Organisées par le Centre national du livre pour le Ministère de la culture et de la communication depuis 1987, Les Belles Etrangères favorisent la découverte de littératures étrangères ou d’auteurs encore peu connus en France et accompagnent la politique d’aide à la traduction, à la publication et à la diffusion menée par le Centre national du livre. Du 8 au 22 novembre 2008. En novembre 2008, le Centre national du livre fêtera les 20 ans des Belles Etrangères. Pour cette édition-anniversaire, le Centre national du livre recevra vingt écrivains de dix pays ayant déjà fait l’objet d’une invitation aux Belles Etrangères : l’Albanie, l’Autriche, le Canada, la Corée, l’Egypte, le Guatemala, la Nouvelle-Zélande, la Pologne, le Portugal et la Turquie. Deux écrivains représenteront la littérature de chacun de ces pays : l’écrivain invité lors d’une précédente édition choisira pour l’accompagner un écrivain dont l’oeuvre n’est pas encore traduite en français ou est en cours de traduction. L’Europe sera représentée par l’Albanie avec Fatos Kongoli accompagné de Agron Tufa ; par l’Autriche avec Josef Winkler accompagné de Rosemarie Poiarkov ; par la Pologne avec Hanna Krall accompagnée de Mariusz Szczygiel et par le Portugal avec Lidia Jorge accompagnée de Gonçalo M. Tavares ; l’Asie sera représentée par la Corée avec Ko Un accompagné de Ch’ôn Myônggwan et, pour sa frontière avec l’Europe, par la Turquie avec Enis Batur accompagné de Yigit Bener ; le continent africain sera représenté par l’Egypte avec Gamal Ghitany accompagné de Ahmed Abo Khnegar ; . le continent américain par le Canada pour l’Amérique du Nord avec Neil Bissoondath accompagné de Zoe Whittall et par le Guatemala pour l’Amérique Centrale par Rodrigo Rey Rosa accompagné de Alan Mills ; enfin l’Océanie sera représentée par la Nouvelle-Zélande avec Jenny Bornholdt accompagnée de Gregory O’Brien. Le programme 2008 porte ainsi exceptionnellement sur 9 langues : arabe (Egypte), anglais (Canada et Nouvelle-Zélande), espagnol (Guatemala), turc (Turquie), coréen (Corée), albanais (Albanie), allemand (Autriche), polonais (Pologne) et portugais (Portugal). Une anthologie rassemblera, outre un bilan des 20 ans d’ouverture aux littératures du monde, les 10 textes des auteurs « à découvrir » présentés par les écrivains « confirmés ». Publiée par les éditions Actes Sud, elle sera diffusée gratuitement auprès des partenaires à l’occasion des rencontres et disponible en octobre. Premier événement de cette édition-anniversaire des 20 ans des Belles Etrangères, les 20 écrivains invités et leurs traducteurs se retrouveront pour les Assises de la traduction littéraire à Arles (A.t.l.a.s.) au Centre international de la traduction littéraire (C.i.t.l.), partenaires des Belles Etrangères 2008, le 8 novembre pour des rencontres-ateliers de traduction et pour la soirée inaugurale organisée avec les éditions Actes Sud.

