L’exposition Dynamo : Un siècle de lumière et de mouvement dans l’art, 1913-2013, a ouvert ses portes il y a quelques jours au Grand Palais à Paris. L’exposition occupe la totalité des Galeries nationales du Grand Palais, jusqu’au 22 juillet. L’exposition-événement du Grand Palais « Dynamo : un siècle de lumière et de mouvement dans l’art » a débuté le 10 avril et se terminera le 22 juillet prochain. Cette exposition explore les notions de mouvement et de lumière dans l’art abstrait du XXe siècle. Dans le cadre de Dynamo, 150 artistes sont présentés, parmi lesquels de nombreux artistes mondialement reconnus, comme : Ann Veronica Janssens, Anish Kapoor, John Armleder, Carsten Höller, Philippe Decrauzat, Jeppe Hein, Felice Varini, Xavier Veilhan., mais aussi Julio Le Parc, François Morellet, Gianni Colombo, Jesús Rafael Soto, Dan Flavin, Hans Haacke, James Turrell, Yayoi Kusama, Victor Vasarely, Kenneth Noland, Jean Tinguely, Yaacov Agam, Tony Conrad, Pol Bury, Alexander Calder, Marcel Duchamp, Gerhard von Graevenitz, Christian Megert, Nicolas Schöffer, Bridget Riley, Dan Graham, Takis, Gregorio Vardanega, et les collectifs d’artistes tels que le GRAV (groupe de recherche d’art visuel), et le groupe Zero. Infos pratiques : Dynamo. Un siècle de lumière et de mouvement dans l’art, 1913-2013 Au Grand Palais, entrée Champs ElyséesDu 10 avril au 22 juillet 2013

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MONUMENTA marque le retour d’Anish Kapoor à Paris, trente ans après sa première exposition dans la capitale. Il est considéré comme l’un des plus importants sculpteurs d’aujourd’hui. A voir jusqu’au 23 juin à la Nef du Grand Palais. Confrontation sans équivalent dans le monde, MONUMENTA invite chaque année un artiste d’envergure internationale à investir les 13 500 m² et les 35 mètres de hauteur de la Nef du Grand Palais, avec une œuvre inédite, conçue spécialement pour cet espace. Les trois premières éditions de MONUMENTA ont suscité l’enthousiasme, attirant en moyenne 150 000 visiteurs en cinq semaines. Confiée en 2007 à l’allemand résidant en France, Anselm Kiefer, en 2008 à l’américain Richard Serra, puis au français Christian Boltanski en 2010, c’est à Anish Kapoor, l’un des artistes majeurs de sa génération, qu’il a été, cette fois, proposé de se confronter à la Nef, du 11 mai au 23 juin 2011. Son ambition était de « créer un espace dans l’espace qui réponde à la hauteur et la lumière de la Nef du Grand Palais et où les visiteurs seront invités à entrer dans l’œuvre ». Le pari est réussi avec son Leviathan, une sculpture rouge foncé au volume hors norme composée de trois volumes ronds où chacun d’entre nous s’introduire.

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Le 12 janvier dernier, le conseil des ministres a adopté le décret organisant la fusion de la Réunion des musées nationaux (Rmn) et de l’Etablissement public du Grand Palais des Champs-Elysées dans un établissement public unique, aux fins de constituer un opérateur culturel de niveau international, bénéficiant d’un monument emblématique et prenant appui sur l’expertise et la complémentarité des activités des deux établissements. Jean-Paul Cluzel a été nommé Président de ce nouvel établissement dénommé Réunion des musées nationaux et du Grand Palais des Champs-Elysées (Rmn-Grand Palais). Cette fusion permet de doter le Grand Palais, né de l’exposition universelle de 1900, d’un projet culturel cohérent et de lui redonner son unité, mise à mal par la multiplicité de ses occupants. Le Grand Palais pourra ainsi mieux accueillir les grands événements culturels, qu’il s’agisse de la Foire internationale d’art contemporain (FIAC), de défilés de mode ou des expositions organisées dans les Galeries nationales par la Réunion des musées nationaux. L’objectif est également de moderniser les missions de la Réunion des musées nationaux, reprises par le nouvel ensemble, en matière d’ingénierie culturelle, et de renforcer ses partenariats avec les musées. Dans ce cadre, l’établissement se voit notamment confier la mission de constitution et de diffusion d’une photothèque numérique universelle qui devrait placer la France parmi les acteurs mondiaux de la photographie d’œuvres d’art. La nouvelle entreprise culturelle se voit ainsi reconnaître un double rôle : contribuer à faire de Paris et de la France des acteurs majeurs pour les grands événements culturels et doter le pays d’un leader mondial en termes d’ingénierie culturelle.

