Du 12 avril au 22 juillet 2013, le Palais des Beaux-Arts de Lille propose l’exposition « Traits de génie » présentant une sélection des 200 plus beaux dessins de la collection du Palais. Le Palais des Beaux-Arts de Lille dispose d’une collection exceptionnelle de dessins anciens. Avec plus de 1 000 dessins datant du XIVe au XVIIIe, il compte des chefs-d’œuvre de Raphaël, Michel-Ange, Botticelli, Cranach, Dürer, Holbein ou Poussin. Durant cette exposition qui doit durer jusqu’au 22 juillet 2013, le Palais des Beaux-Arts de Lille présentera 200 plus beaux dessins de cette collection rarement montrés au public en raison de leur fragilité. Cette exposition sera enrichie par des créations originales de l’artiste Ernest Pignon-Ernest. A l’invitation du musée, il a réalisé et expose des dessins de grand format réinterprétant les effets graphiques des dessins anciens. Infos pratiques : Tarifs : (exposition seule) 6 € – 4 €. Tarifs : (exposition + musée) 8 € – 6 €. Visite guidée : le dimanche à 16 h 30 et le lundi 14 h 30 Tarif : 4 € + droit d’entrée à l’expo. Nocturnes gratuites :Vendredi 28 Juin, et Lundi 22 Juillet, de 18h00 à 21h00. Jours d’ouverture : Lundi : 14h – 18h / Du mercredi au dimanche : 10h – 18h. Place de la République, Lille

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Au fil d’une biographie riche, complète, lucide et passionnée, Julien Gautier nous fait redécouvrir Bob Dylan, cet artiste exceptionnel et déroutant qui a toujours rejeté les rôles dans lesquels certains ont voulu l’enfermer. A travers cette légende vivante, polymorphe et incontournable, c’est un voyage inoubliable au cœur de la pop culture qui nous tend les bras. Que signifie encore Bob Dylan à notre époque ? Personnage introverti et impénétrable, la voix abîmée, le chanteur mythique poursuit en 2010 une tournée sans fin et ses prestations scéniques inégales peuvent parfois dérouter les anciens fans. Mais attention à ne pas cataloguer l’icône de la contre-culture américaine des années soixante comme un has been pathétique dont les chefs-d’œuvre passés n’auraient été composés qu’entre 1962 et 1966. Auteur de chansons inoubliables – Blowin’ In The Wind, Like A Rolling Stone, Lay Lady Lay etc. –, Bob Dylan, né Robert Zimmerman en 1941, a inspiré des générations de musiciens et de poètes tout en se métamorphosant au fil du temps pour forger une œuvre exceptionnelle qui renferme des perles à toutes les époques, depuis ses débuts à New York en 1961 jusqu’à aujourd’hui. Tour à tour poète, compositeur et chanteur de folk, de folk-rock, de country, de gospel ou de blues, écrivain, peintre aussi, il n’a jamais cessé de surprendre les foules. Un artiste total, bien au-delà de la simple légende des “sixties”…

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La Belgique est une excellente destination de vacances, pour ses objectifs touristiques comme pour sa culture. Par le nombre de jours fériés et de festivals différents, la Belgique tient fermement la tête des pays européens. Chaque année, environ 2000 festivals, fêtes et événements y sont célébrés et organisés, dont voici quelques-uns d’entre eux. En décembre La nuit de Noël en Belgique est spéciale. Lorsque la nature disparaît, les signes de la renaissance de la vie commencent à avoir une signification particulière. À cet égard, il est de coutume d’apporter dans la maison des conifères ou des