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Les vacances de Noël approchent à grands pas. Il est temps de penser à l’organisation des séjours pour vos enfants. Il est désormais possible de simplement envoyer les petits en vacances à l’étranger pour cette fin d’année, grâce aux différents camps de vacances. Une des plus tendance est par exemple la colonie de vacances en Espagne. L’occasion de découvrir une nouvelle culture et un nouveau pays Opter pour un séjour à étranger pour vos enfants peut présenter quelques avantages. Notamment, avec une colonie de vacances Espagne, ils pourront découvrir une nouvelle culture et un nouveau pays. Bien plus que des vacances, ce sont des séjours d’apprentissage. Ils pourront s’immerger complètement dans la langue espagnole. Vous n’êtes pas sans savoir qu’il n’y a rien de tel qu’un apprentissage sur le tas pour connaitre toute la subtilité et apprécier toute la beauté d’une langue de ce type. Plusieurs animations et activités seront prévues au programme. Vos enfants n’auront pas l’impression de travailler ou d’apprendre, mais bel et bien d’être en vacances. Vous n’aurez aucun mal à les convaincre. Réserver la colonie de vacances de vos enfants en ligne Convaincu ? Vos enfants aussi ? Il vous reste à faire la réservation en ligne. Prenez quelques semaines pour choisir la colonie de vacances en Espagne où vous souhaitez aller. Il en va du prix du séjour, mais également de sa réussite et de la sécurité ainsi que du bien-être de vos enfants. Les activités et les animations prévues ne seront pas les mêmes d’un camp de vacances à un autre. Focus donc sur la thématique du voyage. L’idéal serait de demander l’avis de vos enfants en la matière. Après tout, ce sont eux qui vont devoir y passer quelques jours. Par ailleurs, pour votre quiétude d’esprit, adressez-vous à des professionnels qui ont d’ores et déjà des années dans le métier et dans la prise en charge des enfants du même âge que le vôtre. C’est généralement le gage de la qualité des services. La destination est un autre élément important à prendre en compte. Séjour en bord de mer, en plein centre-ville ou dans les montagnes de l’Espagne : plusieurs choix s’offrent à vous. Faites quelques recherches avant de réserver pour assurer la réussite des vacances de votre enfant. Colonie de vacances en Espagne : comment s’y préparer ? Vous avez opté pour une colonie de vacances Espagne pour vos enfants ? C’est une bonne idée. Les organisateurs de ce type de séjour en ligne ne vous demandent que quelques centaines d’euros pour un séjour pouvant aller jusqu’à quelques semaines. Tout sera compris : la nourriture, l’hébergement et les activités. C’est pratique et rassurant pour les parents. Par contre, il faudra vous lancer dans des démarches administratives afin que vos enfants puissent profiter de cette prestation. Certes, ils n’auront pas besoin de VISA pour entrer en Espagne. Il n’en demeure pas moins que vos enfants auront besoin d’un passeport pour leur séjour, et ce, quand bien même ils ne prendront pas l’avion. Question

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A lui tout seul, le cinéma incarne un univers à part entière. C’est dans ce monde qu’évoluent acteurs et actrices en quête de la célébrité. Pourtant, l’industrie du cinéma a bien évolué. De nos jours, réussir dans ce milieu implique d’être multi-tasker. Un acteur capable d’endosser différents rôle sera davantage sollicité. L’expérience du héros de Vivarium C’est le nom de l’acteur américain Jesse Eisenberg, qui vient à l’esprit en prononçant ce film. Pour ceux qui ont raté l’évènement, Vivarium est un film de science-fiction sorti en 2019. D’une manière générale, le film a reçu des critiques favorables. Il relate l’histoire d’un jeune couple prisonnier dans un étrange quartier résidentiel. Lors d’une interview récente, le héro du film a révélé quelques facettes méconnues de Vivarium. Selon lui, ce film apparait beaucoup plus réel qu’il n’y parait. Il reflète des peurs bien concrètes. Derrière ce conte cauchemardesque se cachent des doutes typiques chez de nombreux couples comme fonder une famille, s’installer ensemble, …. L’acteur principal a déclaré avoir apprécié la façon avec laquelle Lorcan Finnegan a réalisé ce film. Plus qu’une seule catégorie de films Il existe