Bonne nouvelle pour les fans de la saga Kill Bill. Quentin Tarantino et la société de distribution et de production The Weinstein Company ont annoncé qu’une version longue de Kill Bill verrait le jour en 2015. En 2015 sortira une version longue des aventures de Black Mamba. Baptisée Kill Bill : The Whole Bloody Affair, cette version devrait sortir dès l’année prochaine. Dans cette version de 4 heures, les spectateurs pourront donc découvrir les deux volets de la saga réunis en un seul, avec une séquence animée de près d’une demi-heure. L’annonce a été faite lors du Comic Con de San Diego le week-end dernier par Quentin Tarantino et la société de distribution et de production The Weinstein Company.

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La Maison Rouge, près de la Gare de Lyon à Paris, est un lieu éclectique et contemporain, qui propose au public une aventure ludique et jouissive, pleine de fun. L’exposition  » Vraoum ! Trésors de la bande dessinée et de l’art contemporain  » est visible jusqu’au 27 septembre 2009… Comment l’art contemporain s’est-il inspiré de la BD ? Voilà la problématique insufflée par le musée pour cette nouvelle exposition, de deux cents planches originales et d’une cinquantaine de tableaux L’onomatopée « Vraoum ! » correspond particulièrement bien à la gaieté et à l’ivresse qui surprend le visiteur dès son entrée dans le musée. Contemporain, forcément repeint de rouge, le bâtiment est lui même source d’inspiration. Entre contemporanéité et dessin, l’alliance de l’Art… La bande dessinée, cette planche de cases habillées de bulles de dialogues… Un art qui a trop souvent été relégué au second plan. La Maison Rouge nous montre comment Mickey, Superman, Batman, Little Nemo, Tintin, Gaston Lagaffe,… ont inspiré les artistes d’aujourd’hui Gilles Barbier, Erro, Bertrand Lavier, Takashi Murakami,… Au premier abord, le visiteur peut apercevoir des planches authentiques de bandes dessinées. De Tintin, en passant par Gaston LaGaffe, Black et Mortimer, Félix Le Chat, et Astérix, nombreux sont exposés. On découvre leurs univers, tronqués, bouleversés par les réadaptations d’artistes modernes et contemporains. Citons Keith Haring, Mickey House ou Fabien Versachaere, et son délicieux Mickey façon tête de mort. Les moments clés de l’exposition… Les Pionniers est un espace consacré aux illustres précurseurs de la bande dessinée, Winsor Mc Cay, avec Little Nemo, ou Charles M.Schulz, créateur de Snoopy. Ann Lee, personnage fictif dont les droits ont été acheté par Philippe Parenno, et Pierre Huygue, est mise en scène et prêtée à d’autres artistes. Elle devient vivante in situ. Les bestioles les plus connues sont celles de Walt Disney Production, véritable empire de l’imaginaire. Les créations sont décalées, le monde de l’enfant désacralisé. Wim Delvoye crée un Donald, qui subit le même sort que le Christ tandis que Hyungkoo Lee dissèque le squelette de Dingo. Mangas ! nous emmène dans un nouvel univers. Il est devenu un monde en soi, entre pulsion, bestialité, cyborg et sentimentalité. Il a inspiré notamment Quentin Tarantino avec Kill Bill. L’aspect pictural de la bande dessinée est exposé, au delà de la répulsion d’Hergé pour la couleur. Lichtenstein s’essaie à un nouveau genre, entre bande dessinée et œuvre d’art. Ses tableaux, faits de héros, de bulles de dialogues, en tout point semblables à la bande dessinée, font un carton. Beaucoup de peintres s’en inspirent : Séchas, Pratt, De Crécy… La rencontre des héros se moque gentiment des supers héros. Les artistes contemporains les discréditent, comme Virginie Barré et son Fat Batman, et Hervé Di Rosa. L’exposition se clôt sur la salle Supers Héros et cette déstabilisante installation, L’hospice, Gilles Barbier, présentant CatWoman, Superman, à l’âge de nos aïeuls. La Maison Rouge aura réussi à surprendre et à nous rapprocher de nos héros d’enfance, en ayant un regard neuf et décalé sur eux. L’association du monde contemporain

