Le cachemire est une fibre naturelle très douce, chaude et confortable. Elle est issue du chèvre de cachemire, une petite bête qui vit dans les montagnes de l’Himalaya. Les chèvres de cachemire sont très bien adaptées à leur environnement hostile : le froid, le vent et la poussière. Leur laine est naturellement fine et souple, ce qui permet aux chèvres de se débarrasser facilement de leur toison en été. Le cachemire est une fibre très prisée en raison de sa qualité supérieure. Les vêtements en cachemire sont extrêmement doux au toucher et très confortables à porter. Ils sont également très chauds, ce qui les rend idéaux pour les climats froids. En outre, le cachemire est une fibre très durable et résistante, ce qui en fait un excellent choix pour les vêtements de haute qualité. Si vous cherchez à acheter des vêtements en cachemire, vous trouverez de nombreuses possibilités. Les vêtements en cachemire sont disponibles dans une gamme de prix très large, ce qui vous permet de trouver des vêtements en cachemire à votre budget. De plus, il existe de nombreuses marques et boutiques qui proposent des vêtements en cachemire, ce qui vous permet de comparer les différents prix et de trouver les meilleures offres. En résumé, les vêtements en cachemire sont une excellente option pour ceux qui cherchent des vêtements de haute qualité. Ils sont chauds, confortables, durables et résistants, ce qui en fait un excellent choix pour les personnes qui vivent dans des climats froids. De plus, ils sont disponibles dans une gamme de prix très large, ce qui vous permet de trouver des vêtements en cachemire à votre budget.

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Betty Bonifassi a été révélée par la B.O « Les Triplettes de Belleville » (composée par Benoît Charest et pour lequel le duo a obtenu un Grammy Award), mais également pour sa collaboration avec DJ Champion et le groupe Beast. Elle est sans conteste l’une des voix emblématiques de Montréal (son timbre sombre et profond est souvent comparé à celui  de Shirley Bassey), sur scène, elle fait preuve d’un magnétisme vénéneux à rendre fou. Betty Bonifassi enregistre en 2014 son premier album sous son propre nom, paru sur le label L-A be. Accompagné de Jean Francois Lemieux (réalisation et basse), Benjamin Vigneault (Batterie) et Martin Lizotte (réalisation et claviers), Betty Bonifassi présente cet ambitieux premier album (au départ né d’une recherche musicale pour la pièce de théâtre « Des souris et des hommes » de Steinbeck) comme un hommage aux afro-americans prisoner’s songs des années 1920 du sud des États-Unis, ces chants créés afin de soutenir une cadence de travail insoutenable et inhumaine.  Ces chants sont l’inspiration de ce projet, une relecture résolument moderne et habitée de cette œuvre déjà archivée dans sa majeure partie par Alan Lomax(1915-2002) le célèbre ethno-musicologue, folkloriste et collectionneur de musiques américaines qui a réuni la musique des États-Unis et des Caraïbes (ainsi que celles des nations européennes) qui ont influencé cette musique en  sillonnant l’Amérique. Lomax archivera ce répertoire pendant 52 ans.  Ce premier album représente l’essence même de Betty Bonifassi. Elle réussi de façon parfaitement intense, avec une production dense et sombre, à faire passer les émotions, les douleurs et les espoirs de ces chants d’esclaves en enrobant le tout d’un amalgame de blues, de soul, de funk, d’électro et de rock, porté par cette voix incomparable.  En 2017, Betty s’apprête à livrer une nouvelle version de ce répertoire, comme un écho plus « traditionnel et roots », revêtu du denim usé des prisonniers afro-américains du début du XX siècle. Du premier extrait, le poisseux « Rosie », en passant par l’hypnotisante « Old Hannah » jusqu’au rugueux « Linin’Track »(révélé par Leadbelly) , Betty Bonifassi propose un recueil de 8 grandes chansons de l’histoire afro américaine. Dans une entrevue accordée à Sylvain Cormier du Devoir avant de faire un triomphe au dernier Festival International de Jazz de Montréal, Betty Bonifassi résume : « J’ai enfin trouvé la manière d’exprimer ce qui m’obsède depuis toujours, ce que j’ai voulu dans tout ce que j’ai fait, les Triplettes, DJ Champion, Beast, mes 30 ans de musique ! Toute ma vie j’ai cherché quelque chose et là je le tiens ! Mon mélange in vitro ! »

