Depuis le 3 mars et jusqu’au 31 mai, la Philharmonie de Paris propose la première rétrospective consacrée à David Bowie. Réalisée par le Victoria and Albert Museum de Londres, l’exposition sur David Bowie est proposée du 3 mars au 31 mai, la Philharmonie de Paris. A l’occasion de la première rétrospective consacrée à l’artiste, près de 300 objets, tels que des chansons manuscrits, des costumes originaux, des décors de scène et des films ont été sélectionnés. Autour de cette exposition, la Philharmonie de Paris propose des spectacles et des activités liés à l’univers de David Bowie. Infos pratiques : Exposition David Bowie is A la Philharmonie de ParisDu 3 mars au 31 mai 2015

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La Monnaie de Paris accueillera du 6 février au 31 mai 2009 la Rétrospective de David LaChapelle. . Près de 200 œuvres seront exposées. Il s’agit de la plus vaste et la plus complète exposition du célèbre photographe américain jamais organisée à ce jour en France. Le public pourra découvrir la complexité du travail de ce photographe reconnu en 1996 comme le meilleur photographe de l’année par la revue française Photo ainsi que American Photo magazine. Les clichés les plus connus de l’artiste seront exposés : les portraits de grandes célébrités, les scènes qui reflètent, exposent et commentent le « culte » de la personnalité, la perversité de la culture populaire, le monde des stars hollywoodiennes, le sensationnalisme de la vanité et de la gloutonnerie réalisées pendant ces 25 dernières années. Pour la première fois, des séries inédites créées récemment, montreront le travail de l’artiste sur des « scènes » et des recréations de la condition humaine plus historiques et visionnaires. Enfin, en exclusivité et pour la première fois en Europe, le public pourra découvrir la toute dernière nouvelle série réalisée en 2008 qui s’intitule Présages d’Innocence (en référence au poème de William Blake Auguries of Innocence). Cette série fait preuve d’une démarche très innovante de l’artiste qui repousse les frontières de la Photographie pour travailler sur des scènes ou installations grâce à l’utilisation de modes de fabrication à la fois industriels et de haute technologie, pour créer des tableaux où le regard du photographe passe de la 2D à la 3D, faisant ainsi naître une participation et une expérience actives du public grâce au dynamisme créé par la collision de l’image et de la forme, de la forme et du contenu. Photo : David Bowie Eyes that cannot see, série Star System, 1995

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Le nouvel album de Yann Destal, « Let me be Mine » sera disponible le 10 Juin 2013. C’est au sein du duo Modjo, à la grande époque de la French Touch et avec le tube Lady que le songwriter Yann Destal a fait son entrée sur la scène de la pop française. Après un premier album en solo The Great Blue Scar en 2013, Yann Destal revient en 2013 avec Let Me Be Mine, un disque important où le songwriting perfectionné de Yann Destal frappe autant par sa science que par sa diversité. Préparez-vous à un voyage qui emmène très loin, un périple grandiose et coloré qui contient des clins d’œil à Ennio Morricone, David Bowie, Michel Polnareff, Fleetwood Mac, et les Beatles dont le titre Oh ! Darling est repris ici. Influencé par les musiques des années 60 et 70, l’album Let Me Be Mine dévoile des ambiances très rock, d’autres presque psychédéliques et des constructions harmoniques élaborées qui révèlent tous les talents du multi instrumentiste et chanteur Yann Destal dont on écoute le premier extrait Walk with Me.

