Pour la cinquième année consécutive, Edilivre renouvelle son concours de nouvelles gratuit et ouvert à tous : « 48h pour écrire ». Pour participer à cette nouvelle édition de « 48 heures pour écrire », il suffit de se connecter sur le site www.edilivre.com le vendredi 22 septembre à 19h pour connaître le thème de cette nouvelle édition. Vous aurez alors 48 heures pour rédiger et envoyer votre nouvelle. Chaque année, le concours rassemble plus de 2000 participants, 100 partenaires relayant l’opération et un jury composé de 900 lecteurs. Ce concours est organisé en collaboration avec Idéecadeau.fr, Clairefontaine, Exploratology et L’Étoile des Gourmets ainsi de nombreux lots sont à gagner. Pour être acceptée, votre nouvelle devra : – respecter la thématique imposée qui sera dévoilée le vendredi 22 septembre 2017 à 19h sur notre site – être transmise avant le dimanche 24 septembre minuit (00h) – ne pas dépasser les 10 000 caractères, espaces compris, soit environ 2 pages A4 – être anonyme : votre nom, prénom ou pseudo ne doivent pas y figurer – ne pas contenir d’illustrations, images ou photos Chaque participant ne pourra présenter qu’une seule et unique nouvelle dont il garantira être l’auteur et le détenteur des droits. Ce concours est gratuit, aucuns frais d’inscription ne sont ou ne seront demandés. Téléchargez le règlement de la 5ème édition du Concours « 48 heures pour écrire » Les lots de cette nouvelle édition : 1er prix : – Mise en forme et impression de 300 nouvelles (Edilivre) -> 100 offertes à l’auteur (non vendables) -> 200 mises en avant dans les box « Gros lecteur » Exploratology – Un bon d’achat de 150 euros sur idéecadeau.fr – 300 € de fournitures Clairefontaine 2ème prix : – Mise en forme et impression de 50 nouvelles, non vendables (Edilivre) – Un diner gastronomique pour deux, livré à votre domicile, à choisir sur www.etoiledesgourmets.com, comprenant deux entrées, deux plats (hors homard) et deux desserts. – 200 € de fournitures Clairefontaine 3ème prix : – Mise en forme et impression de 30 nouvelles, non vendables (Edilivre) – Un abonnement d’un mois à la box « Romans » Exploratology – 100 € de fournitures Clairefontaine Prix du Public : – Mise en forme et impression de 20 nouvelles, non vendables (Edilivre) – Un tote bag + un bloc-notes + un stylo + une bonbonnière Edilivre – 50 € de fournitures Clairefontaine Les résultats Du lundi 02 octobre au lundi 30 octobre, le jury composé 900 auteurs et  lecteurs notera chaque nouvelle, les trois nouvelles ayant obtenu la meilleure moyenne seront désignées comme les 3 finalistes. À partir du 06 novembre 2017, les trois nouvelles finalistes seront lues et notées par l’équipe d’Edilivre, les résultats scelleront le palmarès. Durant cette période, le public sera appelé à voter sur Facebook pour élire le Prix du Public parmi les 3 nouvelles finalistes. Les 1er, 2ème et 3ème Prix et le Prix du Public seront dévoilés sur le site Edilivre et Facebook dès le mercredi 15 novembre 2016. Accès au formulaire