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Amour et combat. C’est ainsi qu’on pourrait résumer le premier album de Mariane Alzi. Mais résumer un tel torrent de vie et de passion équivaudrait à mettre l’océan en bouteille ou la lune au bout d’une échelle. Car rarement jeune auteur-compositeur, aura su évoquer les élans amoureux et les tourments de l’âme, les rêves brisés et les espoirs futurs avec autant de flamme et d’émotion. A l’image de « Des roses », le premier extrait de l’album, chanson-credo illustrée d’un clip vidéo où défilent les grandes figures d’un siècle défunt, symboles de lutte et de résistance. Quand Mariane (avec un seul « n »), était petite, elle s’endormait au son des morceaux des Stones ou des Who, joués à la guitare par son père. Enfant, elle a aussi baigné dans les chants polyphoniques corses, comme ceux que son arrière grand-père créait et interprétait, dans son village de Sermanu, près de Corte. Mais si elle est originaire de l’Ile de Beauté et imprégnée de sa culture et de son histoire (ce n’est pas un hasard si elle s’est choisi comme nom d’artiste celui d’un village voisin), Mariane Alzi ne se revendique nullement comme une chanteuse du cru. D’ailleurs c’est à Paris qu’elle a grandi, entre études d’histoire de l’art et apprentissage du piano. Un instrument de prédilection, quelle enseigne aujourd’hui et avec lequel elle écrit ses chansons. Quand on la questionne sur ses influences musicales, Mariane cite indifféremment les Stones, Barbara, Mercedes Sosa ou Noir Désir. Un éclectisme qu’elle a toujours cultivé, même lorsqu’elle participait à une association de rap et de sound system dans les années 2000. Une première chanson écrite à 7 ans (« pour ma jument » sourit-elle…), un premier concert à 17 ans lors d’une fête de la musique, des voyages, des petits boulots, des rencontres, des aventures, et la voilà prête à se lancer dans le grand bain, celui dont elle a toujours rêvé. Le résultat, c’est ce premier album éponyme, tourbillon de notes et de mots ponctués d’une étonnante voix à la fois sensuelle et impérieuse, et ourlée d’un léger vibrato entre douceur et tempête. Un album réalisé par l’américain Bob Coke (Moriarty, Ben Harper, Noir Désir…) et mixé par Dominique Blanc-Francard (Stephan Eicher, Benjamin Biolay, Raphael, etc). Un album qui serpente entre ballades (« Lost », « I Don’t Know », « Les amours amers », au masculin pluriel), hymne rebelle (« Allez », que n’aurait pas renié Stéphane Hessel, l’auteur d’Indignez vous), blues lancinant (« La sirène »), trip hop hypnotique (« Peut-être un jour ») et même une chanson en corse, « Al di la », évocation de l’impression d’ »au-delà » qui suit un deuil amoureux. Mais Mariane ne se contente pas de puiser son inspiration dans la déclinaison des ruptures amoureuses. Ainsi « Quai des brumes », clin d’œil au célèbre film, lui a été soufflé par la lecture d’une autobiographie de Juliette Gréco ; « Des bouts d’identités », ode aux minorités bafouées, a été écrite au sortir d’une exposition photographique bouleversante, « Des Roses » après la vision d’un documentaire sur le conflit israélo-palestinien et « Il y a longtemps déjà » évoque le film Dix hivers à