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Du 17 au 19 mai, le festival Art Rock de Saint-Brieuc célèbre trois décennies d’audaces artistiques qui ont marqué des générations defestivaliers. De Miles Davis à Blur, d’Andy Warhol à Bjork, de Philippe Decouflé à Royal de Luxe, des centaines d’artistes d’exception ont ainsi inscrit leurs noms en lettres de feu dans le livre d’or du festival. Chaque année le temps d’Art Rock, Saint-Brieuc devient une ville ouverte aux artistes du monde entier, qu’ils soient musiciens, acteurs, danseurs, inventeurs ou plasticiens pourvu qu’ils aient cette énergie rock qui caractérise l’esprit d’Art Rock. Le centre ville sert d’écrin au festival, et, des théâtres de la scène nationale au moindre parking, en passant par le Musée ou des friches, tous les lieux sont sollicités pour les artistes et les amoureux de l’art et du rock. Pour son trentième anniversaire, Art Rock a mis les petits plats dans les grands et promet d’être riche en aventures et en trésors à découvrir. Avec une complicité gravée dans le granit et des parcours intimement liés, Art Rock et La Fura dels Baus se retrouvent à nouveau. La compagnie de théâtre espagnole, mondialement célèbre prépare un spectacle à sa démesure qui s’annonce comme l’un des temps forts de l’édition 2013. Le grand chorégraphe anglais Michael Clark, à l’univers résolument pop, présente au Grand Théâtre de Saint-Brieuc « New Work » et « Come, been and gone » sur les musiques de Scritti Politti et David Bowie. Artistes hors du commun, inventeurs sonores et visuels géniaux, Bernard Szajner et Yro, transforment le Petit Théâtre de la Passerelle en laboratoire d’expérimentation pour une « Conférence des Oiseaux » singulière créée pour Art Rock. Côté musiques, célébrées au pluriel, les artistes les plus en vue d’aujourd’hui et de demain se partagent les différentes scènes. L’esthète ténébreux Benjamin Biolay et l’élégante Lou Doillon seront les chefs de file de la première soirée sur la grande scène le 17 mai. Également à l’affiche, le prodige new wave Lescop, le très attendu Kavinsky et le talentueux Woodkid qui sort son premier album le 18 mars prochain. Le lendemain, samedi 18 mai, ce sera au tour du groupe touareg Tinariwen d’ouvrir la soirée. Puis dans la foulée : Féfé, ses cuivres colorés et sa chaleur ; le rock balkanique d’Emir Kusturica & the No Smoking Orchestra, Wax Tailor et son groupe d’électro-soul The Dusty Rainbow Experience et enfin Breakbot Live, véritable bombe armée pour les dancefloors accompagnés de shows audiovisuels époustouflants. Le dimanche 19 mai, au Grand Théâtre se produira pour un concert exceptionnel Agnes Obel précédée de Mesparrow. Sallie Ford, Skip the Use, Miles Kane et Sexion d’Assaut prendront possession de la Grande Scène. Ce dernier tient le haut du pavé du rap français. Ses disques se vendent par dizaines milliers d’exemplaires et ses shows très spectaculaires attirent un public de plus en plus nombreux. Skip the Use vient de se voir attribuer la Victoire de la musique 2013 comme meilleur groupe rock de l’année, gage de son énergie incroyable sur scène.

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Bidouilleurs de vielles machines, collectionneurs de claviers vintage, férus de sons analogiques… les quatre nantais de Marquees puisent leur inspiration dans la musique psychédélique des années 60, les vieux films de science-fiction, les séries et les romans d’anticipations… Rythmiques hypnotiques, échos à bandes, textes oniriques, ils se réfèrent aux pionniers du genre : David Bowie, Syd Barret ou encore les Byrds, mais ne renient pas la nouvelle génération : MGMT, Tame Impala ou Flaming Lips… Désireux de sortir de l’électro pop de ces dernières années, ils prennent le parti de revenir à un son brut et granuleux, le résultat est convaincant ! Prochaines dates de concerts : le 07/05 à Stéréolux (Nantes), le 17/05 au Bus Palladium (Paris), le 27/07 à L’Apérock (St Brévin), le 24/08 à l’International (Paris).