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Du 22 septembre 2010 au 24 janvier 2011, les Galeries nationales du Grand Palais accueillent une exposition exceptionnelle dédiée au peintre Claude Monet. Pendant plus de soixante ans, Claude Monet a peint sans relâche, élaborant une œuvre qui incarne l’expression la plus pure de l’impressionnisme, pour constituer au début du XXe siècle un des fondements de l’art moderne. C’est l’ensemble de ce parcours riche et fécond que l’exposition des Galeries nationales réinterroge. Cette exposition monographique est la plus importante manifestation dédiée à l’artiste depuis près de trente ans, lorsque s’était tenue aux Galeries nationales en 1980 une rétrospective en forme d’hommage.Depuis, les recherches sur l’artiste se sont multipliées et ont mis en lumière des aspects moins connus de son œuvre. Orchestrée selon des grands axes thématiques et chronologiques, l’exposition retrace la carrière de Monet, des débuts des années 1860 jusqu’aux ultimes tableaux liés au cycle des Nymphéas du musée de l’Orangerie. A travers près de deux cents œuvres, cette rétrospective veut susciter la surprise, la réflexion et la délectation du visiteur grâce à des œuvres célèbres et des tableaux méconnus, mais aussi grâce à des rapprochements inhabituels et des regroupements d’œuvres inédits. IllustrationFemme au jardinClaude MonetMusée de l’Ermitage, St Petersbourg© photographie : Musée de l’Ermitage / Vladimir Terebenin, Leonard Kheifets, Yuri Molodkovetshuile sur toile, 82,3 x 101,5 cm1866

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Auguste Renoir, grand peintre du XXe siècle, est exposé jusqu’au 4 janvier 2010 au Grand Palais. Figure emblématique de l’impressionnisme, l’accrochage propose de redécouvrir son œuvre à partir de 1880… D’Auguste Renoir, on connait ses portraits de danseuses, son style naïvement classé et souvent à tort à l’impressionnisme, ainsi que ses apports à l’art moderne, Picasso ou Bonnard s’en inspirant. Guillaume Apollinairedit alors que « Renoir grandit continuellement. Les derniers tableaux sont toujours les plus beaux. Ce sont aussi les plus jeunes » C’est sur ce thème que s’ouvre l’exposition, associant une centaine de peintures à des sculptures, en passant par des dessins. Compère de Monet, Morisot ou Sisley, Renoir était un artiste de son temps. Il aimait jouer de la palette, et esquissait souvent des touches colorées, douces, élancées, propre au mouvement. Las de celui-ci, et suite à un voyage en Italie en 1881, il se passionna pour l’oeuvre de Raphaël. Les fresques, d’un aspect décoratif, et d’une technique à couper le souffle, le laissait songeur. Bien que n’ayant pas une grande pratique du dessin, il décida alors de s’y convertir. Nombreux sont les dessins préparatoires qui le prouvent. Il dessina aussi des scènes aux femmes dénudées, à l’aspect charnel et aux formes volubiles. En témoigne l’une de ses plus grandes oeuvres, Les baigneuses, 1887. Evoquant les peintures de Titien ou de Rubens, ses personnages étaient emplis de sensualité et choquèrentà l’époque. Cette période de l’oeuvre de Renoir fut vivement critiquée et pourtant, elle fut la plus novatrice. Elle ouvra la voix à l’art décoratif, celle d’un « peintre des figures » comme il aimait se définir. Cet artiste, qui jusqu’au dernier jour de sa vie, chercha à saisir la peinture différemment, au-delà des acquis, alternant avec tact et choix, est ainsi récompensé par une grande institution nationale qui propose un regard neuf et admirable sur son travail.

