, fruit de l’enseignement de Sergiu Celibidache et de Hilde Langer –Rühl, pédagogie qu’elle a développé durant vingt ans avec Jordi Mora et tous les professeurs de Résonnance. Des écoles de piano gratuites sont ouvertes dans les sept pays où œuvre désormais Résonnance, à savoir la Suisse, la France, l’Italie, la Belgique, la Roumanie, l’Espagne et le Liban dans l’esprit qu’Elizabeth Sombart décrit :« S’oublier soi-même pour servir et offrir la musique plutôt que l’utiliser pour se servir ».  Après s’être consacrée pendant vingt-cinq ans à la formation de pianistes lors de masterclass proposées à la Fondation, ainsi que dans les universités et les hautes écoles de musique, dans les sept pays des filiales, Elizabeth Sombart propose à Résonnance dès 2014 des masterclass de piano, de chant, de musique de chambre, d’improvisation et de direction d’orchestre, cela en collaboration avec Jordi Mora qui en est le doyen.En plus de la formation à la Pédagogie Résonnance, la possibilité de réaliser des tournées de concerts solidaires dans les diverses filiales de la Fondation est offerte aux participants créant ainsi

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Le festival les Traver’Cé se déroulera le weekend du 4 et 5 juillet aux Ponts de Cé dans les douves du château, site classé par l’Unesco. Ce festival de musique est totalement gratuit. De nombreux artistes feront le déplacement pour faire vivre un moment de convivialité et de partage aux festivaliers. Ce festival a pour but de mettre en valeur les différentes cultures musicales en France et dans le monde. Le festival les Traver’Cé soutient les créations musicales nées entre des musiciens de différentes nationalités. Chacun d’entre eux apportent ses sonorités, son héritage et ses influences pour créer un mélange de styles et de cultures. La ville des Ponts de Cé, à côté d’Angers, s’affirme comme carrefour des rencontres musicales entre les cultures du nord et celle du sud de la Loire. Le chapiteau peut accueillir jusqu’à 2500 personnes et est installé dans les douves du château du Roi René d’Anjou près de la Loire. De nombreux hôtels se tiennent prêts à accueillir les touristes. Demandez le programme Le festival ouvrira ses portes le samedi 4 juillet à partir de 18h avec le concert de Djeli Moussa Condé dont les influences sont blues, jazz et flamenco. Puis se succédera à 20h30 le groupe LA-33 originaire de Colombie. Il vous fera danser sur des rythmes de salsa. Enfin à 22h45, le groupe Zenzile proposera de la musique Dub électro. Des fanfares sont aussi prévues dans les quartiers avec Fanfaraï (Maghreb) le samedi et Les Skroks le dimanche. Le festival reprend le lendemain à 16h avec Grèn Sémé de La Réunion qui interprétera du jazz, suivi par Les noces gitanes à 18h avec de la musique typiquement flamenco gipsy. Enfin le festival les Traver’Cé se terminera à 20h avec André Manoukian (auteur-compositeur et juré de la Nouvelle star) et Malia qui interpréteront du jazz. De nombreuses animations pour petits et grands sont également prévues. André Manoukian et Malia Voilà déjà une dizaine d’années que ces deux artistes collaborent ensemble. Ils ont sorti 3 albums et s’apprêtent à monter sur scène lors du festival des Ponts de Cé. Principalement connu comme juré de la Nouvelle Star, André Manoukian a aussi travaillé avec de nombreux artistes et fait de la musique depuis l’âge 5 ans. Les festivaliers pourront dont finir ce festival par une ambiance très jazzy. L’hôtel Les 3 lieux propose des chambres pour les touristes qui souhaitent profiter du festival et de la beauté des lieux. Vous pouvez également profiter du restaurant gastronomique et d’un espace bien-être pour vous remettre des concerts auxquels vous assisterez.