plusieurs genres cinématographiques. On note parmi les plus appréciés la comédie romantique, la science-fiction, le biopic et les films d’aventure. Ainsi, il n’est pas rare de voir certains acteurs préférant se limiter à quelques genres de films. Par exemple, certains veulent rester dans les comédies. D’autres sont mondialement célèbres pour les films d’action. C’est le cas des acteurs comme Sylvester Stalonne et Jason Statham. Aujourd’hui, des changements sont pourtant constatés avec le registre cinématographique. L’univers du cinéma semble enclin à donner davantage de la place aux acteurs polyvalents. A l’exemple de Jesse Eisenberg, les acteurs sont nombreux à participer à différents projets de films. Ce dramaturge américain refuse de se limiter aux comédies classiques. Eisenberg a réussi à asseoir sa notoriété aussi bien dans les films plus intimistes que sur le tournage des blockbusters. Il n’y a pas que le cinéma dans la vie Réussir en tant qu’acteur c’est gagner en popularité. C’est un objectif pour bien de comédiens. Pourtant, l’histoire a démontré que la gloire dans ce milieu est souvent éphémère. On peut devenir célèbre aujourd’hui pour peu à peu tomber dans l’anonymat. Les témoignages de ceux ayant réussi dans ce domaine renforcent le doute quant à l’intérêt du métier d’acteur. Pour celui qui a incarné Lex Luthor dans Zack Snyder’s Justice League, l’ennui n’est jamais loin dans cet univers. Selon J. Eisenberg, il est toujours mieux d’aiguiser son inventivité lorsqu’on exerce un métier créatif comme celui d’acteur. « Travailler sur les plateaux de tournage est intéressant », affirme-t-il. Pourtant, cela peut devenir ennuyeux lorsque le travail se transforme en tâche répétitive. En d’autres termes, il recommande d’explorer son talent pour faire autre chose et pour donner du sens à sa vie. En dehors de son travail d’acteur, Eisenberg exerce d’autres métiers passionnants. Le dramaturge déclare avoir écrit plus d’une seule pièce de théâtre. Il est sur le point de faire ses pas dans

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La 54e édition de la Foire Internationale de la Photo à Bièvres, organisée par le Photoclub Paris Val-de-Bièvre en collaboration avec la commune de Bièvres, aura lieu cette année les 3 et 4 juin prochains. La photo est plurielle : technique, art, elle se décline de mille façons. Elle s’adapte, compose, évolue au fil du temps, toujours en phase avec son époque et dialoguant avec ses origines. Véritable institution pour tous les amateurs et passionnés de photo, les collectionneurs à la recherche de l’objet photographique rare, la Foire internationale de la Photo à Bièvres demeure, depuis plus de 50 ans, l’un des plus grands marchés de l’occasion et des antiquités photographiques d’Europe. Ce marché ne constitue d’ailleurs pas son seul attrait puisque expositions, conférences, animations, ateliers, signatures et marché des artistes viennent étayer cette véritable fête de la photographie. Depuis quelques années, la Foire innove, se rapproche des nouvelles technologies et s’intéresse à la jeune création. Pépites anciennes ou plus récentes Imaginez deux hectares entièrement dédiés à la photographie. Cette année encore, plus de 200 exposants ont répondu présents pour participer à cet événement international. Le marché de l’occasion et des antiquités photographiques proposera des boîtiers, filtres, objectifs, trépieds mais aussi des objets qui peuvent paraître étranges aux néophytes : photosphères, lanternes magiques, chambres de voyage, stéréoscopes. Les affiches et les caméras de cinéma, livres rares, photos anciennes, objets publicitaires viennent compléter cet inventaire à la Prévert. Les appareils argentiques, pellicules, papier photographique et autres accessoires comblent toujours les photographes amateurs ou professionnels. Des appareils numériques d’occasion sont également proposés. Une rétrospective des œuvres d’Isabel Muñoz au travers d’extraits de différentes séries emblématiques Photographe espagnole, Isabel Muñoz, a reçu, en 2016, le prix national de la photographie du ministère espagnol de la culture. Commencées au Foto Centro de Madrid, ses études photographiques l’ont conduite ensuite aux États-Unis pour maîtriser différentes techniques photographiques, notamment les procédés anciens dont