L’exposition « August Sander : Portraits, paysages, architecture » aura lieu au Théâtre de la Photographie et de l’Image de Nice, du 29 janvier au 15 mai 2011. Cette exposition a été conçue par Gerd Sander, petit-fils d’August Sander, et organisée en collaboration avec la Galerie Priska Pasquer, à Cologne et le Théâtre de la Photographie et de l’Image. August Sander compte parmi les grands photographes du XXe siècle, dont l’influence sur nombre de photographes et artistes contemporains reste aujourd’hui très présente. « La nature de la photographie dans son ensemble est documentaire » déclarait-il en 1931 au cours d’une de ses conférences radiophoniques. Cette phrase allait rester au cœur de sa conception du travail durant toute sa carrière. Autour de ces trois thèmes : portraits, paysages et architecture, l’exposition regroupera 120 images dont une partie en tirages d’époque et proposera ainsi au visiteur un panorama représentatif du travail artistique de ce grand photographe. IllustrationJeunes paysans, Westerwald, 1914© Die Photographische Sammlung/SK Stiftung Kultur – August SanderArchiv, Cologne ; ADAGP, Paris, 2011.Tirage argentique par Gunther Sander. Collection privée

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Du 3 au 12 septembre a lieu la 9ème édition du festival Paysages de cinéastes à Châtenay-Malabry. Cette année, le festival Paysages de Cinéastes a choisi de mettre à l’honneur « Pays Paysages, la France », et de s’attacher plus particulièrement à l’économie du cinéma français et ses répercussions sur le paysage cinématographique. Installé dans une des villes les plus verte de la petite couronne parisienne, PAYSAGES DE CINÉASTES, le Festival du Film de Châtenay-Malabry, a pour ambition de permettre à tous les publics de découvrir des œuvres cinématographiques d’auteurs talentueux de toutes nationalités. Parrainé par le réalisateur Claude Miller et soutenu par le Conseil  Général des Hauts-de-Seine, le festival propose chaque année de  mettre en lumière les liens qui unissent Cinéma et paysages, à travers plus 50 films présentés et de nombreuses rencontres. Une sélection de films en compétition : 8 longs métrages internationaux : Miel (Semih Kaplanoglu), Les Amours imaginaires (Xavier Dolan), Soldat de papier (Alexey German jr.), Pieds nus sur les limaces (Fabienne Berthau), I Wish I Knew (Jia Zhang-ke), Fix Me (Raed Andoni), Alamar  (Pedro González-Rubio), Le Quattro Volte, (Michelangelo Frammartino) et 12 courts métrages.

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Le Cachemire est une région du Nord de l’Inde qui est disputée par l’Inde et le Pakistan. La région est célèbre pour ses paysages de montagnes enneigées, ses lacs émeraude et ses champs de tulipes. Les habitants du Cachemire sont principalement des musulmans et ils parlent le cachemirien, une langue indo-aryenne. Le Cachemire est une région riche en histoire et en culture. Les premiers habitants de la région étaient les Dards, qui ont été suivis par les Indo-Aryens. La région a été ruled par les Perses, les Grecs, les Huns, les Mongols et les Turcs. En 1586, le Cachemire est devenu une province de l’Empire moghol. Après la chute de l’Empire moghol, le Cachemire est tombé dans les mains de différents rois et dynasties, jusqu’à ce qu’il soit annexé par l’Empire britannique en 1846. En 1947, l’Inde est devenue indépendante de l’Empire britannique et le Cachemire a été divisé entre l’Inde et le Pakistan. La région est toujours disputée par les deux pays et il y a souvent des conflits armés. Les relations entre l’Inde et le Pakistan se sont détériorées après la guerre de 1965 et la guerre de 1971. En 1999, l’armée pakistanaise a pénétré dans la partie indienne du Cachemire, ce qui a conduit à la guerre Kargil. Le Cachemire est une région magnifique et il est très regrettable que les relations entre l’Inde et le Pakistan soient si mauvaises. J’espère que un jour, les deux pays pourront régler leurs différends et que les habitants du Cachemire pourront vivre en paix.