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A Paris un garçon rêveur, la trentaine et le cheveu coiffé new-wave, reprend la relève de la pop anglaise des années 80. Influencé par Cure, Depeche Mode, Siouxsie, The XX, les Smiths, My Bloody Valentine, Dear Eyes dévoile un premier EP vaporeux, aux synthés addictifs que l’on découvre avec le premier extrait Etretat. Happy Sad, le premier Ep de Dear Eyes travaille les ambiances, les nuances. De la pop teintée d’électronique cotonneuse, qui fait dans le clair-obscur lumineux. Minimalistes, sensuelles et attachantes, les chansons de Dear Eyes vous regardent droit dans les yeux et parlent au cœur. A la fois aérien et lyrique, épuré et élégiaque, son premier EP « Happy Sad » fait honneur à son titre et s’écoute paupières closes. De la pop teintée d’électronique cotonneuse, qui fait dans le clair-obscur lumineux. La différence entre la tristesse et la mélancolie, c’est que cette dernière est un mélange de vague à l’âme et de joie. Derrière le noir, la lumière, comme les disques de pop anglaises des 80’s savaient si bien le faire. A Paris un garçon rêveur, la trentaine et le cheveu coiffé new-wave, reprend la relève. Ado, Dear Eyes, fils unique, a dû sécher pas mal les cours, les planches de skate et les filles pour s’enfermer seul dans sa chambre avec guitare, Bontempi, micro à mousse orange et idées sombres. Aujourd’hui, il en fait des chansons. Influencé par Cure, Depeche Mode, Siouxsie, The XX, les Smiths, My Bloody Valentine, Ride, Neil Young, le Velvet Underground, New Order ou encore Bowie. Il a conservé des ancêtres un certain sens de l’expérimentation poétique, de la mélodie et des climats. Mais il a su se faire sa place, singulière. Des synthés, des guitares, une voix qui touche, quelques boîtes à rythme évoquent une adolescence ennuyeuse en banlieue parisienne, la vieillesse avant l’âge, les illusions perdues, les rapports humains compliqués, les amours perdues, ratées, fantasmées, l’envie d’aller d’ailleurs, de tout plaquer, et l’étincelle au bout du tunnel. L’expression d’une certaine vision romantique de la vie qui faisait dire à Shakespeare « Nous n’avons d’autre choix que le noir » transposée dans l’atmosphère anxieuse des années 2000. Une chose est sûre : les yeux sont toujours le miroir de l’âme.

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Après sept années passées à tourner dans le monde entier avec sa sœur Julia, et plus d’un million de disques vendus, Angus Stone se lance désormais sur sa propre route et propose Broken Brights composé à l’écart du monde entre Alpes suisses, Inde et Australie, sur lequel on retrouve l’intensité et la mélancolie des albums d’Angus et Julia Stone, mais aussi des titres plus électriques comme le premier extrait Bird on the Buffalo, ou le nouveau clip à découvrir de Wooden Chair. « Je pense qu’il s’agit de mon travail le plus personnel à ce jour » dit Angus Stone à propos de Broken Brights. « C’est un endroit où j’ai tendance à me réfugier, une petite tanière où j’ai toujours voulu vivre, entouré de toutes mes chansons et de tous mes contes. Cet album contient l’essence de ce que je cherchais depuis longtemps ». Une recherche qui l’aura amené à parcourir le monde, enregistrant dans un abri rustique niché dans les Alpes Suisses, sous la lumière intense du ciel bleu (et souvent rose) du littoral australien, puis dans une cabane délabrée avec vue sur la luxuriante campagne indienne. Angus Stone est tout en contraste : il peut s’isoler dans son petit monde onirique pour de longues périodes mais c’est également un être plein d’énergie, de charisme et de franchise. Des qualités qui lui ont été utiles pour gérer l’incroyable décollage de sa carrière : Angus, bien qu’il ait gardé son côté énigmatique, est en train de devenir le jeune artiste le plus célébré de la scène musicale actuelle. Cela va faire sept ans qu’il tourne dans le monde entier en tant que moitié du duo frère-sœur Angus & Julia, enchaînant les concerts à guichets fermés devant le public ensorcelé des salles les plus prestigieuses, notamment le Royal Festival Hall à Londres et Le Trianon à Paris. Ensemble, ils ont vendu près d’un million de disques à l’échelle planétaire depuis la sortie en 2005 de leur premier EP, Chocolates and Cigarettes. Angus Stone se lance désormais sur sa propre route. « Je suis content de lâcher prise de tout ça », dit-il en parlant de Broken Brights, son premier album solo sous son propre nom. « J’ai hâte de donner aux gens qui nous ont écouté, Julia et moi, pendant toutes ces années l’opportunité de créer leurs propres univers et expériences avec nos compositions. Jouer live devant ces gens, moi tout seul, sera une expérience bien différente, avec des hauts et des bas sûrement mais j’ai vraiment hâte de voir comment ça va se passer ». Broken Brights marque un vrai tournant pour Angus Stone, qui ne se résume pas seulement au fait de ne pas enregistrer avec Julia, sa complice musicale de toujours. Ce nouvel album est la preuve qu’il est plus que capable de jongler entre les styles sans compromettre son identité sonore. Le morceau qui donne son titre à l’album, ‘Broken Brights’, est certes du pur Angus — une célébration nostalgique et rêveuse de notre jeunesse — mais ‘Bird On the Buffalo’ est un