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Alors que le début des festivités approche, il est temps de refaire un point sur un festival Solidays qui s’annonce plus que réussi ! Pour les retardataires, sachez que les Pass Solidays 3j et 2j sont épuisés depuis des semaines, que le camping est complet et que les Pass jour s’écoulent plus vite que jamais. Il n’y en aura pas pour tout le monde… A Solidays, les nuits sont chaudes et cette 12édition ne fera pas exception. Pour preuve  le line up 2010 exceptionnelle ! Vendredi Wax Tailor, Archive, Kasabian, Ghinzu, General Elektriks, SMOD, Hocus Pocus, Winston McAnuf, Olivia Ruiz, Crookers, Féfé, Phoebe Killdeer and the Short Straws, Beat Torrent, Revolver, N*E*R*D, Audrey Lavergne, Curry & Coco, Blood Red Shoes, Elisa Do Brasil, Congopunk, Nasser live, Staff Benda Bilili, Trojan Sound System Samedi Rodrigo Y Gabriela, Diam’s, Wolfmother (annulé), Jamie Lidell, Miss Kittin, Skip the Use, BB Brunes, Babylon Circus, Hindi Zahra, Jil is Lucky, Fanga, Missill, Jamaïca, Vanessa Paradis, Toots & The Maytals, Mondkopf, Carmen Maria Vega, Meï Te ï Shô, Oldelaf, Tumi & The Volume, Bost & Bim, The Inspector Cluzo, Bang Bang Eche, Chinese Man, Jacques Higelin, Scratch Bandits Crew, Yvan Le Bolloch & ma Guitare… Dimanche Nneka, -M-, Femi Kuti, Delphic, Florence & the Machine, Ariane Moffatt, Gush, Souljazz Orchestra, Java, Shakaponk, Izia, Jeff Lang, Che Sudaka, Oxmo Puccino, Brother Ali, Local Natives, Pony Pony Run Run. Sans oublier les artistes de Paris Jeunes Talents, les Tremplins de la Région île-de-France et les Musiciens du Métro. Changements Horaires : vendredi les portes ouvriront à 16h et non à 15h comme stipulé sur les billets. Wolfmother annule sa tournée estivale pour raisons de santé et ne sera donc pas parmi nous. Mais une bonne nouvelle succédant souvent à une mauvaise, le groupe est remplacé par l’éclectique Jamie Lidell. La présence de ce personnage haut en couleurs à Longchamp promet à coup sûr un électrochoc scénique. Un festival pour les petits L’Espace Kids invite les 3-12 ans à découvrir une programmation artistique taillée sur mesure, dans un univers féérique où se déroulent ateliers, spectacles, activités éducatives et ludiques, animations… Le tout, bien entendu, au rythme de chaque enfant (espaces de repos, siestes, pauses goûter…) et sous l’étroite surveillance d’une équipe de professionnels. Attention : préinscription obligatoire.

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Toujours aussi éclectique et tournée vers la découverte, la programmation 2010 de Solidays devrait séduire les inconditionnels du festival tout comme les néophytes. Nul doute que les 80 concerts à l’affiche contribueront à faire plus de bruit contre le sida. L’appel à la mobilisation de Solidarité Sida pour des rencontres musicales et solidaires fécondes a été entendu.Malgré la crise et la rude concurrence entre festivals, les billetteries Solidays ont démarré en trombe. Il n’aura fallu que 9 minutes pour que les 10 000 Pass 3J de l’offre promotionnelle trouvent preneurs… Archive, Kasabian, Wolfmother ou encore Ghinzu mettront le rock dans tous ses états quand Wax Tailor, General Elektriks, Hocus Pocus, mais aussi Féfé feront vibrer les foules avec leur groove sexy.Cette édition de Solidays sera aussi le lieu de belles exclusivités avec la présence de l’envoûtante Vanessa Paradis pour une session acoustique à ne pas manquer, des 2 grandes lauréates des victoires de la musique Olivia Ruiz et Izia, des trop rares NERD, Rodrigo y Gabriela, Nneka, Crookers et de l’incroyable -M- en clôture du festival. Cette année encore, la programmation de Solidays est riche et on écoutera avec plaisir le punk-rock de Skip the Use, la rumba congolaise de Staff Benda Bilili, le blues-folk australien de Jeff Lang ou encore le flow unique du rappeur-prêcheur Brother Ali. Les monstres sacrés seront aussi de la partie : Jacques Higelin, pour son premier rendez-vous avec Longchamp et Toots & the Maytals pour de belles retrouvailles.Mais aussi : Diam’s, Hindi Zahra, Revolver, Winston McAnuff, Carmen Maria Vega, BB Brunes,  Shakaponk, The Inspector Cluzo, Babylon Circus, Gush, Oldelaf, Souljazz Orchestra, Local Natives, Java, Jil is Lucky, Tumi & The Volume, Oxmo Puccino, Ariane Moffatt, Beat Torrent, Chinese Man, Che Sudaka, Smod, Missill, CongopunQ, Meï Teï Shô, Scratch Bandits Crew, Curry & Coco, Jamaïca, Bang Bang Eche, Nasser, Delphic, Phoebe Killdeer & The Short Straws Fanga, sans oublier Les Artistes du Métro, les Talents de la Région Île-de-France et les lauréats de Paris Jeunes Talents. D’autres noms restent à annoncer le 15 avril. Les tarifs du Festival Solidays 2010 Pass 3 jours 49€, Pass 2 jours 44€, Pass jour 32€ (Gratuit pour les – de 12 ans).