elle est une grande spécialiste. Ses tirages au platine sur papier albumine sont d’une grande subtilité et délicatesse, cependant l’artiste travaille aussi en couleurs. Des danseurs de tango et de flamenco aux ethnies guerrières d’Éthiopie, des portraits des Maras, les membres de gangs du Salvador, aux adeptes d’une confrérie religieuse en Irak, sa photographie est centrée sur l’être humain, entre sensualité et paraître, entre intimité et communauté. Elle sait capter les chairs, les formes, les postures, mais aussi les codes, les signes et les rituels de communautés. Elle explore l’univers des corps en action, en mouvement, au travers de la danse, de la lutte, des arts martiaux, de la tauromachie. Elle travaille tout autant sur les corps mis en scène, sublimés, peints, parés, scarifiés, tatoués, des corps sociaux. Exposition de Christian Izorce, une journée à Dapelogo, Pogbi ou la scolarisation des jeunes filles au Burkina Faso : un projet qui s’inscrit dans la tradition du reportage humaniste, véritable leçon de vie. Les 10e Rencontres de Bièvres (conférences, débats et démonstrations sur la photographie) accueilleront des invités prestigieux parmi lesquels Jean-Christophe Béchet (le livre

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En 2016, le Louvre et le Musée d’Orsay ont vu leur fréquentation baisser, notamment en raison de la diminution de touristes étrangers. Le Centre Pompidou est en nette progression grâce notamment à une majorité de visiteurs français. Le début de l’année 2016 a été marquée par une forte baisse de la fréquentation des lieux ouverts au public comme les musées suite aux attentats de novembre 2015. Le Centre Pompidou a vu finalement le nombre de ses visiteurs progresser de 9 % en 2016 passant la barre des trois millions de visites (3.335.509 personnes). Le Louvre a vu le nombre de visiteurs baisser de 15 % sur la même période avec 7,3 millions de visites. Cela représente une perte d’au moins 9,7 millions d’euros, a annoncé son président-directeur, Jean-Luc Martinez. Le Musée d’Orsay voit sa fréquentation baisser de 13 % par rapport à 2015 (3 millions de visiteurs).

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Un album et plusieurs EP dont le dernier « Bloquer le Pays » confirment la tendance d’un son qui se radicalise. Un groove reggae avec des accents urbains, hip-hop et des guitares saturés, c’est sans détour que ce combo parisien souhaite soutenir ici les mouvements contestataires et leurs revendications. Aquatics, c’est déjà une centaine de concerts dans toute la France et à l’étranger (Rototom Reggae Sunsplash en Italie), des premières parties (Max Roméo à l’Élysée Montmartre, Winston McAnuff), des salles parisiennes remplies (New Morning, Maroquinerie, Petit Bain) et en province (L’Antirouille à Montpellier, La Moutete à Orthez…) et du partage avec d’autres groupes français (Danakil, Tu Shung Pen, Naaman…). « Décroissance » – Un titre cru et efficace pour prendre à contre-courant les messages incessants qui nous poussent à produire davantage, à consommer encore et encore.« Aquatics nous livre ici avec « Décroissance » un album tout en français plein de ferveur, de colère mais aussi d’optimisme. Cet éclat d’émotions se ressent tant dans la production explosive que dans les paroles vibrantes.Des ritournelles enivrantes sur fonds de reggae, de rock et d’acoustique popularisés avec des mots méticuleusement choisis. »

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Plus d’un million de personnes, dont 40% d’étrangers, ont visité le Musée Picasso-Paris depuis sa réouverture en octobre 2014, a annoncé le musée mercredi dans un communiqué. Après cinq ans d’importants travaux, le musée Picasso, installé dans l’Hôtel Salé au sein du quartier du Marais, a rouvert ses portes le 25 octobre 2014. Le musée compte quelque 5.000 oeuvres, dont 297 peintures et 368 sculptures. Plus d’un million de personnes ont fréquentation le musée Picasso depuis octobre 2014. Parmi les visiteurs étrangers, les pays les plus représentés sont les États-Unis, la Grande-Bretagne, la Belgique et l’Allemagne. Le musée Picasso présentera à partir du 8 mars « Picasso.sculptures », une exposition dédiée à « la dimension multiple à travers la question des séries et variations, fontes, tirages et agrandissements ».