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« C’est un tout autre trip. » Voilà comme Angus Stone qualifie l’album Broken Brights, déjà disque d’or en Australie, et qui sortira en France le 06 novembre. Après sept années passées à tourner dans le monde entier avec sa sœur Julia, et plus d’un million de disques vendus, Angus Stone se lance désormais sur sa propre route et propose Broken Brights composé à l’écart du monde entre Alpes suisses, Inde et Australie, sur lequel on retrouve l’intensité et la mélancolie des albums d’Angus et Julia Stone, mais aussi des titres plus électriques comme le premier extrait Bird on the Buffalo. « Je pense qu’il s’agit de mon travail le plus personnel à ce jour » dit Angus Stone à propos de Broken Brights. « C’est un endroit où j’ai tendance à me réfugier, une petite tanière où j’ai toujours voulu vivre, entouré de toutes mes chansons et de tous mes contes. Cet album contient l’essence de ce que je cherchais depuis longtemps ». Une recherche qui l’aura amené à parcourir le monde, enregistrant dans un abri rustique niché dans les Alpes Suisses, sous la lumière intense du ciel bleu (et souvent rose) du littoral australien, puis dans une cabane délabrée avec vue sur la luxuriante campagne indienne. Angus Stone est tout en contraste : il peut s’isoler dans son petit monde onirique pour de longues périodes mais c’est également un être plein d’énergie, de charisme et de franchise. Des qualités qui lui ont été utiles pour gérer l’incroyable décollage de sa carrière : Angus, bien qu’il ait gardé son côté énigmatique, est en train de devenir le jeune artiste le plus célébré de la scène musicale actuelle. Cela va faire sept ans qu’il tourne dans le monde entier en tant que moitié du duo frère-sœur Angus & Julia, enchaînant les concerts à guichets fermés devant le public ensorcelé des salles les plus prestigieuses, notamment le Royal Festival Hall à Londres et Le Trianon à Paris. Ensemble, ils ont vendu près d’un million de disques à l’échelle planétaire depuis la sortie en 2005 de leur premier EP, Chocolates and Cigarettes. Angus Stone se lance désormais sur sa propre route. « Je suis content de lâcher prise de tout ça », dit-il en parlant de Broken Brights, son premier album solo sous son propre nom. « J’ai hâte de donner aux gens qui nous ont écouté, Julia et moi, pendant toutes ces années l’opportunité de créer leurs propres univers et expériences avec nos compositions. Jouer live devant ces gens, moi tout seul, sera une expérience bien différente, avec des hauts et des bas sûrement mais j’ai vraiment hâte de voir comment ça va se passer ». Broken Brights marque un vrai tournant pour Angus Stone, qui ne se résume pas seulement au fait de ne pas enregistrer avec Julia, sa complice musicale de toujours. Ce nouvel album est la preuve qu’il est plus que capable de jongler entre les styles sans compromettre son identité sonore. Le morceau qui donne son titre à l’album, ‘Broken Brights’, est certes du

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A mi-chemin entre Nu-soul, Hip-Hop et Jazz, cette artiste apporte un vent de fraicheur à la scène française avec son premier single « Courant d’air ». Ce single annonce un premier album prévu pour fin 2012. Pouvez-vous nous raconter votre parcours ? Je suis fille unique, parisienne (Une gamine du 20ème). De mère tunisienne et de père ivoirien j’ai d’abord entamé des études et une carrière dans la communication avant de tout plaquer pour la musique. De quoi vous inspirez-vous ? De ma vie, de celle de mes proches, de mon environnement, des couleurs, des JT, des silences… Quelles sont vos influences musicales ? Elles sont très nombreuses (rires). Mes muses inspirantes sont les grandes India Arie, Lauryn Hill, Jill Scott ou Miss Badu. Mes classic Hip-Hop de de la soul à Busta Rhymes en passant par The Fugees. J’admire et consomme sans modération l’univers et le son des groupes Outkast et Gnarls Barkley. Mais j’écoute aussi beaucoup de Jazz (Miles Davis, Theolonius Monk,.) d’électro ou de Deep House. Avez-vous un artiste avec qui vous aimeriez travailler ? Andre 3000 des outkast. Quelle est votre actualité pour les mois à venir ? Le 16 juillet en 1ère de The Pharcyde. Le 21 juillet à la Radio Chambre à Air. Un Live Radio Gratuit en plein air de 17h30 à 18h30 Place Menilmontant 20ème. Un petit mot pour conclure ? Reste humble et ne baisse jamais ton froque ! Laetitia Dana, la Rédaction de Lartino.fr vous remercie du temps que vous nous avez accordé.

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Des chorégraphies inédites et originales pour des spectateurs-patients des services gériatriques de l’hôpital Vaugirard – Gabriel-Pallez (Hôpitaux Universitaires Paris Ouest – AP-HP) : les danseurs professionnels de l’association compagnie ACM Ballet proposent deux journées par mois, des chorégraphies de chambre en chambre, de couloirs en lieu de vie, à la rencontre de chacun. Le langage universel de la danse fait alors son œuvre : ces mouvements générateurs de vie, d’émotions et de plaisir soufflent l’envie de communiquer par l’esprit et le corps. Une très belle initiative !

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