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Pour la quatrième année consécutive, Edilivre renouvelle son concours de nouvelles gratuit et ouvert à tous : « 48h pour écrire ». L’année dernière, plus de 2000 participants ont relevé le défi. Ce concours est organisé en collaboration avec Tea- The Ebook Alternative, Idéecadeaux.fr, Kilti, Envouthé et Once Upon a Book ainsi de nombreux lots sont à gagner. À partir du 23 septembre Edilivre propose pour la quatrième année consécutive son concours de nouvelles gratuit et ouvert à tous : « 48h pour écrire ». Pour participer, c’est très simple ! Il vous suffit de vous connecter sur le site www.edilivre.com le vendredi 23 septembre à 16h pour connaître le thème de cette quatrième édition. Vous aurez alors 48 heures pour rédiger et envoyer votre nouvelle. Vous ne vous sentez pas prêt pour ce marathon littéraire, mais vous aimez la littérature et les défis originaux ? Alors n’hésitez plus, inscrivez-vous pour devenir juré ! Vous avez un mois pour découvrir, apprécier et noter quelques-unes des nouvelles écrites par les participants de ce concours. Pour être acceptée, votre nouvelle devra : – être transmise uniquement via le formulaire crée à cet effet (aucune nouvelle envoyée par mail ne sera prise en compte) – respecter la thématique imposée qui sera dévoilée le vendredi 23 septembre 2016 à 16h sur notre site – ne pas dépasser les 10 000 caractères, espaces compris, soit environ 2 pages A4 – être anonyme : votre nom, prénom ou pseudo ne doivent pas y figurer – ne pas contenir d’illustrations, images ou photos Pour rappel, les textes sous forme de poème sont acceptés. Chaque participant ne pourra présenter qu’une seule et unique nouvelle dont il garantira être l’auteur et le détenteur des droits. Ce concours est gratuit, aucuns frais d’inscription ne sont ou ne seront demandés.

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Les Editions Edilivre organisent la 3e édition du concours d’écriture « 48 heures pour écrire ». Il s’agit du 1er concours d’écriture francophone. Ce concours est gratuit et ouvert à tous. Plus de 2 100 auteurs ont participé à la 2e édition l’année dernière. Les 4 lauréats se partageront des milliers d’euros de lots à gagner. Ce concours est organisé en partenariat avec Post-it, Studyrama, Didactibook, Youscribe et le magazine Books. Rendez-vous le vendredi 20 novembre à 19h sur Edilivre.com pour connaître le thème. Les participants auront alors 48 heures pour écrire et envoyer leur texte de 10 000 caractères maximum.

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Edilivre, maison d’édition collaborative basée sur une publication ouverte propose le second concours baptisé « 48 heures pour écrire ». Les lauréats se partageront plus de 12 000 € de lots à gagner. Les Editions Edilivre organisent la 2ème édition du concours d’écriture « 48 heures pour écrire ». Il s’agit du 1er concours d’écriture francophone. Ce concours est gratuit et ouvert à tous. Plus de 1 400 auteurs ont participé à la 1ère édition l’année dernière. Les 4 lauréats se partageront plus de 12 000 euros de lots à gagner. Ce concours est organisé en partenariat avec Clairefontaine, Post-it, Decitre, Studyrama, Didactibook, Youscribe, Book d’Oreille, Leslibraires.fr et le magazine Books. Rendez-vous le vendredi 21 novembre à 19h sur Edilivre.com pour connaître le thème. Les participants auront alors 48 heures pour écrire et envoyer leur texte de 10 000 caractères maximum.