représentants de la flore, qui prennent vie en hiver. À Noël, les gens aiment raconter des légendes. Afin de les effrayer, ils fumigent leurs maisons avec de la fumée de genièvre et passent en processions avec des torches ou des bougies allumées tout autour de la maison. Les Belges soufflent également un cor spécial. Le lendemain des vacances, il est de coutume de se rendre dans les théâtres et les concerts et de passer la soirée dans un restaurant avec des parents et des amis. En avril Lors de votre voyage Europe, vous devez assister aux carnavals à La Louvière et Stavelot en avril. Le festival du folklore est également célébré ce mois-ci à Louvain. Dans la nuit du 30 avril au 1er mai, la veille de la fête du printemps et du travail, les Belges brûlent l’effigie de l’hiver pendant la danse des sorcières. Le 13 mai dans la ville d’Ypres, il y a un défilé de chats. Il a eu lieu pour la première fois en 1955. Au Moyen Âge, les chats étaient considérés comme un symbole du mal. On croyait à l’époque que le meurtre de chats avait rachetée les gens de leurs péchés, de sorte que les malheureux chats ont été jetés de la tour centrale de la ville. Aujourd’hui, au lieu de vrais animaux, des animaux en peluche volent à leur place. En mai Le 19 mai commence la célébration de la fête du Doudou. Il est célébré dans toute la semaine prochaine. Les Belges célèbrent le Doudou en l’honneur de la victoire sur la peste. La tradition de cette fête est profondément ancrée dans le 14ème siècle, lorsque la maladie a reculé après une procession religieuse dans la ville de Mons. Les événements solennels commencent par une procession dans les rues de la ville, avec des participants vêtus de costumes de l’époque médiévale. En juin Au début de l’été, les Belges célèbrent la fête des Pères, devenue l’équivalent de la fête des Mères. Le principal motif de la fête était le désir de souligner le rôle du père dans la famille et aussi dans l’éducation de la progéniture. Les 23 et 24 juin, une reconstitution historique de la dernière bataille de l’empereur Napoléon contre l’armée alliée a lieu à Waterloo. Les participants sont vêtus de costumes du début du 19e siècle. Vous verrez partout de nombreux accessoires, armes et objets historiques d’une époque révolue. En juillet, août et

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Explosif, festif, solaire. Extratime est un mariage totalement inattendu entre de l’électro et de la pop sixties !!! Une idylle entre deux univers qui jusque là, n’avaient pas pour habitude de se fréquenter. Cette union donne une couleur particulière à ce son à la fois moderne et vintage. Extratime-Le Clip Une comédie loufoque qui se joue dans l’espace… ou comment des cosmonautes, des strip-teaseuses à tête d’ours et un guitariste made in Chuck Berry perdus dans l’univers tente de rentrer en contact. A noter la participation de Laïka, première chienne mise en orbite autour de la Terre. Un remake de « Gravity » sans gravité. Une attraction des astres. THE NEW FRENCH CONNECTION Le trio The New French Connection ne marche qu’au son pop, électro et vintage. César, Kojak et Korkoviak, les trois lascars qui le compose, ont été modelé à coup de Brit-pop et de DJing. Produit par Maranta Production, ils se sont adjoints le talent de Louis Arlette, ingénieur du son du groupe AIR, pour mixer leur single Extratime. Un EP est prévu pour l’automne 2016.

