Organisées par Périphérie, association basée en Seine-Saint-Denis qui œuvre à la création et à la diffusion du documentaire, les Rencontres du cinéma documentaire réunissent cette année des films qui s’attachent à rendre sensibles, à travailler, le temps, la durée, la figure du plan-séquence. La 22e édition du festival « Les Rencontres du Cinéma Documentaire » se déroulera  du 11 au 17 octobre 2017 au Méliès de Montreuil. « Pourvu que ça dure» est un titre quelque peu provoquant. Il s’agit de proposer des films qui, d’une durée objectivement brève ou longue, ont avant tout une temporalité juste. Car c’est dans une certaine temporalité que peut se développer une relation approfondie avec l’autre, que peuvent être accueillis les surgissements du réel, qu’au spectateur, est donnée la possibilité d’investir ses émotions, ses pensées. Le plan-séquence est une des modalités de mise en scène de cette relation au temps. L’exigence qu’il impose nous fera pardonner son côté «m’as-tu-vu», car il demande des cinéastes une virtuosité, une maîtrise, un courage assez exemplaires. Mais pour nous quel plaisir à partager un moment, à admirer un mouvement d’une vertigineuse complexité, à se laisser gagner par une (ciné) transe. En présence des réalisateurs et des réalisatrices : Wang Bing, Alain Cavalier, Abraham Cohen, Rémi de Gaalon, Marie Dumora, Jonathan Le Fourn, Christophe Loizillon, Mariana Otero, Emily Richardson, Cendrine Robelin, Frederick Wiseman… En savoir plus…

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De son vrai nom NDOM’A DECCAH GRACE, est née à Douala, d’un père expert automobile et d’une mère pédagogue. Au début des années 80, ses parents qui la prédestinent à un bel avenir, l’envoient poursuivre ses études en France où réside déjà son frère aîné BEN DECCA, chanteur émérite et grande Star du Makossa Camerounais.Il la surprendra un soir d’hiver 1983 à Paris, en train de fredonner les mélodies de son futur album « Pour vous ». Émerveillé par la singularité, la douceur et la sensualité de la voix de sa sœur,  Ben lui proposera alors de chanter avec elle, la célèbre chanson « Na Sengui Bobe ». Ce duo sera tellement apprécié par le public qu’il fera un véritable tube et la fera connaître en dehors des frontières du Cameroun. Après ce premier et grand succès, la jeune chanteuse, tout en continuant ses études, sera régulièrement sollicitée par des musiciens de toutes nationalités pour des collaborations diverses.C’est ainsi qu’en 1987, Jean Jacques GOLDMAN  le célèbre auteur compositeur sollicitera sa voix dans « A nos actes manqués ». Bien que son existence soit partagée entre les studios et les études, GRACE DECCA obtiendra dans la foulée un DEUG en Culture et Communication et un BTS en Outils de Gestion.  En 1989, elle entre en studio pour son premier album solo : « Besoin d’amour ». Le public découvre enfin celle qui se cachait derrière les chœurs et les duos de son frère. L’album à sa sortie reçoit un accueil plus que favorable; Plus de 150 000 exemplaires de cassettes et vinyles seront vendus au Cameroun, un exploit. Le disque est numéro 1 pendant plusieurs mois dans les hits parade africains. GRACE DECCA joue la carte de la sensualité et de la séduction à laquelle il faut ajouter élégance raffinée et discrétion. Très vite, elle devient le modèle de toutes ces dames qui veulent plaire et son succès sur scène provoque une véritable frénésie chez ses admirateurs. C’est l’occasion de souligner les divers passages télévisés pendant lesquels les présentateurs ne tarissent pas d’éloges en son endroit, tant ils sont subjugués par la personnalité et le charisme de leur invitée. En 1993, elle sort son album « Doï la Mulema » (Le cri du cœur). Celui-ci vient confirmer tout le bien qu’on pensait déjà d’elle. GRACE DECCA s’impose désormais comme la meilleure de sa catégorie.  Les fruits de ce beau travail ne se font pas attendre. Le disque est la meilleure vente et le meilleur album de l’année 1993. Il se retrouve N°1 dans les différent hits parade Camerounais et Africains pendant plusieurs mois. Le tout couronné par deux nominations aux African Awards ! Cet album a connu un succès intense et sans précédent dans l’histoire du Makossa.  GRACE DECCA maîtrise alors l’art de ressortir la profondeur des émotions contenues dans les textes et les mélodies afin de les transmettre fidèlement à son public.  Ce succès ne lui fait pas pour autant abandonner ses études, au contraire elle obtiendra entre temps une licence et une maîtrise en sciences de l’éducation avec pour thème de mémoire