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Edilivre, maison d’édition collaborative basée sur une publication ouverte propose le 1er concours d’écriture limité dans le temps. L’éditeur donne rendez-vous à tous les amoureux des lettres qui aiment le challenge le 15 novembre à 19h sur son site afin de connaître le thème du concours. Les participants auront alors 48 heures maximum pour envoyer leur texte. Edilivre lance le compte à rebours de son événement « 48 heures pour écrire », le 1er concours d’écriture limité dans le temps, en partenariat avec Clairefontaine, Burn de Coca-Cola France, Studyrama, Didactibook et la marque Post-it. Suite à son concours de nouvelles érotiques qui a rencontré un franc succès en début d’année, le trublion de l’édition marque une nouvelle fois sa différence en lançant un concours d’écriture atypique inspiré d’un concept similaire dans le court-métrage, The 48 Hour Film Project. Pour connaître le thème du concours, l’éditeur donne rendez-vous à tous les participants sur son site, Edilivre.com, le vendredi 15 novembre 2013 à 19h. Les auteurs auront alors 48 heures, pas une minute de plus, pour écrire et envoyer leur nouvelle de 10 000 caractères maximum espaces compris, soit 2 pages A4. Chaque participant ne pourra présenter qu’un seul texte dont il garantira être l’auteur. Ce concours est gratuit et ouvert à tous, aucuns frais d’inscription ne sont demandés. Une première sélection aura lieu du 18 novembre au 19 décembre 2013 durant laquelle un jury composé d’auteurs sélectionnera les 10 nouvelles finalistes parmi l’ensemble des textes participants. Puis, du 7 au 28 janvier 2014, un jury composé d’auteurs et de responsables d’Edilivre ainsi que de responsables des sociétés partenaires du concours sélectionnera les 3 auteurs gagnants parmi les finalistes. Durant cette même période, les internautes seront appelés à voter sur Facebook pour élire le Prix du Public parmi les 10 nouvelles finalistes. Edilivre révélera les gagnants du concours le jeudi 30 janvier 2014 sur son site. Les gagnants se partageront plus de 5 000 € de lots dont notamment : la publication de leur livre offert par Edilivre, des livres numériques offerts par Didactibook, 1 an de boisson Burn, des produits Clairefontaine et des produits de la marque Post-it.

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Depuis quelques années déjà, William KLANK promène son talent de scènes en scènes, semant à tous vents son talent d’humoriste et d’imitateur. De cabarets en festivals, on a pu découvrir un artiste aux milles talents, mais la corde la plus sensible à son arc est indéniablement celle de chanteur, compositeur et interprète. Né d’une famille Polonaise avec la musique dans le sang, baigné dans son enfance par le chant du côté de sa mère et par le violon du côté de son grand père, William Klankovitch, devenu KLANK, rêve de s’affranchir du rêve de ses parents : devenir un musicien classique. William KLANK est un artiste dans l’âme. Dès l’âge de 12 ans, inspiré par les grands noms du jazz, William chante et se met à imiter les instruments de musique : la trompette de Louis Armstrong, la clarinette de Sidney Beychet, le saxophone de Stan Getz et bien d’autres encore. Toujours à la recherche de la perfection, il lui vient l’envie de composer ses chansons en s’inspirant de la pop anglaise : Coldplay, Francis Cabrel, Lisa Ekdahl, Charles Aznavour, Jack Johnson, Calogero, Charlie Winston, et le plaisir d’écrire les paroles en langue Française. En Novembre 2011, William remporte le prix d’interprétation lors des rencontres de la chanson française avec les titres « A aucun moment » et « J’ai sonné à sa porte » . Il fait le show sur M6 avec les imitations d’instruments et sur RTBF en duel avec son violoniste. Aujourd’hui, le 1er album de William KLANK : « A LA LUMIERE DU TEMPS », est un retour à ses premiers amours, la chanson. Une ode à la femme, au voyage et à l’amour, ses thèmes de prédilection. Un écrin de 11 titres arrangés d’une main de maître par Christophe Battaglia, dont le nom est souvent associé au succès des albums de Yannick Noah entre autres. On y retrouve une profonde sensibilité, ainsi qu’une authenticité au service d’une créativité fertile. Trois qualités qui caractérisent la personnalité de William KLANK.