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Parfois le blues et le folk ont ce pouvoir d’émouvoir, de secouer ou de réveiller des émotions vitales, par le feu des guitares et les voix sans artifice, comme une lumière crue, généreuse et sans filtre qui nous transperce. C’est le tour de magie réussi par ce trio franco anglais rafraichissant de sincérité. Sparky In The Clouds c’est la mine malicieuse de Mathias, guitariste et compositeur français, nourri de rock, de funk et de jazz, collaborant à l’occasion pour le théâtre, et deux soeurs anglaises au minois pétillant, Miranda et Bryony, musiciennes accomplies, grandies près des falaises du Devon dans une famille de hippies. Forcément avec un père joueur de Sitar et une mère irlandaise chantant de la folk en gaélique au petit déjeuner, les soeurs Perkins n’ont pas pu échapper au bon génie de la musique. Et quoi de mieux que cette partie escarpée de la côte anglaise pour rêver d’apercevoir, par dessus la houle, l’Amérique qui les inspire tant. Mais c’est en France que le trio s’est trouvé. Une performance improvisée au fin fond de la Seine et Marne leur donne envie d’aller plus loin. Bryony oublie pour un temps sa carrière de danseuse et Miranda ses cours de yoga, les trois complices rêvent voyage, concerts et partage. C’est donc à Berlin, puis entre Paris et Londres que le trio va trouver sa voie en jouant partout où il est possible de poser une guitare, un tambourin et deux micros. Bonne école pour tester grandeur nature le pouvoir de chansons que personne n’attend encore et trouver un premier public. Le groupe possède une force singulière parce qu’il ne triche pas, les voix hypnotisent et les arrangements nous transportent. Sparky In The Clouds se fait vite remarquer par ses performances solaires et habitées et le trio multiplie les concerts. Mathias, Miranda et Bryony jouent aux 3 Baudets à Paris et partout en France avant de briller notamment sur la scène des sélections du festival Rock en Seine en 2015 et, plus récemment, au Divan du Monde. Tout au long de leur EP, les chansons de Sparky In The Clouds nous touchent par leur humanité, un subtil registre flower power ponctué de mille petites nuances qui prouvent leur curiosité et quelques ruées plus rugueuses qui possèdent le charme des classiques. « Underneath » sonne comme une sourde révolte, l’appel à une prise de conscience d’un changement nécessaire pour nous même comme pour la marche de la planète. « Rise and fall » appelle à l’amitié. Et si l’amour est parfois en souffrance, comme dans « Take away my love », c’est toujours avec l’idée de sortir encore plus fort des épreuves de la vie. Une étincelle dans les nuages ! Voilà le sens de Sparky in the clouds. Jolie métaphore pour évoquer l’univers d’un groupe lumineux, plein de vie et qui parvient à dissiper la brume avec un naturel désarmant. A grands renforts d’harmonies vocales célestes et de mélodies aériennes inspirées par le blues du delta, la folk et quelques

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De son vrai nom NDOM’A DECCAH GRACE, est née à Douala, d’un père expert automobile et d’une mère pédagogue. Au début des années 80, ses parents qui la prédestinent à un bel avenir, l’envoient poursuivre ses études en France où réside déjà son frère aîné BEN DECCA, chanteur émérite et grande Star du Makossa Camerounais.Il la surprendra un soir d’hiver 1983 à Paris, en train de fredonner les mélodies de son futur album « Pour vous ». Émerveillé par la singularité, la douceur et la sensualité de la voix de sa sœur,  Ben lui proposera alors de chanter avec elle, la célèbre chanson « Na Sengui Bobe ». Ce duo sera tellement apprécié par le public qu’il fera un véritable tube et la fera connaître en dehors des frontières du Cameroun. Après ce premier et grand succès, la jeune chanteuse, tout en continuant ses études, sera régulièrement sollicitée par des musiciens de toutes nationalités pour des collaborations diverses.C’est ainsi qu’en 1987, Jean Jacques GOLDMAN  le célèbre auteur compositeur sollicitera sa voix dans « A nos actes manqués ». Bien que son existence soit partagée entre les studios et les études, GRACE DECCA obtiendra dans la foulée un DEUG en Culture et Communication et un BTS en Outils de Gestion.  