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C’est aux premiers jours du printemps 2012 qu’ouvrira Forme publique, la première biennale de création de mobilier urbain initiée par Defacto, l’établissement public de gestion, d’animation et de promotion de La Défense conçue par le scénographe urbain Jean-Christophe Choblet. En décembre 2010, un appel à projets ouvert à tous, étudiants comme professionnels, était lancé pour recueillir des pistes de réflexion pour le futur mobilier urbain du premier quartier d’affaires européen sur des usages de la vie quotidienne. Plus de 100 réponses ont été reçues et en mars 2011, après une analyse technique réalisée par un comité d’experts, le jury présidé par Patrick Devedjian, Président du Conseil d’administration de Defacto composé de Joëlle Ceccaldi Raynaud, député-maire de Puteaux, Jacques Kossowski, député-maire de Courbevoie, tous deux vice-présidents de Defacto, Anne-Marie Boutin, présidente de l’A.P.C.I (Agence pour la Promotion de la Création Industrielle) et de l’architecte Edouard François se réunissait pour désigner les lauréats. 8 projets lauréats étaient retenus sur les différents usages : – Poser, se reposer : Maxime Lalleman, Kevin Lambert et Pierre Desnoues, Thierry Payet– Attendre, s’abriter : « Défense de jouer », Jonathan Allain, Enric Cailleau, Jérémy Griffon et Mathieu Lamour– Déjeuner : « Dune », Ferpect : J.Aich, J.C Dumont, S.Perruche – Aubrilam « Ilôt », Léonard Gugi/Gilles Lefèvre « La grande cantine », Jean Baptiste Hardoin– Travailler, se cultiver : « Stanze », la Ville Rayée, JC Decaux Ce fut ensuite le temps de l’attribution des subventions, de la mise au point des projets, de la fabrication des prototypes et de l’organisation pratique de cet événement qui est, rappelions-le, une grande première tant sur la forme que sur le fond. Cette longue mais indispensable phase s’achève aujourd’hui et, dès le 22 mars 2012, le public pourra découvrir tout au long de l’esplanade de La Défense les réalisations des lauréats. Commencera alors la passionnante phase de retour d’expérience puisque sur les quatre saisons, jusqu’en décembre 2012, habitants, salariés et visiteurs du premier quartier d’affaires européen pourront tester en grandeur réelle ces prototypes. Leur perception et leur appréciation guidera Defacto dans ses choix quant au futur mobilier urbain de La Défense. Deux info-boxes accueilleront le public. Trois rencontres débats entre des professionnels et le public ponctueront le temps de l’expérimentation. « Forme Publique » répondra ainsi totalement à la volonté de Patrick Devedjian de faire de La Défense le site de référence en matière de traitement de l’espace public. Elle traduit l’ambition de Defacto de donner une nouvelle image résolument novatrice de l’espace public de La Défense et cela grâce à une politique d’échange, de dialogue et d’écoute avec tous les acteurs du site.

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Elephanz a été crée en 2008 par les frères Jonathan et Maxime VERLEYSEN à Nantes. La musique qu’ils proposent est une pop légère aux mélodies ultra-efficaces, qui rappelle immanquablement les Kinks, Les Pixies, Bowie ou Neil Young, c’est selon. Un son racé et maîtrisé dont les textes ne pouvaient qu’être dans la langue de Shakespeare. A écouter d’urgence ! Elephanz a sorti mi-2011 un nouvel EP deux titres : « Stereo » et « Do you like my song ? (new version)” réalisés par Pierre Guimard (Lilly Wood & the prick) et mixés par Antoine Gaillet (M83, Toxic Avenger…) Le groupe propose une écriture à plusieurs facettes, tantôt cynique et acerbe, tantôt tendre et pleine d’espoir, le plus souvent en empathie avec l’anti-héros moderne, déçu, largué et bien trop en admiration devant les filles. Sur scène ELEPHANZ se compose de Jonathan au chant lead et à la guitare électrique, de Max au contre-chant et aux claviers, de Clément à la batterie et de Thibaud à la basse et trompette.