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De son vrai nom NDOM’A DECCAH GRACE, est née à Douala, d’un père expert automobile et d’une mère pédagogue. Au début des années 80, ses parents qui la prédestinent à un bel avenir, l’envoient poursuivre ses études en France où réside déjà son frère aîné BEN DECCA, chanteur émérite et grande Star du Makossa Camerounais.Il la surprendra un soir d’hiver 1983 à Paris, en train de fredonner les mélodies de son futur album « Pour vous ». Émerveillé par la singularité, la douceur et la sensualité de la voix de sa sœur,  Ben lui proposera alors de chanter avec elle, la célèbre chanson « Na Sengui Bobe ». Ce duo sera tellement apprécié par le public qu’il fera un véritable tube et la fera connaître en dehors des frontières du Cameroun. Après ce premier et grand succès, la jeune chanteuse, tout en continuant ses études, sera régulièrement sollicitée par des musiciens de toutes nationalités pour des collaborations diverses.C’est ainsi qu’en 1987, Jean Jacques GOLDMAN  le célèbre auteur compositeur sollicitera sa voix dans « A nos actes manqués ». Bien que son existence soit partagée entre les studios et les études, GRACE DECCA obtiendra dans la foulée un DEUG en Culture et Communication et un BTS en Outils de Gestion.  En 1989, elle entre en studio pour son premier album solo : « Besoin d’amour ». Le public découvre enfin celle qui se cachait derrière les chœurs et les duos de son frère. L’album à sa sortie reçoit un accueil plus que favorable; Plus de 150 000 exemplaires de cassettes et vinyles seront vendus au Cameroun, un exploit. Le disque est numéro 1 pendant plusieurs mois dans les hits parade africains. GRACE DECCA joue la carte de la sensualité et de la séduction à laquelle il faut ajouter élégance raffinée et discrétion. Très vite, elle devient le modèle de toutes ces dames qui veulent plaire et son succès sur scène provoque une véritable frénésie chez ses admirateurs. C’est l’occasion de souligner les divers passages télévisés pendant lesquels les présentateurs ne tarissent pas d’éloges en son endroit, tant ils sont subjugués par la personnalité et le charisme de leur invitée. En 1993, elle sort son album « Doï la Mulema » (Le cri du cœur). Celui-ci vient confirmer tout le bien qu’on pensait déjà d’elle. GRACE DECCA s’impose désormais comme la meilleure de sa catégorie.  Les fruits de ce beau travail ne se font pas attendre. Le disque est la meilleure vente et le meilleur album de l’année 1993. Il se retrouve N°1 dans les différent hits parade Camerounais et Africains pendant plusieurs mois. Le tout couronné par deux nominations aux African Awards ! Cet album a connu un succès intense et sans précédent dans l’histoire du Makossa.  GRACE DECCA maîtrise alors l’art de ressortir la profondeur des émotions contenues dans les textes et les mélodies afin de les transmettre fidèlement à son public.  Ce succès ne lui fait pas pour autant abandonner ses études, au contraire elle obtiendra entre temps une licence et une maîtrise en sciences de l’éducation avec pour thème de mémoire

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Hippocrate Benjamin va devenir un grand médecin, il en est certain. Mais pour son premier stage d’interne dans le service de son père, rien ne se passe comme prévu. La pratique se révèle plus rude que la théorie. Délivre-nous du mal A New York, le policier Ralph Sarchie enquête sur une série de crimes. Il s’associe avec un prêtre non conventionnel, spécialisé dans les rituels d’exorcisme. Tous deux vont lutter contre les possessions qui terrorisent leur ville. Maintenant ou jamais Quand on est une mère de famille, en principe, on ne braque pas les banques. Mais par les temps qui courent, ça peut être une solution pour assurer l’avenir de son foyer, et ne pas renoncer à ses rêves. Même si jouer les voleuses peut vite devenir dangereux, et les mauvaises rencontres se transformer en histoire d’amour… Métamorphoses Devant son lycée, une fille se fait aborder par un garçon très beau mais  étrange. Elle se laisse séduire par ses histoires. Des histoires sensuelles et merveilleuses où les dieux tombent amoureux de jeunes mortels. Le garçon propose à la fille de le suivre. Obvious Child A quelques jours de la Saint Valentin, Donna Stern, une jeune comédienne habitant à Brooklyn, perd son