En 1989, elle entre en studio pour son premier album solo : « Besoin d’amour ». Le public découvre enfin celle qui se cachait derrière les chœurs et les duos de son frère. L’album à sa sortie reçoit un accueil plus que favorable; Plus de 150 000 exemplaires de cassettes et vinyles seront vendus au Cameroun, un exploit. Le disque est numéro 1 pendant plusieurs mois dans les hits parade africains. GRACE DECCA joue la carte de la sensualité et de la séduction à laquelle il faut ajouter élégance raffinée et discrétion. Très vite, elle devient le modèle de toutes ces dames qui veulent plaire et son succès sur scène provoque une véritable frénésie chez ses admirateurs. C’est l’occasion de souligner les divers passages télévisés pendant lesquels les présentateurs ne tarissent pas d’éloges en son endroit, tant ils sont subjugués par la personnalité et le charisme de leur invitée. En 1993, elle sort son album « Doï la Mulema » (Le cri du cœur). Celui-ci vient confirmer tout le bien qu’on pensait déjà d’elle. GRACE DECCA s’impose désormais comme la meilleure de sa catégorie.  Les fruits de ce beau travail ne se font pas attendre. Le disque est la meilleure vente et le meilleur album de l’année 1993. Il se retrouve N°1 dans les différent hits parade Camerounais et Africains pendant plusieurs mois. Le tout couronné par deux nominations aux African Awards ! Cet album a connu un succès intense et sans précédent dans l’histoire du Makossa.  GRACE DECCA maîtrise alors l’art de ressortir la profondeur des émotions contenues dans les textes et les mélodies afin de les transmettre fidèlement à son public.  Ce succès ne lui fait pas pour autant abandonner ses études, au contraire elle obtiendra entre temps une licence et une maîtrise en sciences de l’éducation avec pour thème de mémoire

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À l’occasion de ses 105 ans, le musée des Beaux-Arts de Valenciennes fait peau neuve. Elément essentiel pour le rayonnement de Valenciennes, et fleuron du patrimoine régional, le musée des Beaux-Arts de Valenciennes ferme ses portes jusqu’au 24 septembre 2015, journée de réouverture au public. Les travaux de rénovation du musée des Beaux-Arts de Valenciennes ont débuté au cours de l’hiver 2013. Ils s’intensifieront à partir du mois de septembre 2014. Le musée fermera au public à partir du 8 septembre 2014 et ouvr ira de nouveau ses portes le 24 septembre 2015. Vingt ans plus tard, la Ville de Valenciennes relance un grand projet pour son musée, afin de réaliser des travaux conséquents pour la rénovation du bâtiment et des espaces situés au premier étage : • Remplacement du système de chauffage et de climatisation, essentiel pour la bonneconservation des oeuvres.• Renouvellement des éclairages, pour une lumière unifiée, proche de celle qui pénètregénéreusement par les verrières zénithales et les grandes baies du musée aux meilleuresheures de la journée.• Remplacement de l’ensemble des parquets.• Remise en peinture des cimaises.• Consolidation et réaménagement de l’escalier d’accès extérieur.• Réaménagement de l’accueil du musée (accueil, billetterie, comptoir de vente, vestiaires).• Refonte du parcours muséographique des salles.• Création d’un espace convivial à l’arrière du musée. A l’occasion des travaux de rénovation et de réaménagement intérieur, l’accueil du musée des Beaux-Arts de Valenciennes connaîtra un nouvel agencement, autour d’un mobilier dessiné sur mesure par un architecte scénographe. L’espace permettra une meilleure articulation des services d’accueil, de billetterie, de vente d’ouvrages et de vestiaire, dans le plus grand respect de l’architecture des lieux. De nouveaux outils de médiation viendront compléter l’offre déjà existante. Un parcours dans les collections créé par un ingénieur du son enrichira l’audioguide de manière atypique, pour une approche exclusivement sonore des oeuvres. S’y ajoutera un parcours musical conçu avec les élèves et les professeurs du Conservatoire à rayonnement départemental de Valenciennes, et les ensembles de La Chapelle du Hainaut et d’Harmonia Sacra, spécialisés dans la musique ancienne et le patrimoine musical de l’ancienne province de Hainaut aux XVIIe et X VIIIe siècles. Dans la rotonde centrale du musée, un ensemble de tablettes tactiles devraient éclairer sous un jour nouveau la genèse des oeuvres de Jean-Baptiste C arpeaux, des premières esquisses dessinées et modelées jusqu’aux grands modèles définitifs et à leurs réalisations monumentales. Enfin, le musée des Beaux-Arts de Valenciennes proposera de nouveaux contenus sur ses pages Internet, dans une arborescence et avec un graphisme repensés. Le public jeune sera particulièrement à l’honneur, avec un mini-site pensé avec et pour eux, grâce au travail de 30 étudiants en Master 2 de « Création et Ingénierie numériques » de l’Université de Valenciennes et du H ainaut-Cambrésis (département Arts).