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Découvert sur la Toile, Lartino tenait à vous présenter ce mois-ci The Greyguts. Ce groupe Rock Garage, composé de 4 garçons déjantés aux influences style Ramones, White Stripes ou Metallica, prépare depuis maintenant un an un album et vient de tourner un premier clip qui a déjà fait 800 vues en 5 jours ! A découvrir… Bonjour les garçons, pouvez-vous svp vous présenter aux lecteurs de Lartino ? Salut, on est les Greyguts. Le groupe est composé de Mike à la guitare et à la voix, Raph à la batterie, François à la guitare et aux choeurs et Deedee à la clavicule fêlée. Pour faire simple, respectivement ça donne et tout ça dans l’ordre : 21 ans, 21 ans, 25 ans et 14 ans, si on juge au poids! The Greyguts  … pourquoi ce nom? François: L’origine du nom de notre groupe, à savoir « The Greyguts » m’est inconnue, ça doit être une de ces blagues liées à l’alcool. Je ne sais pas pourquoi on s’appelle comme ça, mais ça doit avoir un lien avec le fait que ça sonne bien. On l’a très certainement entendu dans une chanson, mais on ne sait plus laquelle. Mais ça sonne bien. Non ? Quelles sont vos tendances musicales, vos influences artistiques ? Raph : En premier lieu, nous nous sommes rencontrés sur Metallica et les Ramones et c’est à peu près tout. Par la suite, à force de traîner ensemble, nous avons mis en commun tout ce qu’on écoutait. Ça va de la musique électronique « cheap » au métal en passant par 50 ans de blues et de rock, de Elvis à Joe Strummer en passant par Robert Smith, David Bowie, Lemmy Kilmister, Lee Perry. Nous sommes très ouverts à tous les styles et toutes les époques avec une préférence pour la musique amplifiée. On peut citer les Ruts, les Stranglers, les Strokes, Foo Fighters, les New York Dolls, Siouxsie and the Banshees, Eddie and the Hot Rods, the Saints, les Yardbirds, les Who, les Ramones, Motorhead, Ghinzu, Burzum, The Sonics, Dr Feelgood, Wolfmother, les White Stripes, les Buzzcocks, les Pink Floyd, etc. Que pensez-vous de la musique actuelle (ce qui passe sur les grandes radios) ? François: J’ai découvert le dubstep et j’aime assez. Disons que ce qu’il serait bien c’est de sortir le son de clavier de la musique dansante et d’arrêter de faire la même chanson avec le même son et la même méthode de composition qui a été fatale à Justice. Ils avaient réussi à inventer un son qui a été repris tellement de fois qu’il en est devenu insupportable. Sinon je ne suis pas très objectif puisque je n’écoute pas la radio et quand je le fais, je n’écoute que Nostalgie. J’aime beaucoup la chanson française des années 60 et 70 mais j’imagine que ce n’est pas de ça qu’on parle. Je suis plus Internet. Je pense que la musique de maintenant est plus basée sur la danse que sur la composition de sonorités innovantes. Mike : On n’entend

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WorMee, le service en streaming de « music on demand » né en mars 2009, compte aujourd’hui pas moins de 460 000 inscrits. Un véritable succès pour cette plateforme musicale ! Rencontre avec Vrej Minassian, directeur marketing et communication chez WorMee… Vrej Minassian a été formé au Celsa. Après quelques années au service de cabinets d’études sémiologiques et qualitatives, il a travaillé pour un éditeur littéraire. Il a ensuite passé une quinzaine d’années dans l’industrie du disque où il est passé par les majors EMI et Sony Music.Aujourd’hui, il dirige le marketing et la Com’ de WorMee et RadioMee. Bonjour Vrej Minassian, pouvez-vous nous présenter WorMee ? WorMee est un service développé par Orange Vallée, filiale innovation du groupe Orange. WorMee est un service en streaming de « music on demand » qui compte 4M de titres à date ; l’offre WorMee est doublé, avec RadioMee, d’une plateforme de 6000 radios FM et web. On accède aux 2 sites avec les mêmes identifiants. WorMee, c’est donc 2 sites, un seul service, un compte unique. Le service est construit comme un réseau social. C’est-à-dire que le partage est au centre de l’expérience utilisateur. Après 10 mois d’existence, WorMee est déjà le 2ème service d’écoute online en terme d’audience. Quand le projet est-il né ? Il est né il y a plus de 3 ans dans la tête de Julien Hodara, qui le dirige aujourd’hui. Son développement a commencé il y a 2 ans. Pourquoi ce nom : « WorMee » ? Pas de raisons particulières. Un nom de code qui est resté, je crois. Qu’est-ce qui distingue WorMee de ses concurrents comme Deezer, par exemple ? La dimension communautaire d’abord que nous allons pousser encore ; l’éditorial qui est essentiel pour nous et qui va encore être fortement développé ; RadioMee et ses 6000 radios FM et web que nous sommes les seuls à avoir sur le marché du streaming. Il n’y a pas de pub audio sur WorMee, ce qui rend l’expérience bien plus agréable car non polluée par des messages intempestifs. Les opérations contenus que nous avons pu mener depuis notre lancement en juin 2009 ; avant-premières (Gorillaz, Robbie Williams, Wayne Beckford, BB Brunes, Norah Jones, …), concerts exclusifs (Metallica, Mickey 3D, Chinese Man, Charlotte Gainsbourg, le festival des Inrocks, les Transmusicales de Rennes, …) …C’est nous qui avons initiés ce genre d’opération au bénéfice de nos utilisateurs. Pouvoir écouter ou ré-écouter un concert 2 jours après qu’il ait eu lieu, est effectivement une des caractéristiques de l’offre WorMee ! Enfin quelques fonctionnalités du service sont des exclus WorMee : l’upload, c’est-à-dire la possibilité d’ajouter des titres en toute légalité sur le service ; les players blogables qui permettent d’exporter tout types de contenus ce qui n’est pas le cas de nos concurrents qui ont beaucoup de contraintes à ce sujet ; la qualité du son et du player bien au dessus du lot, … Et quelques autres fonctionnalités différenciantes en cours de développement. Quel est le lien entre WorMee et