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Le Grand Palais propose une exposition temporaire sur le thème du trompe l’œil et de l’illusion, jusqu’au 6 juillet 2009. Images doubles, elles hantent les tableaux, se jouent de nous et de notre perception. Composée de deux cent cinquante pièces, l’exposition ouvre la voie aux rencontres étonnantes. Au détour d’un chemin, votre regard se perdra dans les paysages trompeurs, munis de rochers aux visages déformés.Les artistes sont magiciens et nous inspire de nouveaux horizons. Ils sont à l’origine de cette grande histoire, cette illusion entre l’objet et le spectateur. Au premier étage, le chemin est parsemé d’oeuvres parmi lesquelles on trouve Arcimboldo. Ses Saisons révèlent des visages réversibles, construits avec des fruits et légumes.Au premier abord, les toiles sont abstraites pour se révéler figuratives. L’artiste s’amusait à définir l’homme hors de l’habituel dessin scientifique imposé par ces compagnons.Souvent reléguée au second plan, l’image double est portée à son apothéose, création mystique et étrange. Elle trompe habilement l’esprit. Autre artiste présenté : Dali. Maître espagnol du surréalisme, il créa des anamorphoses. Sa peinture était déformée, à l’aide d’un système d’optique.Au rez-de-chaussée, la suite de l’exposition continue. Dali savait conjuguer mystère et énigme. Nombreuses sont ses oeuvres qui contenaient plusieurs sens, et expressions poétiques. En témoigne certaines de ses oeuvres comme L’énigme sans fin, 1937. M.C Escher et ses perspectives délirantes nous font voyager étrangement entre impossibilité et continuité nous rappelant la grâce de De Chirico, l’homme aux symboles et aux personnages intrigants.Le viol, de Magritte ne laisse pas les spectateurs indifférents. Visage de femme, pourvu d’un vagin, l’ensemble est pour le moins déstabilisant ! Devant qui sommes-nous ? La question semble se répéter indéfiniment.Brancusi, Duchamp, Hockney et Raetz proposaient des visions différentes du monde, mais tout aussi trompeuses. Des miniatures persanes ou de l’art populaire, des cartes postales érotiques de 1910 en passant par Michel Ange, la diversité est présente et permet de suivre l’évolution artistique des siècles derniers. L’exposition se veut ludique permettant aux enfants de chercher des visages, des paysages ou des formes. Les réponses sont émises, nous permettant de savoir si notre oeil avait décelé le petit détail qui change tout. L’univers parait irréductiblement joueur. Tantôt cryptées de symboles, de devinettes, tantôt superposant plusieurs visions, l’image semble ambigüe. Elle amène à se questionner sur nos croyances et nos partis pris, sans nous offrir de certitudes, pour une réelle recherche et une ouverture d’esprit à développer en dehors des murs de l’exposition.

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Des portraits en séries ! Voilà ce que propose Le Grand Palais de Paris, autour du célébrissime Andy Warhol. Cette exposition aura lieu jusqu’au 13 juillet 2009. Keith Haring, Brigitte Bardot, Man Ray, Jane Fonda, Mickaël Jackson… Le Roi du Pop Art les a déclinés à l’infini, avec sa technique de sérigraphie et d’acrylique. Pendant des années, Warhol a représenté de nombreuses célébrités du monde entier. L’exposition propose de découvrir les grands moments de la carrière du peintre : les autoportraits, les Screen Tests, Mao, les Dollars,…Ce sont deux cent cinquante œuvres qui sont exposés, montrant l’étendu du travail de l’artiste. Ce fut en 1962 que Warhol peignait les portraits de Marylin Monroe et de Liz Taylor. Jusqu’en 1987, date de sa mort, il réinterpréta les visages de beaucoup, parmi eux, Mick Jagger, Roy Lichtenstein, Sylvester Stallone, Jackie Kennedy, ou David Hockney. Ces portraits d’apparences futiles, requièrent un procédé très personnel. Dans son atelier appelé « The Factory », l’artiste photographiait son modèle avec un Polaroïd. Il peignait puis transposait la sérigraphie. Il jouait cependant avec l’image, en gommant les imperfections comme le ferait un chirurgien. Une des salles est recouverte du portrait de Mao. Il réinterpréta le visage du dictateur à maintes fois, amenant presque un soupçon de sympathie. Debbie Harry, du groupe Blondie, fut elle aussi peinte. Glamour et rythme se succèdèrent. Warhol s’intéressa aussi au thème de la Mort. Il est surprenant pour beaucoup de découvrir cet aspect de son œuvre maiselle fut importante. L’artiste se représenta en fantôme, en ombre. Il reproduisit aussi des têtes de morts ainsi que leChrist cent douze fois sur fond noir. Le Roi du Pop Art se servait de matériaux parfois déconcertants comme de l’urine sur certaines de ses toiles. Il effectua des portraits à la poussière de diamant. Rien d’étonnant quand on sait que l’artiste faisait payer 25 000 dollars ses reproductions ! Entre outre, Warhol peut être comparé à un imposteur. Un imposteur, mais pas parce qu’il soutirait de l’argent pour des toiles répétitives, comme le pensent beaucoup, mais parce qu’il savait faire jaillir des émotions à travers ses portraits.Il réhabilitait les stars en être humains, caractérisé par des couleurs flashy qui permettaient de les figer d’une façon intemporelle dans le « cercle des proches de Warhol ».