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BAHLA voyage à travers les temps et les âges proposant sa vision de la condition humaine, des relations entre les êtres et de la différence. « No Man’s Land », réflexion sur notre existence et la valeur de nos sentiments, amorce le premier EP de BAHLA; un message à la fois grave et positif sur ce qu’il restera de notre passage sur terre : l’essentiel. Suivi de « A jamais » ou BAHLA recentre son propos sur le couple, sa fragilité, la puissance de ses instants présents laissés à la merci d’un devenir incertain. « Zone Libre », troisième titre de l’EP dépeint la singularité d’une fille en marge. Éloge à la diversité qui ne devrait être servit que par nos regards bienveillants. « Tout Recommencera » pose un regard critique sur les chimères qui ont poussés les hommes à s’asservir et se combattre. Un message d’espoir où l’humanité survivra à l’essoufflement, aux religions, à l’intégrisme, et aux systèmes des sociétés arrivées en fin de couse… BAHLA prend ensuite de l’altitude sur un instrumental inspiré des paysages de « Warens » qui dépeint les visions d’un aigle sur notre monde, et termine sur le thème de la dépendance, avec « Mon étoile ». Si le fond du propos est souvent sérieux, BAHLA dévoile des chansons légères et aériennes douées de mélodies séduisantes sur des musiques originales. La musique de Bahla est autant inspirée des musiques de films, des groupes de rock progressif (70’s), de la New Wave (80’s) que d’une culture héritée de la chanson française, au service d’une pop aérienne où se mélangent les chansons à texte et les instrumentaux psychédéliques et electro. La réalisation du premier EP a été confiée à Philippe Paradis qui, respectant l’ADN et l’univers des chansons, a su mettre en lumière le monde singulier de BAHLA.

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Une nouvelle édition de Photoquai se déroule cette année du 17 septembre au 17 novembre. La quatrième édition de PHOTOQUAI, « PHQ4 », biennale des images du monde crée en 2007 par le musée du quai Branly, se tient du 17 septembre au 17 novembre sur les quais longeant le musée du quai Branly et dans le jardin du musée, en partenariat avec des institutions culturelles parisiennes. La sélection 2013 rassemble 40 photographes issus de 28 pays. Cette année, la programmation est renforcée par deux expositions au sein du musée : Mezzanine Ouest, l’exposition Nocturnes de Colombie, Images contemporaines et à l’atelier Martine Aublet, l’exposition des lauréats des Résidences de PHOTOQUAI. Les trois premières éditions ont fait découvrir 162 photographes venus chaque année d’une trentaine de pays différents. Saluée dès sa première édition pour son originalité et sa pertinence, PHOTOQUAI poursuit sa mission fondamentale : mettre en valeur et faire connaître des artistes inédits sur la scène internationale, susciter des échanges, des croisements de regards sur le monde. Sa méthode originale consiste à confier les commissariats artistiques à des professionnels étrangers, et à créer un ensemble de réseaux autour des expositions, en associant des institutions parisiennes partenaires – au premier rang desquelles les galeries d’art dédiées à la photographie contemporaine. Les expositions se déroulent en majeure partie à l’extérieur du musée, sur les quais de Seine, mais aussi depuis 2009 dans le jardin du musée. Elles sont accessibles gratuitement. La sélection artistique Pour chaque édition de la biennale, le musée du quai Branly nomme un Directeur artistique chargé d’insuffler des axes de programmation souhaités pour l’événement, et d’animer un réseau de relais français et étrangers (commissaires, instituts français, photographes, « amis » de PHOTOQUAI…) pour différentes zones géographiques prédéfinies. Pour chacune de ces zones, des collaborateurs artistiques sont chargés, sur le terrain, de prospecter et de découvrir des talents photographiques inconnus en Europe, pour constituer ainsi une présélection d’artistes et d’oeuvres. La sélection 2013, rassemblée sous le slogan « Regarde-moi », a un dénominateur commun : toutes les séries photographiques ont à voir avec la figure humaine. Paysages, objets, mode ou architecture y apparaissent comme des éléments d’accompagnement de la personne. Dans toutes les séries, c’est le corps qui est l’unité de mesure de notre univers. Photographes présentés PHOTOQUAI présente les oeuvres de photographes contemporains du monde entier, talents inédits ou peu vus en Europe et provenant des grandes zones géographiques représentées au sein des collections du musée du quai Branly : Amérique du Sud et centrale, Asie, Océanie, Afrique, Proche et Moyen-Orient, Russie. La sélection rend compte de la diversité des manières de percevoir le monde non-européen aujourd’hui, de l’intérieur, par les artistes qui y vivent, loin des clichés que véhicule souvent une certaine photographie touristique. Il ne s’agit pas d’avoir une illustration systématique de la photographie d’un large panel de pays, mais de mettre en valeur des artistes et des oeuvres sans exhaustivité géographique.