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Snow Patrol sera de retour le 05 janvier avec son nouvel album A Hundred Million Suns enregistré l’été 2008 aux studios Hansa à Berlin où David Bowie enregistra ‘Low’, ‘Heroes’ & ‘Lodger’) et au studio Grouse Lodge en Irlande. Entièrement écrit par Snow Patrol, le disque a été produit par Jacknife Lee (Bloc Party, REM, U2…) Snow Patrol a commencé à devenir considérablement plus important dans tout le Royaume-Uni et en Amérique après avoir signé sur le label Fiction en 2003 et s’être associé avec le producteur Garrett ‘Jacknife’ Lee. « Il a eu sur nous une influence incroyable, » dit Lightbody, « Jacknife est devenu une sorte de membre indispensable du groupe. Je ne peux pas m’imaginer travailler avec un autre producteur, quel qu’il soit. » Sur les conseils inspirés de Lee, Snow Patrol et Lightbody, son chanteur de plus en plus charismatique, se sont débarrassés de certains de leurs côtés rugueux typiquement indé et ont commencé à affûter leur élégance pop. En 2003, ils ont sorti Final Straw, leur premier album numéro un, dont a été extrait le premier single du groupe à se classer dans le top 5, « Run ». Il leur a aussi valu de remporter le premier Ivor Novello du meilleur album en 2004. En 2005, ils ont emménagé dans un studio isolé, en plein milieu de l’Irlande, Grouse Lodge, et terminé Eyes Open, sur lequel se trouvait une des chansons les plus chargées d’émotion du 21ème siècle, « Chasing Cars ». Avec plus de 100 000 passages radio au Royaume-Uni, deux millions de téléchargements aux états-Unis, et le titre de ‘Meilleure Chanson de tous les Temps’ décerné par les auditeurs de Virgin Radio, « Chasing Cars » a également eu le rare privilège de clôturer l’indéracinable émission de la BBC de classement des charts, Top Of The Pops, en juillet 2006. L’effet sur l’album Eyes Open a été phénoménal, conduisant au final à un nombre total de ventes dans le monde de 4,7 millions d’exemplaires. A ce stade, la plupart des groupes pareillement comblés auraient probablement soit pris de longues et coûteuses vacances ou seraient repartis à l’assaut des charts pop de la planète. Lightbody and co n’ont fait ni l’un ni l’autre, choisissant à la place d’appeler Jacknife Lee pour faire un album qui les a emmenés dans une odyssée créative inattendue de Galway dans l’ouest de l’Irlande, jusqu’au retour à Grouse Lodge dans le comté de Meath, en passant par les légendaires studios Hansa de Berlin où Bowie et de nombreuses autres sommités des années 1970 ont enregistré leurs œuvres déterminantes. En accord avec la tradition innovatrice du studio, l’album, A Hundred Million Suns, est le plus ambitieux et le plus exaltant de Snow Patrol à ce jour; un disque sur lequel Lightbody pense que son groupe a, bien sûr accidentellement, résolu son problème de quadrature du cercle. « C’est de loin notre disque le plus abouti. A Hundred Million Suns ressemble au mariage de tout ce que nous avons appris dans les années passées avec

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