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Cette exposition qui a lieu du 8 octobre au 2 février 2009 est organisée par la Réunion des Musées Nationaux, le musée national Picasso, le musée du Louvre et le musée d’Orsay. L’exposition se déroule dans une dizaine de salles où l’on peut découvrir les autoportraits, nus, portraits virils, portraits féminins, nature morte et peinture d’histoire. L’oppression ressentie par Picasso, jeune artiste virtuose, qui ne dessina jamais comme un enfant mais eut immédiatement à se confronter à Michel-Ange et Raphaël, nourrira pour longtemps un désir de subversion qui le conduisit à la plus radicale des innovations formelles, le Cubisme, comme à la fondation de l’art moderne. A la fois jeune maître académique (médaillé dès l’âge de 19 ans) et acharné destructeur des formes établies, Picasso mena sans discontinuer un dialogue tendu avec la grande tradition de la peinture. Sa posture n’est pas – comme chez d’autres artistes de sa génération – le simple reflet d’une époque en pleine mutation, mais un élément moteur, constitutif de son projet pictural. Il opère depuis sa première grande composition à sujet allégorique, Derniers Moments (1896), jusqu’aux dernières toiles d’après Vélasquez, Titien et Rembrandt, où règnent sous les masques de mousquetaires, musiciens et matadors, le motif d’un autoportrait obsessionnel. La période des « variations » d’après Delacroix, Vélasquez ou Manet (1950-1962), forme l’épisode le plus connu et explicite de cette démarche de relecture critique qui traverse l’ensemble de son œuvre. L’exposition Picasso et les maîtres présentée aux Galeries nationales du Grand Palais se veut un premier bilan. Quelques 210 œuvres se trouvent rassemblées pour l’occasion, issues des collections les plus prestigieuses, publiques et privées, nationales et internationales. Confrontant passé et présent, au-delà des ruptures stylistiques et des innovations formelles, l’exposition présente dans un parcours croisant approches thématique et chronologique, au gré de la peinture de Picasso et en la prenant pour seul guide : Greco, Vélasquez, Goya, Zurbarán, Ribera, Melendez, Poussin, Le Nain, Dubois, Chardin, David, Ingres, Delacroix, Manet, Courbet, Lautrec, Degas, Puvis de Chavannes, Cézanne, Renoir, Gauguin, Douanier Rousseau, Titien, Cranach, Rembrandt, Van Gogh. Espagnols, Français, Italiens, Allemands, ces peintres forment la trame plurielle d’un motif serré où la peinture apprend de la peinture. Un cannibalisme pictural sans précédent est à l’œuvre dans la démarche de Picasso qui érige en système, la peinture de la peinture. En rupture avec les procédés académiques de transmission et de reproduction de la tradition – copie, paraphrase, citation – cette méthodologie nouvelle place la peinture au cœur de la connaissance du monde. Transposition, mimétisme, détournement, dénaturation forment quelques unes des figures de la stratégie déployée par Picasso à l’égard de ses peintres de prédilection. Il aura ainsi fécondé le modus operandi de la création moderne et contemporaine, la tirant aussi parfois du côté de la duplication perverse, de l’ironie et du pastiche. Simultanément, deux ensembles thématiques d’œuvres de Picasso sont regroupés au musée du Louvre, autour des Femmes d’Alger de Delacroix, et au musée d’Orsay, autour du Déjeuner sur l’herbe de Manet. Illustration : Le Matador, Pablo Picasso, 4 octobre 1970Huile