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Du 22 juin au 22 septembre, le musée (re)fait le mur. Après avoir investi le centre-ville l’an dernier, le musée d’art Thomas-Henry met le cap sur les hauteurs d’Octeville, sur le quartier des Provinces en cours de renouvellement urbain. Avec la participation des habitants qui ont été associés à la sélection des œuvres. Pour cette deuxième édition, les habitants ont été associés au choix des oeuvres. Deux cents personnes ont ainsi participé aux sélections. « Nous avons proposé et commenté une sélection d’oeuvres du musée, explique Louise Le Gall, conservateur. Les habitants ont ensuite voté pour les tableaux qu’ils souhaitaient voir reproduits dans la rue. Six groupes ont été constitués, regroupant des participants d’âge et d’horizons différents : écoliers, collégiens, étudiants de l’IUT… Ils se sont prêtés au jeu avec enthousiasme. Cette participation constitue une étape supplémentaire par rapport à la précédente édition. Elle a permis d’aller au-devant des publics non coutumiers de la fréquentation des musées. Une façon pour eux de découvrir les oeuvres, leur contexte de création et de s’approprier ce patrimoine qui est le leur ». Les internautes ont également participé au choix d’une oeuvre par le biais de la page Facebook de la ville. Parmi les oeuvres reproduites, paysages, scènes historiques ou scène de genre, du XVe à la fin du XIXe siècle. Le passant retrouvera les chefs-d’oeuvre du musée, mais aussi des tableaux flamand et hollandais, et des oeuvres de peintres locaux du XIXe siècle comme Armand-Auguste Freret ou Félix Buhot. Installée dans les rues du quartier des Provinces, l’exposition permet d’avoir un double regard : sur les oeuvres qui trouvent une nouvelle dimension dans la rue et sur le quartier qui a bénéficié d’une importante opération de renouvellement urbain engagée par la ville. Un parcours de visite sera disponible dans les accueils ville, les musées ainsi qu’à l’Office du Tourisme. Outre cet itinéraire, des visiteurs commentées proposeront un accompagnement : le 23 juin, l’Office du Tourisme invite à la visite guidée « Des tableaux dans la ville », pour découvrir plus intiment les oeuvres et le 6 juillet, avec « A la découverte des Provinces ». Infos pratiques : Le musée fait le mur Exposition dans les rues du quartier des Provinces du 22 juin au 22 septembre 2013 à Cherbourg.

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Découvrez le tout nouveau titre de l’artiste Hams, « Rien n’est Impossible ». Envoûtant, ce titre séduira par la douceur de son message, le tout bercé par une voix cristalline. Hams présente ainsi son premier clip : « Rien n’est impossible », qui a été tourné au pays des caribous, pour la magie et l’immense beauté de ses paysages.

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Le groupe franco-canadien DAD propose son nouvel album baptisé Vitro dont la sortie est prévue le mois prochain chez ObliqSound. Avec Vitro, le groupe franco-canadien DAD est projeté sur le devant de la nouvelle scène alternative de l’art rock français. Les 11 morceaux qui composent l’album synthétisent les larges influences musicales de chacun des membres du groupe comme Tv on The Radio, Gang of Four, Tortoise, Mothers of Invention, ou Grizzly Bear.  D’un morceau à l’autre, DAD nous entraîne dans un univers musical multidimensionnel qui passe par des mélodies tranchantes  (“Get Back To Me”) et des paysages sonores éthérés  (“Sensation”). Puis on glisse dans une séquence de morphèmes méditatifs au coeur de sons de batterie résonnants (“Rain Dance”) ou on traverse un univers pop baroque dans un riff rock saturé très exaltant (“Ink”). Enregistré et mixé au Black Box Studio par l’ingénieur du son Dave Odlum récompensé par les Grammy Awards, l’album sortira cet automne et sera présenté au cours d’une tournée internationale lancée à partir de septembre 2012. Découvrez dès à présent le clip brûlant de Sensation et venez les retrouver en live au Bus Palladium le 12 octobre. Le groupe DAD a vu le jour en 2008 et a traversé plusieurs métamorphoses avant de prendre la forme que l’on connaît aujourd’hui. Difficile de le cataloguer même si dans le groupe on révèle quelques fortes influences comme Gang of Four, Tv on the radio, Mothers of Invention, Grizzly Bear, Tortoise, Thom Yorke, Sufjan Stevens. En provenance du jazz imbibé de post-rock, DAD a dans le temps modelé son expression dans une forme plus pop tout en veillant à préserver une vision musicale et artistique propre. C’est une rencontre fulgurante en 2010 avec Michele Locatelli, producteur du label ObliqSound (Grand Pianoramax, Lionel Loueke, Gretchen Parlato, John Shannon) qui donnera l’impulsion aux premières idées et à la définition du rôle de la voix dans le groupe le tout enfin révélé dans l’album Vitro. La puissance des compositions et l’intensité peu ordinaire des arrangements révèlent toute la maturité de ces multi-instrumentistes ingénieux. Et le tout est servi avec une simplicité et une élégance surprenante. DAD, groupe émergent du milieu Indie-rock parisien est une découverte marquante.