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Du 3 décembre au 2 janvier, le Centre Pompidou proposera une rétrospective intégrale du réalisateur hongrois Béla Tarr , en sa présence. Cette rétrospective inédite du réalisateur hongrois, lauréat de l’Ours d’argent au festival de Berlin 2011 pour son dernier film Le Cheval de Turin, présentera l’intégralité d’une oeuvre radicale et visionnaire. Récompensé dans le monde entier, le cinéma de Béla Tarr est caractérisé par la maîtrise du plan séquence, la composition d’un noir et blanc magique et captivant et le refus de la prédominance du scénario. Il compte parmi ses admirateurs l’écrivain Susan Sontag, le critique Jonathan Rosenbaum, les acteurs Michael Lonsdale et Tilda Swinton, les cinéastes Gus Van Sant, Jim Jarmusch et Guy Maddin. Du samedi 3 décembre au lundi 2 janvier, les écrans du Centre Pompidou montreront quatre courts et dix longs métrages de Béla Tarr. Ce dernier présentera cinq de ses films dont  Le Cheval de Turin lors d’une soirée exceptionnelle pour l’ouverture sur invitation du cycle,  mardi 29 novembre 2011. Une Master Class exclusive de Béla Tarr sera également organisée. Au-delà des projections, le Centre Pompidou propose une série d’événements pour aller plus loin dans l’œuvre du cinéaste (conférence, table ronde, documentaire inédit ….).

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En décembre 2010, Defacto lançait un appel à projets, pour la manifestation novatrice « Forme Publique », initiée par Defacto et conçue par le scénographe urbain Jean-Christophe Choblet .Les résultats sont désormais connus… Ouverts à tous, étudiants comme professionnels, cet appel à projets avait pour objectif de demander à des designers, des créateurs ou des artistes, des pistes de réflexion pour le futur mobilier urbain du premier quartier d’affaires européen, et sortir ainsi des schémas classiques et être une force d’innovation.   Après une sélection des meilleures propositions reçues et analysées par le Comité d’experts de Forme Publique, (composé de professionnels du mobilier urbain, d’artistes, d’architectes et de designers), le jury* a retenu 8 projets lauréats : Poser / se reposer         Maxime LallemanKevin Lambert/Pierre DesnouesThierry Payet Attendre / s’abriter         « Défense de jouer » Jonathan Allain /Enric Cailleau/Jérémy Griffon/ Mathieu Lamour Déjeuner« Dune », Ferpect : J.Aich/J.C Dumont/S.Perruche – Aubrilam « Ilôt », Léonard Gugi/Gilles Lefèvre« La grande cantine », Jean Baptiste Hardoin Travailler, se cultiver      « Stanze », la Ville Rayée, JC Decaux L’ensemble des dossiers retenus est d’une grande qualité et d’une créativité exigeante, la pointe indispensable de fantaisie n’en est heureusement pas absente. Les études vont maintenant démarrer pour affiner les projets et permettre la réalisation des prototypes qui seront implantés sur l’ensemble du site et testés, au fil des quatre saisons, en grandeur réelle par l’ensemble des utilisateurs du site, qu’ils soient touristes, habitants ou salariés.

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Dans le prolongement du mois de la photo 2010, L’Institut Français présente la série Portrait(s) du Monde, du photographe français, Jonathan Zabriskie, jusqu’au 30 avril 2011. Cette série a été présentée en Colombie dans  le cadre de l’exposition « Paisajes de la Consciencia » au MAMBO, la France Invitée d’Honneur, de la 3ème Biennale Internationale de photographie à Bogota, au MAMM de Medellin et au Museo del Arte  de Moderno, La Tertulia de Cali. Grand Reporter de Guerre, durant plus de quatorze ans, Jonathan Zabriskie a sillonné la planète. Dans un tissage permanent, son travail témoigne de la souffrance et de l’espoir des hommes. L’œuvre en cours rend hommage à des personnalités, qui ont eu le courage de défier un pouvoir, de bousculer des idées reçues, de se battre pour une cause généreuse.

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Du samedi 11 décembre 2010 au dimanche 13 mars 2011 aura lieu, à Bordeaux, l’exposition Natura Naturata. Sept artistes contemporains bordelais s’inspirent de la nature et présentent leurs créations à la Maison écocitoyenne, au Jardin Botanique et au musée d’Aquitaine. « Natura Naturata » permet de découvrir l’importance de la représentation végétale et sa symbolique, dans les religions et les mythologies orientales et occidentales. Sculpteurs, architectes, peintres et plasticiens se sont toujours largement inspirés de la nature : végétaux, arbres, fleurs, feuillages, paysage et forêts jalonnent l’histoire de l’Art, donnant lieu à des visions très diverses. Avec l’exposition Natura Naturata, ces sept artistes contemporains (Cathy Schein, Laurent Cerciat, Jonathan Longuet, Laurent Chiffoleau, Guillaume Toumanian, Alain Béguerie et Richard Cerf) confirment cette éternelle fascination pour la nature. Ils vont inventer, bricoler, peindre des forêts, restituer des paysages à partir de photographies, de films vidéo, de décors, de collages et de découpages.