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Depuis le 13 octobre, le second album « For The Music » de FM LAETI est disponible. Son nouvel album aux sonorités pop éclatantes est dopé aux synthés. Album résolument énergique, il s’écoute autant qu’il se danse. Laetitia Bourgeois a grandi dans l’amour de la musique. Son père fut le premier batteur du groupe Kassav’ et sa mère participera à la création d’une école de musique à Pointe-à-Pître. Laetitia a très tôt été initiée à la scène, aux rythmes caraïbes, à la biguine, au Gros Ka. Plus tad, elle fera partie de la chorale du conservatoire local. C’est une évidence : son instrument sera sa voix. Elle se spécialise dans le jazz vocal et le gospel. Pratique également la danse vingt heures par semaine. Elle veut être chanteuse mais tout autant danseuse étoile. À dix-sept ans, elle rejoint l’Université de Knox, près de Chicago. Elle commence à écrire des textes et étudie l’art et le théâtre. Et en 2002, diplôme en poche, elle part pour Paris et ses lumières, elle en rêvait. Tour à tour comédienne, voix off anglaise et demoiselle costumière, elle arpente aussi les planches et apprend au contact de diverses formations de jazz, comme l’avait fait son père avant elle. C’est dans ce parcours qu’elle fera une rencontre déterminante. En 2009, invitée sur Radio Campus, elle se trouve face à un compositeur, François-Marie Dru. En une heure à peine, l’évidence de leur complicité les saisit. Ils ne se quitteront plus. François-Marie est lui aussi métissé de musiques noires et blanches, à l’image des enfants indignes de Chuck Berry, de Ray Charles et B.B. King, qui se nomment Beatles ou Stones, Clapton ou J.J Cale. À eux deux, Laetitia et François-Marie forment FM LAETI. Et après quelques mois à composer leurs premiers titres, le duo s’agrandit, rejoint par Pierre-Marie Dru, frère du compositeur, producteur et fondateur de Pigalle Production. A l’été 2010, ils enregistrent leur premier album avec Yann Arnaud au studio de la Frette. Ils sont entourés de Christophe Minck, Steve Arguelles, Laurian Daire, Ludovic Bruni, Fatoumata Diawara et plusieurs autres musiciens. L’album sera mixé par le talentueux Stéphane Briat. En mai 2011, sort le single Rise in the Sun puis, en octobre, l’album It Will All Come Around. S’ensuit une tournée de deux ans. Fin 2012, Laeti, FM et PM s’enferment dans une maison en Provence et commencent à écrire les premiers titres de ce qui deviendra leur deuxième album, For the Music.

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Après « Here We Go Again » et « No Goodbye At All », Lady Linn revient avec un nouvel album intitulé « High » ! Dans cette nouvelle production, l’artiste belge flirte sans complexe avec la dance, le disco, les beats et les synthés, mais aussi avec les guitares acoustiques. Les rythmes jazz qui caractérisaient ses deux disques sortis précédemment sont toujours là, mais dans des arrangements plus électro. Les premières lignes de ‘Feeling Me’, extrait de ‘High’, le nouvel album de Lady Linn, pourraient faire référence à la palette sonore de ce dernier. Lady Linn y flirte sans complexe avec la dance, le disco à la Donna Summer, les beats et les synthés, de même qu’avec les guitares acoustiques. Les rythmes de jazz qui caractérisaient ses deux disques sortis précédemment sont toujours là, mais dans des arrangements électro. « Cette fois, je voulais vraiment faire les choses autrement », commente-t-elle. En tant que compositrice, elle était prête à se jeter dans l’inconnu. Plutôt que d’écrire au piano, comme elle l’avait fait pour ses deux albums précédents, ‘Here We Go Again’ et ‘No Goodbye At All’, Lady Linn a décidé de composer à la guitare. « Je ne suis pas très douée à la guitare, mais cela faisait partie du jeu : je voulais écrire des textes très francs, des chansons directes. Il n’y avait que ma guitare et moi, je ne pensais pas aux arrangements, uniquement aux chansons. » En tant qu’auteure aussi, Lady Linn a vécu une transformation. Ce sont les concerts donnés avec FCL, le side project au sein duquel elle chante des classiques de la house de sa voix pleine de soul, qui l’ont convaincue d’écrire de manière plus immédiate. « Les textes des classiques house que je chante avec FCL sont en fait des gospels, de l’émotion pure dénuée d’autocensure, comme ‘Heal My Heart’ de Kerri Chandler. Les chanter a été pour moi une expérience libératoire : je me suis sentie beaucoup moins inhibée quand j’ai entamé ce travail d’écriture. » Les chansons nées de ce processus sont ses plus franches à ce jour. C’est au guitariste Bruno De Groote (Raymond Van Het Groenewoud, Axelle Red…) qu’elle les a confiées pour qu’il leur donne une forme plus aboutie. « C’est un musicien très intègre et très original auquel je fais totalement confiance. Il a eu carte blanche pour les réinterpréter. » ‘High’ a été produit par Renaud Letang (Jane Birkin, Feist…), avec qui Lady Linn avait déjà travaillé sur son album précédent, ‘No Goodbye At All’. Le producteur français fait aussi partie de ceux à qui elle voue une confiance aveugle. « Renaud a vraiment emmené ces chansons ailleurs – les beats et les sons électroniques, c’est son idée. » Qu’est-il advenu des Magnificent Seven de Lady Linn ? Cet album est le premier que Lien De Greef sort sous le nom de Lady Linn tout court. Sans faire mention du groupe acoustique qui a donné à son premier album, ‘Here We Go Again’,