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Peu connu en France, le groupe Bongo Botrako présente leur 2ème album baptisé « Revoltosa ». Sur des rythmes chauds aux accents rock, le groupe nous livre une musique entrainante et percussive traitant de sujets engagés dans un style qui leur est propre, avec un public fidèle et toujours plus nombreux dans toute la péninsule et en Europe. Ce nouveau disque produit par Amparo Sánchez se montre plus fin, plus exquis et plus réussi que jamais. Il compte avec la collaboration de Canteca de Macao, Amparo Sánchez, Joan Garriga (La Troba Kung-Fú), Gerard Casajús (La Kinky Beat), le chanteur Benjammin ou le trompétiste Jose Alberto Varona. Bongo Botrako a compté sur le dessinateur et illustrateur cubain Roberto Ramos pour créer un digipack graphique et original dont les illustrations  reflètent leur musique. En seulement trois ans et demi, les Bongo Botrako ont plus de 190 concerts à travers la péninsule ibérique et la France. Leur nom commence à résonner partout, par le bouche à oreille… Concerts : 18 mai Pau (64) 19 mai Saint Genies de Fontedit 24 mai Fêtes patronales Montsoué 8 juin Arcangues (64) 13 juillet Amotz (64) 21 septembre Arboucave (40)

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Mr & Mme Rêve : un nouveau spectacle de danse et d’Irréalité Virtuelle de la Compagnie Pietragalla-Derouault. La compagnie donnera prochaine plus d’une dizaine de représentations. Avec Mr & Mme Rêve, la danse rencontre la réalité virtuelle pour un spectacle renversant où l’excellence de la danse de Marie-Claude Pietragalla et de Julien Derouault est magnifée par la technologie spécialement développée par Dassault Systèmes, et par la musique de Laurent Garnier. Avec Mr & Mme Rêve, Marie-Claude Pietragalla et Julien Derouault rendent hommage au père du « théâtre de l’absurde » Eugène Ionesco grâce à la 3D et au numérique, porte ouverte sur un monde fantastique inoubliable. La compagnie Pietragalla-Derouault donnera une dizaine de représentations en province, dont les 8 et 9 mars à Marseille et le 12 à Grenoble. A Paris, M. & Mme Rêve sera à l’affiche du Grand Rex, à compter du 12 mars 2014. C’est l’histoire de deux êtres imaginaires qui traversent le temps, fabulent leur vie, rêvent leur amour et se mesurent au réel l’espace d’un instant, celui d’un spectacle insolite et drôle qui défile sous nos yeux à la vitesse d’une étoile filante… Imaginez-vous danser dans le cosmos, nageant au milieu des mots, assister à une chorégraphie de rhinocéros tout en découvrant un monde étrange et pourtant si familier… Vous n’aurez qu’une seule envie : savoir qui sont ces 2 mystérieux personnages évadés du cerveau d’un géant et connaître leur histoire. Et si la réalité virtuelle immersive et les technologies de simulation utilisées au quotidien dans l’industrie permettaient d’inventer un nouveau langage scénique au service de l’imaginaire? C’est à cette question dont la réponse se trouve à la croisée de l’art, de la science et de la technologie, qu’une équipe d’ingénieurs-créatifs passionnés de Dassault Systèmes a répondu. En moins d’un an, ils ont créé avec Marie-Claude Pietragalla et Julien Derouault un spectacle d’un genre nouveau, donnant à voir et sentir l’irréalité virtuelle, celle de l’imaginaire. Pour la première fois, les projections sur une surface de 200m² créent un univers immersif réagissant en symbiose avec les danseurs. Mr & Mme Rêve1 & 2 février / Lens9 février / Béthune13 & 14 février / Joué lès Tours16 février / Saint Maur26 & 27 février / Mérignac8 & 9 mars / Marseille12 mars / Grenoble16 mars / Bulle19 mars / Morges21 & 22 mars / Genève23 & 24 mai / Châtillon A Paris du 12 au 24 mars 2014 au Grand Rex