travail, se fait larguer par son petit ami, déprime, a une aventure alcoolisée d’un soir et… tombe enceinte. Boys Like Us Trois amis gays, trentenaires névrosés, parisiens agités, perdus dans les montagnes autrichiennes. Entre sommets vertigineux et gouffres abyssaux, il est peut-être temps de faire le point sur leurs vies, leurs amours et leur amitié… Piège de cristal Des terroristes investissent le siège social d’une multinationale à Los Angeles. Holly, l’ex-femme de John McClane, policier new-yorkais venu sur la côte Ouest pour Noël, est prise en otage. McLane, enfermé dans le bâtiment, passe à l’action… Irina, la Mallette rouge 1995, la guerre de Bosnie  se termine. Mais les violences entre ethnies ne disparaissent pas. Pourchassé par quelques miliciens, Irina  9 ans et son père s’enfuient. Son père touché par le tir d’un sniper laisse Irina seule et livrée à elle-même. Le Secret de Kanwar Inde post-coloniale. Umber Singh, un patriarche sikh, se voit contraint de fuir son village natal devant le nettoyage ethnique qui suit la partition de l’Inde et du Pakistan en 1947… Mary Kom Née dans une zone tribale de l’Est de l’Inde, Mary Kom finira championne internationale de boxe. Ce biopic retrace la vie incroyable d’une femme qui se servira des injustices pour nourrir sa rage de vaincre. Grand Nord 3D – Les ailes de Johnny May S’il est des « road movies », voici un « sky movie » qui nous fait survoler de grands espaces, mais aussi voyager dans le temps. Nous sommes en vol avec Johnny May, un pilote inuit de 64 ans. Il a été probablement le premier de son peuple à faire ce métier au Canada, du moins il l’a été au Nunavik.

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Niebko, premier disque, premier coup de maître : Nell Sin est seule aux machines et aux voix. Coup de projecteur sur une météorite polonaise dans le ciel français. Accords exigeants, mélodies audacieuses finement tissées de sonorités électroniques ; instruments méconnaissables, enrôlés de force par des rythmiques autoritaires : tout tient en un fort bel équilibre très maîtrisé. Les mots en anglais tombent, aériens, comme depuis un nuage lourd et métallique, se répandant en pluies nordiques assumées. Et là, une artiste prend son envol, dans un ciel onirique et froid digne des tempêtes polonaises que n’aurait renié aucun Chopin. Nell Sin part en voyage, en quête d’une identité poétique et sonore. Effrontée, tendre, aérienne, emportée, elle  pousse une grande voix aux confins d’un ciel noir, déchiré, argenté et violent, allergique à toute sorte de facilité. « Something is going to happen » est le premier single de l’album « Niebko ». Une sorte d’introduction ouvrant sur le lyrisme urgent et décapant de Nell Sin. Oui. Les trains passent vite, dans ce monde étrange. Il s’agit de sauter dans le bon wagon, qui nous emmènera vers d’autres horizons. On ne sait pas lesquels. Mais ici ce n’est pas assez, et c’est bien ce que semble nous chanter cette voix habitée, tout au long du disque. Il y a aussi des titres rétro-électro, emmenés par une voix aussi belle que tyrannique, nous imposant son talent incontestable : « Violence » est un bijou vocal sous fond d’accordéon, d’orgues d’église et de banjos. Etrange. Une petite visite dans le monde déjanté de « Cobweb » nous rappelle aussi que l’ange roux sait jouer du clavecin. Mélodies surprenantes, harmonies renversées. Envols arrêtés net, circonvolutions, chutes douces, remontées dans les airs à la vitesse du Diable : des morceaux comme « Fathom out » ou « Hover over the Devil’s back » valent aussi le détour. Enfin, la jolie ballade « Niebko », en point d’orgue de l’opus, laisse planer une saveur d’éternel, emprunte de douceur enfantine, mais sans naïveté. Belles voix, piano chaleureux, un au revoir au clavecin et à la harpe, une note finale surprenante pour un album hanté. Hanté par quoi ? On ne le sait pas encore. Mais ce premier album n’est que le premier d’une longue liste, à n’en pas douter. On finira donc bien par le savoir. Avec plus de 45 dates en 2013, la pianiste/chanteuse virtuose, seule dans ses horizons étranges, emmène son public là où elle le veut, regardant droit où son destin la mène. Le rythme de ses machines et la couleur baroque de ses accords lui promettent un avenir radieux.

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