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Du 16 au 20 avril 2014 se déroulera la 17ème édition du Festival Panoramas à Morlaix. Cette nouvelle édition accueillera notamment Boys Noize, Who Made Who, Mr Oizo, Rone, Daniel Avery, Parov Stelar, Fakear et bien d’autres ! Ils étaient jeunes étudiants, fondus de musique électro/rock et nostalgiques de l’époque où Morlaix accueillait au Club Coatelan la fine fleur du rock indépendant des années 80-90. L’association Wart et son festival Panoramas sont ainsi nés en 1998 sur une initiative privée qui, à l’époque, ne laissait pas présager de la dimension actuelle de l’événement. Lorsqu’en 1998, les membres de l’association Wart lancent la 1ère édition du festival Panoramas, l’idée est de redonner un bon coup de fouet à l’actualité musicale dans le pays de Morlaix. Le premier rendez-vous se résume à une simple mais joyeuse programmation de concerts dans les bars de la ville. 16 ans plus tard, et à force d’audace et d’un talent certain pour dénicher les artistes prometteurs, l’association s’est fait une place de choix dans le paysage musical hexagonal en tant que programmateur d’événements et tourneur. Organisé chaque année en ouverture de saison des festivals d’été (prochaine édition du 18 au 20 avril 2014), Ce festival de musique actuelle accueille au parc des expositions de Morlaix et dans plusieurs sites satellites, plus de 23.000 spectateurs autour d’une programmation électro, rock, hip-hop. Ciné-concert, danse, théâtre, concerts au lycée et compétition de Street golf viennent également enrichir ce weekend exaltant où se côtoient têtes d’affiche, futurs talents et artistes locaux. Un petit détail mérite d’être souligné : les membres de Wart mettent un point d’honneur à organiser le festival selon un engagement affirmé pour le développement durable et solidaire (tri des déchets, gestion des consommations d’énergie, rationalisation des transports, mutualisation des moyens d’hébergement…). Cette année le festival Panoramas accueillera entre autres : ParovStelar, Boys Noize, Bakermat, Mr Oizo, Rone, Claptone, ou encore Daniel Avery. Sont passés au Festival PANORAMAS depuis 1998 : Justice, Paul Kalkbrenner, Dj Shadow, Vitalic, Public Enemy, Alain Bashung, Jeff Mills, 2 Many Dj’s, The Bloody Beetroots, Stromae, Laurent Garnier, Etienne de Crecy, Izia, Popof, Birdy Nam Nam, Busy P, Dominique A, Naive New Beaters, Sexy Sushi, Sebastien Tellier, Agoria…

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Après « Here We Go Again » et « No Goodbye At All », Lady Linn revient avec un nouvel album intitulé « High » ! Dans cette nouvelle production, l’artiste belge flirte sans complexe avec la dance, le disco, les beats et les synthés, mais aussi avec les guitares acoustiques. Les rythmes jazz qui caractérisaient ses deux disques sortis précédemment sont toujours là, mais dans des arrangements plus électro. Les premières lignes de ‘Feeling Me’, extrait de ‘High’, le nouvel album de Lady Linn, pourraient faire référence à la palette sonore de ce dernier. Lady Linn y flirte sans complexe avec la dance, le disco à la Donna Summer, les beats et les synthés, de même qu’avec les guitares acoustiques. Les rythmes de jazz qui caractérisaient ses deux disques sortis précédemment sont toujours là, mais dans des arrangements électro. « Cette fois, je voulais vraiment faire les choses autrement », commente-t-elle. En tant que compositrice, elle était prête à se jeter dans l’inconnu. Plutôt que d’écrire au piano, comme elle l’avait fait pour ses deux albums précédents, ‘Here We Go Again’ et ‘No Goodbye At All’, Lady Linn a décidé de composer à la guitare. « Je ne suis pas très douée à la guitare, mais cela faisait partie du jeu : je voulais écrire des textes très francs, des chansons directes. Il n’y avait que ma guitare et moi, je ne pensais pas aux arrangements, uniquement aux chansons. » En tant qu’auteure aussi, Lady Linn a vécu une transformation. Ce sont les concerts donnés avec FCL, le side project au sein duquel elle chante des classiques de la house de sa voix pleine de soul, qui l’ont convaincue d’écrire de manière plus immédiate. « Les textes des classiques house que je chante avec FCL sont en fait des gospels, de l’émotion pure dénuée d’autocensure, comme ‘Heal My Heart’ de Kerri Chandler. Les chanter a été pour moi une expérience libératoire : je me suis sentie beaucoup moins inhibée quand j’ai entamé ce travail d’écriture. » Les chansons nées de ce processus sont ses plus franches à ce jour. C’est au guitariste Bruno De Groote (Raymond Van Het