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Fergessen propose son nouvel album Far Est dont la sortie est prévue pour l’automne prochain. Fergessen, c’est Michaëla, David et leurs deux guitares.Après la sortie de leur premier album, « Les accords tacites » en janvier 2011, ils choisissent la liberté et laissent Paris derrière eux pour écrire une nouvelle aventure folk-rock. Direction le Grand Est, le « Far Est », qui donne aujourd’hui son nom à leur nouvel album. « Far Est » qui, sortira à l’automne 2013. David et Michaëla, en théâtre d’ombres et jeux de lumières, unissent leurs voix comme ils ont sans doute, à un moment, uni leurs forces pour remonter, puisqu’il s’agit là du thème : re-commencer, repartir du début.  Le duo reprend la voix, reprend la main et offre une danse hypnotique, une incantation : Back From the Start. Fergessen, écrivais-je juste après les avoir vus, c’est la rencontre d’un Dave Stewart aux faux-airs de Cantat et d’une Annie Lennox qui aurait mangé Aretha Franklin. C’est beaucoup en une seule fois, mais pas plus que l’effet qu’ils produisent sur scène : l’unisson parfait des deux voix et deux guitares mêlées, une pop-rock exigeante aux meilleurs accents d’un Marc Seberg, l’harmonie des textes et des mélodies que David et Michaëla ourdissent dans le calme de leur studio du Ban-de-Sapt. Après « les accords tacites », un album réalisé par Lionel Gaillardin en 2011, le duo a choisi de quitter Paris et d’Attendre le bonheur dans l’autoproduction d’un « Far Est », deuxième album ciselé, variant entre l’anglais et le français sans se départir de ce qu’ils souhaitent tous les deux : donner du sens et du rythme à un texte par son interprétation. Quand ils s’emparent de « The Wind », de Stevenson – a-blowing all day long, that sings so loud a song – qu’ils en enregistrent une version acoustique devant une plaine des Vosges qui prend des airs d’océan de glace, on se dit qu’ils savent allier, comme en live, l’énergie des voix et du jeu et la sensibilité du thème. A Child’s Garden of Verses and Underwoods. Le cache-cache ne dure qu’un temps, celui de l’arrivée sur scène et du fleuve de son qui en découle : Michaëla, Antianeira moderne, bras nus, chevelure lâchée, bracelet au biceps, prend l’auditoire à bras le corps, le charme et l’ensorcelle, ce qui revient au même. Mais David – heureusement pour lui – n’est estropié de nulle part et relève – avec un flegme qui n’a de britannique que la musique qu’il joue – le défi de la Belle.           Les guitares sont épileptiques et coordonnées, les amants jouent d’une ronde qui les aurait menés au bûcher, en d’autres temps. Ils auraient pu choisir l’Islande ou le Danemark (Aimer, dormir, encore aimer), ils ont pris les Vosges comme symbole d’une musique qu’il faut aller chercher mais dont on ne se relève pas sans être marqué au fer rouge. Fergessen, prononcé à l’allemande, c’est oublier ou s’emporter : aucune chance qu’on oublie, toutes qu’on le soit, emporté. Jusqu’au far, Far-Est.

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