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Le Musée d’Art moderne de la Ville de Paris (ARC) présente, du 8 octobre au 2 janvier, la première rétrospective en France du photographe et réalisateur Larry Clark, né en 1943 à Tulsa aux Etats-Unis. L’exposition, conçue en étroite collaboration avec l’artiste, revient sur cinquante années de création à travers plus de deux cents tirages d’origine, pour la plupart inédits. L’exposition, interdite aux moins de 18 ans, est une rétrospective du photographe et réalisateur Larry Clark dont le travail a, à plusieurs reprises, créé la polémique. Le photographe aime en effet capturer des images de l’adolescence dans un style plutôt sexe drogue, et rock n’roll. De ses clichés noir et blanc du début des années 1960 aux longs métrages qu’il réalise depuis 1995 tels que Kids (1995), Bully (2001) ou Ken Park (2002), Larry Clark, internationalement reconnu pour son travail, traduit sans concession la perte de repères et les dérives de l’adolescence. À côté des portraits de nouveaux-nés et d’animaux réalisés par sa mère photographe dont il était l’assistant, l’exposition présente les images mythiques de Tulsa (1971) et Teenage lust (1983), ainsi que des oeuvres inédites de ces périodes. Un film 16 mm sur la vie des toxicomanes de Tulsa, tourné en 1968 et récemment retrouvé, est également projeté pour la première fois. Des skateboarders de New York au ghetto latino de Los Angeles, Larry Clark révèle, dans ses séries photographiques des années 1990 et 2000, le quotidien de jeunes adultes en quête d’eux-mêmes, expérimentant drogues, sexe et armes à feu. Les séries 1992, The Perfect Childhood (1993) et punk Picasso (2003), toujours issues de la culture de la rue et du rock, affirment son regard acéré sur la marginalité, telle que l’Amérique refuse de la voir. Enfin, les grands formats en couleur de la série Los Angeles 2003-2010 ainsi qu’un long-métrage inédit accompagnent le passage de l’enfance à l’âge adulte de Jonathan Velasquez, jeune skater vénézuélien, personnage principal du film Wassup Rockers (2006). Depuis la parution en 1971 de Tulsa, ouvrage fondateur sur le désarroi et la violence d’une génération, le travail de Larry Clark hante la culture américaine. La force de ses images, au-delà de leur dureté et de leur noire séduction, réside dans la quête d’une vérité nue, d’un réalisme sans fard.   IllustrationLarry ClarkJack & Lynn Johnson, Oklahoma City, 1973Mention obligatoire : Courtesy of the artist,Luhring Augustine, New York and Simon Lee Gallery, London

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Les Petites Histoires d’Eux c’est la soirée de référence parisienne de courts métrages, offrant à la fois un divertissement de qualité au public, un lieu de diffusion à de jeunes talents, et un cadre de réseautage dédié aux professionnels des métiers du cinéma. La prochaine soirée aura lieu le 28 avril à partir de 22 heures. Lancée il y a deux ans et installée depuis 3 éditions au Comedy Club, théâtre créé par Jamel Debbouze, cet évènement rassemble aujourd’hui un public curieux, attentif et fidèle. La soirée, conceptualisée et organisée comme un véritable évènement, est présentée par un comédien humoriste, Tony Saint Laurent, un DJ, Dj Hotness et la programmatrice des « Petites Histoires d’Eux », Jessie Varin. Elle se divise en 3 actes : – Projection La première partie est consacrée à la diffusion de courts métrages sur écran géant. Après chaque film l’équipe du projet est invitée sur scène pour partager avec le public son expérience et quelques anecdotes. – Happening La deuxième partie de soirée est l’occasion de créer une ouverture vers d’autres disciplines artistiques en résonance avec la projection, comme la musique, le One Man Show, le slam, la danse, ou encore le VJing. – Echange Plus qu’une simple soirée de projections, nous souhaitons que ce moment de partage visuel donne lieu à un véritable espace d’échange et de dialogue entre les spectateurs et les équipes des films, les comédiens et les réalisateurs, les festivals et les diffuseurs… Les courts métrages à l’affiche Vanity Part réalisé par Jonathan KLUGER L’homme qui ne perdait jamais réalisé par Morgane S.Dalibert Self Defense réalisé par Thomas Gayrard 5 sur l’échelle de Ritcher réalisé par Myriam Moraly Les Incroyables Aventures de Fusion Man réalisé par Xavier Gens et Marius Vale Le Tocard de la fac réalisé par Rodolphe Pauly 70 Million – Hold Your Horses réalisé par David Freymond + Live de Hold Your Horses

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