Groenewoud, Axelle Red…) qu’elle les a confiées pour qu’il leur donne une forme plus aboutie. « C’est un musicien très intègre et très original auquel je fais totalement confiance. Il a eu carte blanche pour les réinterpréter. » ‘High’ a été produit par Renaud Letang (Jane Birkin, Feist…), avec qui Lady Linn avait déjà travaillé sur son album précédent, ‘No Goodbye At All’. Le producteur français fait aussi partie de ceux à qui elle voue une confiance aveugle. « Renaud a vraiment emmené ces chansons ailleurs – les beats et les sons électroniques, c’est son idée. » Qu’est-il advenu des Magnificent Seven de Lady Linn ? Cet album est le premier que Lien De Greef sort sous le nom de Lady Linn tout court. Sans faire mention du groupe acoustique qui a donné à son premier album, ‘Here We Go Again’,

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Après sept années passées à tourner dans le monde entier avec sa sœur Julia, et plus d’un million de disques vendus, Angus Stone se lance désormais sur sa propre route et propose Broken Brights composé à l’écart du monde entre Alpes suisses, Inde et Australie, sur lequel on retrouve l’intensité et la mélancolie des albums d’Angus et Julia Stone, mais aussi des titres plus électriques comme le premier extrait Bird on the Buffalo, ou le nouveau clip à découvrir de Wooden Chair. « Je pense qu’il s’agit de mon travail le plus personnel à ce jour » dit Angus Stone à propos de Broken Brights. « C’est un endroit où j’ai tendance à me réfugier, une petite tanière où j’ai toujours voulu vivre, entouré de toutes mes chansons et de tous mes contes. Cet album contient l’essence de ce que je cherchais depuis longtemps ». Une recherche qui l’aura amené à parcourir le monde, enregistrant dans un abri rustique niché dans les Alpes Suisses, sous la lumière intense du ciel bleu (et souvent rose) du littoral australien, puis dans une cabane délabrée avec vue sur la luxuriante campagne indienne. Angus Stone est tout en contraste : il peut s’isoler dans son petit monde onirique pour de longues périodes mais c’est également un être plein d’énergie, de charisme et de franchise. Des qualités qui lui ont été utiles pour gérer l’incroyable décollage de sa carrière : Angus, bien qu’il ait gardé son côté énigmatique, est en train de devenir le jeune artiste le plus célébré de la scène musicale actuelle. Cela va faire sept ans qu’il tourne dans le monde entier en tant que moitié du duo frère-sœur Angus & Julia, enchaînant les concerts à guichets fermés devant le public ensorcelé des salles les plus prestigieuses, notamment le Royal Festival Hall à Londres et Le Trianon à Paris. Ensemble, ils ont vendu près d’un million de disques à l’échelle planétaire depuis la sortie en 2005 de leur premier EP, Chocolates and Cigarettes. Angus Stone se lance désormais sur sa propre route. « Je suis content de lâcher prise de tout ça », dit-il en parlant de Broken Brights, son premier album solo sous son propre nom. « J’ai hâte de donner aux gens qui nous ont écouté, Julia et moi, pendant toutes ces années l’opportunité de créer leurs propres univers et expériences avec nos compositions. Jouer live devant ces gens, moi tout seul, sera une expérience bien différente, avec des hauts et des bas sûrement mais j’ai vraiment hâte de voir comment ça va se passer ». Broken Brights marque un vrai tournant pour Angus Stone, qui ne se résume pas seulement au fait de ne pas enregistrer avec Julia, sa complice musicale de toujours. Ce nouvel album est la preuve qu’il est plus que capable de jongler entre les styles sans compromettre son identité sonore. Le morceau qui donne son titre à l’album, ‘Broken Brights’, est certes du pur Angus — une célébration nostalgique et rêveuse de notre jeunesse — mais ‘Bird On the Buffalo’ est un