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Le Musée du Jeu de Paume créer l’évènement en surfant sur la vague contemporaine, à l’affiche l’exposition « Planète Parr » du 30 juin au 27 septembre prochain… Derrière le personnage… Né en 1952, Martin Parr est un photographe britannique, mêlant dérision et acidité. Il fait parti de l’univers criant de la photographie documentaire. Il a travaillé sur de nombreux projets, démontrant les contrastes et les ambiguitésde l’humain. Deux phases cimentent sa carrière, ses photographies en noir et blanc célébrant les instants de vie et celles colorées représentant une satire sociale. « J’ai toujours collectionné, c’est une manie, presque une maladie à laquelle je ne peux résister. J’ai commencé par les fossiles, les nids d’oiseaux, les boulettes de plumes (…) aux timbres, aux tickets de bus et aux monnaies, jusqu’à ce que je découvre la photographie… » Collectionneur avisé, il porte un regard explosif sur notre monde, depuis plus de trente ans. Emergeant de la classe moyenne, l’artiste dissèque les richesses, source deconflits et de soucis, prêtant à l’explosion d’un monde à vif… D’abord clinquantes et cyniques, ses photos sont emplies d’humour et dénoncent les phénomènes de mondialisation, le tourisme de masse ou les comportements luxueux. Martin Parr émet une satire de la vie contemporaine. Ce que vous y verrez… Le jardin des Tuileries accueille la série Small World, ironie des touristes pris sur le vif : La plage artificielle de l’océan, Japon, 1996 ; Le Keukenhof, Hollande, 1994 ou L’hôtel the Venetian, USA, 2000. Dans le hall, des excentricités apparaissent, ne manquant pas de faire sourire. Barack Obama est mis en avant, à l’effigie de nombreux éléments : chaussures, préservatifs, paquets de céréales, slips… Nous retrouverons d’ailleurs cet aspect plus tard dans l’exposition… Tatcher, Spice Girls, Ben Laden, Abba, tant d’icônes pour des objets quotidiens : tasses, réveils, montres… La suite n’est que la collection émouvante, parfois poignante, sensuelle de Martin Parr. Parmi ces oeuvres, on retrouve Brian Griffin, Graham Smith, Chris Killip, mais aussi Cartier-Bresson et son Déjeuner sur les bords de Marne, 1938. L’artiste est très attiré par les années soixante de son pays. En ressort une collection d’ouvrages et de photographies, dont il ne se lasse pas. Une création retient notre attention tout particulièrement. Crée par Joan Fontcuberta, on y voit un prisonnier humilié, travail retouché à l’aide d’un photomosaïque des visages et des fonctions des individus malveillants. L’oeuvre est intransigeante et saisissante. Des photographies plus ironiques secouent l’exposition comme par exemple ces multiples points de vue d’hommes et de femmes différents mais portant le même vêtement. L’accrochage se clôt sur sa série Luxury, 2008. On y perçoit un échantillon du mauvais goût mondial :  Courses hippiques, South Africa, 2008 ; Emirats arabes, foire d’art contemporain, 2007 ; Ascot, Angleterre, 2003 ; Haute couture, Paris, 2007; Semaine de la mode à Moscou, Russie, 2004. Martin Parr met l’accent sur ces petits détails qui auraient pu être anodins, l’argent, les bijoux, le champagne, les écharpes en vison, l’habillement ridicule d’un chien, les pièces montées… C’est alors la luxure, la richesse qui détruisent les valeurs propres de notre monde. Comme

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Francis Cabrel, Suprême NTM, Lily Allen, Bénabar, Birdy Nam Nam, La Rue Ketanou, Cocoon et bien d’autres rejoignent l’affiche des 18e Vieilles Charrues aux côtés de Bruce Springsteen, Moby, Lenny Kravitz, Renan Luce, The Killers… Un événement estival à ne pas manquer ! De par son histoire incroyable, spontanée et inattendue, l’événement carhaisien a toujours fait figure d’extraterrestre dans l’univers des festivals. La fête de village est devenue en peu de temps l’un des plus grands événements musicaux de plein air en Europe et a su conserver l’esprit si particulier de ses débuts. Pour cette 18ème édition, c’est près de 80 formations qui vont se succéder pendant 4 jours. Les artistes de cette édition, parmi lesquelles on retrouve Bruce Springsteen, Moby, Lenny Kravitz, Francis Cabrel, Bénabar, The Killers, Suprême NTM, Renan Luce, Lily Allen, Birdy Nam Nam, Charlie Winston, Alela Diane, The Ting Tings, Julien Doré, The Rakes… créeront la sensation aux côtés des nouveaux venus dans l’espace musical, Izia, Coming Soon, The Jim Jones Revue, Naïve New Beaters… Depuis toujours, les organisateurs des Vieilles Charrues souhaitent rendre accessible le festival. Et cette année, plus que jamais, les Vieilles Charrues proposent des tarifs très abordables. Les tarifs 2009 Les forfaits trois jours (VSD) et billets journée sont en vente sur le site Internet des Vieilles Charrues et dans les réseaux habituels aux tarifs de 75 euros et 32 euros, soit à peine plus d’un euro par spectacle. Un demi-tarif est proposé pour les enfants de 9 à 14 ans, l’entrée étant gratuite jusqu’à 9 ans. Depuis les premières annonces de la programmation, les forfaits 4 jours et les billets du jeudi sont déjà épuisés. Ne tardez pas pour acquérir vos places pour la suite du week-end.

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