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Façonner par les voyages, Fredda contraction du prénom et nom Frédérique Dastrevigne vient de sortir son troisième album solo, « L’Ancolie ». Lartino vous propose de partir à la découverte de cette artiste. L’Ancolie est une fleur vivace qui pousse dans le jardin où dort la mélancolie. Dans la nature canadienne, à Morin Heights, c’est toujours la rouge et la jaune que l’on rencontre…Et c’est à Morin Heights que cet album a germé dans la tête de Fredda en août 2010, comme une ode aux paysages, à la lumière, une errance mélancolique. L’Ancolie, un album simple, élégant, d’un charme qu’on croit désuet mais qui est avant tout celui d’une femme sûre de son goût romantique. On y trouve des musiques qui tournent dans la tête à la manière d’un « Train song » de Vashti Bunyan ; des chansons dans lesquelles comme le dit Tom Waits : « le temps n’est pas une ligne droite, ni une route où vous ne cessez de vous éloigner des choses… ». Fredda est l’auteur de deux autres albums. Son premier « Toutes mes aventures » est sorti en 2007 en France en autoproduction, en Europe et aux USA avec le label allemand Le Pop Musik. Le deuxième opus « Marshmallow Paradise » est sorti en 2009 chez Microsillon et en partenariat avec le festival Les Zéphémères. Egalement chanteuse de l’excellent projet de reprises sixties « Radiomatic » en duo avec Pascal Parisot, elle est lauréate du 3ème concours du Printemps des Poètes 2011 présidé par Matthieu Chedid. Vous êtes passionné depuis l’adolescence par la musique. Quel a été l’élément déclencheur de cette passion ? L’envie d’en faire, la frustration aussi de ne pas avoir pu prendre de cours de piano, durant mon adolescence. Je passais mon temps avec une bande dans le quartier et notre occupation était d’écouter du rock, d’acheter des Vinyls et d’aller voir les concerts… Vous avez beaucoup voyagé, notamment aux Etats-Unis. Que vous ont apporté ces voyages dans votre carrière d’artiste ? J’ai voyagé principalement  aux Usa, un peu plus tard avec mon compagnon au Brésil mais j’y ai ressenti à peu près la même chose. Ca m’a apporté de voir et d’entendre des tas de groupes de blues, de jazz, de folk  incroyables dans des petits lieux. Les musiciens américains, même les plus reconnus ont une façon très simple d’aborder la musique. J’avais une guitare à cette époque et je pensais bien un jour faire la même chose, jouer dans les bars en tout cas être au plus proche de cette liberté. Quelles sont vos tendances musicales, vos influences artistiques ? Bien sûr le blues la Folk, la chanson la bossa.. et puis aujourd’hui je fonctionne au coup de coeur. Un album que j’entends à la radio, chez quelqu’un. Dernièrement j’ai craqué pour Chicha libre, un  groupe de Brooklyn, pour Jim Yamouridis, ou encore pour une chanson incroyable d’Yvonne Printemps que j’écoute en boucle et que je vais reprendre dans mon projet de reprises Radiomatic !! Avez-vous des

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La 28e édition des Journées européennes du patrimoine aura lieu les 17 et 18 septembre 2011. Cette nouvelle édition est une invitation au « Voyage du patrimoine ». C’est sous cette thématique que Frédéric Mitterrand, ministre de la Culture et de la Communication, a souhaité convier les amateurs du patrimoine à un périple dans le temps et dans l’espace… Depuis l’Antiquité, l’art de bâtir s’inspire et se nourrit d’influences diverses à échelle européenne et mondiale, traversé par de nombreux courants artistiques qui ont façonné nos paysages actuels. Au moment de sa construction, un édifice résulte des sources d’inspiration de son architecte, des faveurs d’une époque pour certains matériaux proches ou lointains, des savoir-faire pour leur mise en œuvre développés sur place ou acquis des régions voisines et pays frontaliers. Cette 28e édition des Journées européennes du patrimoine, quistimulera la curiosité de tous et apprendra à regarder autrement notre patrimoine quotidien, permettra également de partir à la rencontre : desvoyageurs du patrimoine, architectes, artisans ou conservateurs qui ont marqué de leur empreinte les sites et monuments français des chemins du patrimoine et du patrimoine des transports, qui ont favorisé la mobilité des hommes, des idées et des principes esthétiques des musées, qui ont accueilli et valorisé des oeuvres patrimoniales d’exception dans le cadre d’échanges ou de prêts Illustration© RMN/Château de Versailles, Jean Dubuffet © ADAGP/CNAP, © Bernard Acloque/CMN, © Philippe Berthé/CMN, © Patrick Müller/CMN, © Olivier Amsellem, © Patrick Gaillardin.

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