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Du 12 avril au 22 juillet 2013, le Palais des Beaux-Arts de Lille propose l’exposition « Traits de génie » présentant une sélection des 200 plus beaux dessins de la collection du Palais. Le Palais des Beaux-Arts de Lille dispose d’une collection exceptionnelle de dessins anciens. Avec plus de 1 000 dessins datant du XIVe au XVIIIe, il compte des chefs-d’œuvre de Raphaël, Michel-Ange, Botticelli, Cranach, Dürer, Holbein ou Poussin. Durant cette exposition qui doit durer jusqu’au 22 juillet 2013, le Palais des Beaux-Arts de Lille présentera 200 plus beaux dessins de cette collection rarement montrés au public en raison de leur fragilité. Cette exposition sera enrichie par des créations originales de l’artiste Ernest Pignon-Ernest. A l’invitation du musée, il a réalisé et expose des dessins de grand format réinterprétant les effets graphiques des dessins anciens. Infos pratiques : Tarifs : (exposition seule) 6 € – 4 €. Tarifs : (exposition + musée) 8 € – 6 €. Visite guidée : le dimanche à 16 h 30 et le lundi 14 h 30 Tarif : 4 € + droit d’entrée à l’expo. Nocturnes gratuites :Vendredi 28 Juin, et Lundi 22 Juillet, de 18h00 à 21h00. Jours d’ouverture : Lundi : 14h – 18h / Du mercredi au dimanche : 10h – 18h. Place de la République, Lille

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Formé en Juin 2008, le groupe Kandy est un « power trio » composé de : Victor Lefebvre , Vincent H et Gregory Pittet. En Janvier 2009, le groupe signe chez Akamusic son premier single « Je pars » produit par 294 internautes et devient ainsi le premier groupe de Rock Français produit par le grand public ! Rencontre avec Kandy, un groupe soutenu par Lartino … Kandy est un groupe composé de 3 membres venant d’univers musicaux, mais aussi de régions géographiques variés. En effet: Gregory (batterie), 26 ans, est originaire d’Annecy, Vincent (basse), 28 ans, vient d’Evreux alors que Victor (chant+guitare) a grandi à Reims. Ces 3 artistes sont attirés par la musique dès leur plus jeune âge. Gregory et Vincent jouent depuis plus de 15 ans de leurs instruments respectifs (formation, cours…), alors que Victor est autodidacte en guitare et chant et ne joue réellement que depuis 5 ans. Ce sont 3 personnes très atypiques, avec des influences variées, allant du métal à la pop, mais qui au final sont complémentaires: une des particularités de Kandy qui se ressent surtout en live! Comment vous êtes-vous rencontrés ? Nous nous sommes rencontrés lors de nos études à Dijon.Un soir, alors que Victor était en solo pour un concert guitare-voix au Palais des Congrès de Dijon, il se fait remarquer par la précédente formation de Grégory et Vincent et à l’issu d’un bœuf, rejoint leur groupe en tant que guitariste rythmique (cette précédente formation était désormais formée de 5 musiciens). En juin 2008, Victor décide de faire découvrir sa musique au public en sortant un EP en autoproduction. Il demande à Vincent et Greg de l’accompagner en studio et le déclic est immédiat: Kandy est né! Qui fait quoi ? Victor écrit et compose la majorité des chansons et les propose ensuite à Greg et Vincent pour les retravailler ensemble afin qu’elles correspondent à l’ensemble du groupe et que chacun puisse se les approprier.Et chacun apporte sa touche personnelle pour les arrangements afin que chaque chanson soit au final celle d’un groupe: Kandy! Quelles sont vos influences ? Nos influences musicales sont très variées allant du métal (Gregory) à la pop (Vincent), en passant par le rock (Victor).Cependant les influences principales de Kandy sont Led Zeppellin, les Rolling Stones, The Who, Telephone,… surtout le Rock couvrant la période 60-90 pour faire large.Concernant les influences d’écriture, elles sont surtout issues de voyages, rencontres, vie quotidienne, rien n’est laissé au hasard, il y a toutefois une grande part d’imaginaire et d’abstrait dans les textes, peut-être pour cacher une vérité? Comment êtes-vous arrivé sur Akamusic ? Par hasard!Plus sérieusement, nous nous intéressions aux labels communautaires, qui permettent aux artistes de présenter leur musique au public.Akamusic nous a séduit, de part ses modes de production (single puis album), mais également pour la liberté de pouvoir s’y inscrire librement, surtout que le pouvoir de décision est rendu aux principaux intéressés, les auditeurs. Nous voulions être choisis par une vraie communauté, et non présélectionné par

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