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Unique en son genre, Mummenschanz a marqué et marque toujours le paysage théâtral en choisissant le silence comme langage. Avec un peu de carton et de pâte à modeler, quelques rouleaux de papier hygiénique ou un morceau de fil de fer, Mummenschanz donne vie à des univers entiers, emplis de petites et de grandes histoires narrées par d’étranges figures colorées, futuristes, étonnantes… Depuis sa création,Mummenschanz a «semé ses pépites de rire sur toute la planète». Après avoir séduit près de 150 000 spectateurs en Suisse en 2012, cette troupe légendaire a fait halte à New-York pour les fêtes de fin d’année 2012 avant d’entamer une tournée européenne. Du 21 au 26 mai 2013, le public français aura enfin l’occasion de les découvrir pour la première fois au Casino de Paris lors de 6 représentations exceptionnelles. Un spectacle culte, inclassable et unique à savourer en famille! Les idées ingénieuses de cette troupe fondée à Paris en 1972 par Andres Bossard, Floriana Frassetto et Bernie Schürch, n’ont cessé de transporter les publics du monde entier. Mummenschanz est devenu plus qu’un nom. C’est une forme d’art qui a marqué le monde du théâtre et plusieurs générations, avec des numéros jamais vus, inconnus, et uniques. Un spectacle sans aucun son qui surprend, étonne, et fascine. 40 ans après sa création, Mummenschanz ne ressemble à aucun spectacle et ne peut être classé dans une catégorie bien définie. Aujourd’hui encore, la presse s’interroge : s’agit-il de comédie, de danse, de théâtre, de mime ? Quoi qu’il en soit, la performance Mummenschanz reste originale, dynamique, incroyablement dans l’air du temps. Elle surprend par le changement rapide des tableaux et par son vaste répertoire. Elle donne au public des émotions intenses et multiples. Quel que soit son âge et sa culture, le spectateur plonge dans le monde créatif de Mummenschanz, où évoluent de façon fascinante des formes bariolées et des personnages hors du temps. Les Mummenschanz s’inspirent des concerts pour leur mise en scène. Le spectacle est composé des numéros à succès qui s’articulent comme un programme musical en trois vagues : les années 70 et 80 puis après l’entracte les années 90 et 2000. Une belle surprise attend les spectateurs à la fin du spectacle. Les quatre acteurs Floriana Frassetto , Philipp Egli, Raffaella Mattioli et Pietro Montandon apparaissent démasqués devant le public. Enfin, on peut mettre des visages sur les masques! Mummenschanz reste mystérieux. Mummenschanz rend pensif. Mummenschanz invite à rire. Aussi dans le futur ! Mummenschanz est un mythe depuis longtemps. Et ce mythe vit. Mummenschanz a toujours été un lieu pour l’imagination : deux yeux, deux oreilles, une bouche. Des masques fait de pâte à modeler, de calepin, de fil de fer ou de papier hygiénique. Voilà pourquoi on les surnomme «Les musiciensdu silence», parce qu’ils font du théâtre sans paroles. Même si de nouvelles figures se sont continuellement ajoutées, les Mummenschanz sont restés fidèles à eux-mêmes – du théâtre universel avec des mimes et des gestes. Peu importe que ce soit aux Etats

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