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« C’est un tout autre trip. » Voilà comme Angus Stone qualifie l’album Broken Brights, déjà disque d’or en Australie, et qui sortira en France le 06 novembre. Après sept années passées à tourner dans le monde entier avec sa sœur Julia, et plus d’un million de disques vendus, Angus Stone se lance désormais sur sa propre route et propose Broken Brights composé à l’écart du monde entre Alpes suisses, Inde et Australie, sur lequel on retrouve l’intensité et la mélancolie des albums d’Angus et Julia Stone, mais aussi des titres plus électriques comme le premier extrait Bird on the Buffalo. « Je pense qu’il s’agit de mon travail le plus personnel à ce jour » dit Angus Stone à propos de Broken Brights. « C’est un endroit où j’ai tendance à me réfugier, une petite tanière où j’ai toujours voulu vivre, entouré de toutes mes chansons et de tous mes contes. Cet album contient l’essence de ce que je cherchais depuis longtemps ». Une recherche qui l’aura amené à parcourir le monde, enregistrant dans un abri rustique niché dans les Alpes Suisses, sous la lumière intense du ciel bleu (et souvent rose) du littoral australien, puis dans une cabane délabrée avec vue sur la luxuriante campagne indienne. Angus Stone est tout en contraste : il peut s’isoler dans son petit monde onirique pour de longues périodes mais c’est également un être plein d’énergie, de charisme et de franchise. Des qualités qui lui ont été utiles pour gérer l’incroyable décollage de sa carrière : Angus, bien qu’il ait gardé son côté énigmatique, est en train de devenir le jeune artiste le plus célébré de la scène musicale actuelle. Cela va faire sept ans qu’il tourne dans le monde entier en tant que moitié du duo frère-sœur Angus & Julia, enchaînant les concerts à guichets fermés devant le public ensorcelé des salles les plus prestigieuses, notamment le Royal Festival Hall à Londres et Le Trianon à Paris. Ensemble, ils ont vendu près d’un million de disques à l’échelle planétaire depuis la sortie en 2005 de leur premier EP, Chocolates and Cigarettes. Angus Stone se lance désormais sur sa propre route. « Je suis content de lâcher prise de tout ça », dit-il en parlant de Broken Brights, son premier album solo sous son propre nom. « J’ai hâte de donner aux gens qui nous ont écouté, Julia et moi, pendant toutes ces années l’opportunité de créer leurs propres univers et expériences avec nos compositions. Jouer live devant ces gens, moi tout seul, sera une expérience bien différente, avec des hauts et des bas sûrement mais j’ai vraiment hâte de voir comment ça va se passer ». Broken Brights marque un vrai tournant pour Angus Stone, qui ne se résume pas seulement au fait de ne pas enregistrer avec Julia, sa complice musicale de toujours. Ce nouvel album est la preuve qu’il est plus que capable de jongler entre les styles sans compromettre son identité sonore. Le morceau qui donne son titre à l’album, ‘Broken Brights’, est certes du

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Oil revient avec Black Notes dès le 30 mai. Après avoir été une des têtes chercheuses des Troublemakers, entité pionnière de la house made in France, qui débuta à la fin du siècle dernier une œuvre pionnière autour d’un sampler et d’une pile de disques, Oil poursuit ses aventures et cherche les racines profondes du groove pour élaborer un son tout à la fois dense et minimal, moite et sec entre électronique pointue, breakbeats irrésistibles, et racines soul/jazz. « C’est mon premier disque. Je n’ai rien fait avant. C’est un vrai départ ». Avant de parler de « Black Notes », impossible de faire l’économie d’un rapide retour en arrière. DJ Oil ne cherche pas à travestir la vérité : à quarante ans, il n’a plus le temps de jouer de faux-semblants. Pas question de (se) mentir pour celui qui fut l’une des têtes chercheuses des Troublemakers, entité pionnière de la house made in France. Une aventure débutée à la fin du siècle dernier, autour d’un sampler et d’une pile de disques lors d’ateliers à la Friche de la Belle de Mai, lieu qui abritait alors les alternatives créatives de Marseille. Jolis succès critique et public sur Guidance, label phare de Chicago, puis deuxième disque annoncé  sur Blue Note au mitan des années 2.0. Et là, patatras ! Un contrat mal ficelé, et l’affaire tourne à l’aigre galère. « Les années 2000 ont été très dures. Les Troublemakers m’ont fait perdre dix ans de ma vie. » À partir de 2005, DJ Oil va donc œuvrer en solitaire, depuis Marseille, sa ville où il a grandi à l’ombre d’un père fan de r’n’b vieille école (« Sam & Dave, James, Otis Redding… » ), collectionneur de disques et non DJ comme le prétend la légende. «  Il poussait juste des disques pour les amis le dimanche après-midi. » Le fiston, Lionel Corsini pour l’état-civil, a donc de qui tenir. DJ depuis l’âge de 15 ans, Oil a pratiqué les raves sauvages ou officielles, s’est fait la main avec un show hebdo sur Radio Grenouille, a multiplié les projets où ses platines ont croisé les musiciens : Stefano Di Battista, Julien Lourau, Vincent Ségal, Sébastien Martel, Sandra N’Kake, Magic Malik, Jules Bikoko… Et pourtant. « Etre à Marseille, ça ne m’a jamais aidé. La scène y est très exiguë. Ça créé de l’éloignement, et puis il y a un manque de crédibilité par rapport à Paris. On n’est toujours pas pris au sérieux. » Tant pis, depuis six ans, Oil pousse le pitch plus loin, publie des maxis sur des labels à l’étranger, part en virée en Afrique et en Amérique centrale : ce sera le projet itinérant Ashes To Machines avec Jeff Sharel, trente-neuf pays traversés et des centaines de musiciens croisés entre 2006 et 2009. À la clef : des kilomètres de sons et des tonnes de bonnes vibrations. Un sillon profond où il va planter l’aiguille de sa future création. Ce premier disque donc, un singulier recueil constitué des multiples tours et détours, bons et mauvais, qui ont précédé.

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Après des semaines de rumeurs, Gilles Jacob, le président du Festival, et Thierry Frémaux, son délégué général, ont annoncé les films qui seront en compétition le mois prochain lors de la 65e édition du festival de Cannes. La sélection officielle des films ainsi que la composition du jury du 65e Festival de Cannes a été dévoilée aujourd’hui à Paris. La 65e édition du festival de Cannes réunira 26 pays, représentés dans la compétition, qui se déroulera du 16 au 27 mai. « Le cinéma américain revient en force, plus seulement résumé au cinéma indépendant ni au cinéma de studio (…) Ces films viennent combler le gouffre entre le « petit » et « jeune » cinéma et gros cinéma de studio », a expliqué  Thierry Frémaux. Les films en lice : Moonrise Kingdom, le nouveau film de l’américain Wes Anderson, qui fera d’ailleurs l’ouverture de la compétition. Vous n’avez encore rien vu, d’Alain Resnais De rouille et d’os, de Jacques Audiard Holy Motors, de Leos Carax Cosmopolis, de David Cronenberg Paperboy, de Lee Daniels Killing Them Softly, d’Andrew Dominik Reality, de Matteo Garrone Amour, de Mika Haneke Lawless, de John Hillcoat Dans un autre pays, de Hong Sang-Soo Taste of money, d’Im Sang-Soo Like Someone in love, d’Abbas Kiarostami La part des anges, de Ken Loach Dans la brume, de Sergei Lonitsa Beyond the hill, de Christian Mungiu Après la bataille, de Yousry Nasrallah Mud, de Jeff Nichols Post Tenebra Lux, de Carlos Reygadas Sur la route, de Walter Salles Paradis Amour, d’Ulrich Seidl The Hunt, de Thomas Vinterberg D’autres films seront annoncés prochainement. Les amants, de Twilight, Robert Pattinson et Kristen Stewart seront ainsi également en lice pour la Palme d’or. Hors compétition : Thérèse Desqueyroux, de Claude Miller Io e te, de Bernardo Bertolucci Sélection « Un certain regard » : La Playa, de Juan Andres Arango Les Chevaux de Dieu, de Nabil Ayouch Trois Mondes, de Catherine Corsini Antiviral, de Brandon Cronenberg Le Grand Soir, de Gustave Kervern et Benoît Délépine Laurence Anyways, de Xavier Dolan Despues de Lucia, de Michel Franco Aimer à perdre la raison, de Joachim Lafosse Nos enfants, de Joachim Lafosse 7 Dias en La Habana, de Benicio Del Toro Student, de Darezhan Omirbayev Mystery, de Lou Ye La Pirogue, de Moussa Toure Elefante Blanco, de Pablo Trapero Confession d’un enfant du siècle, de Sylvie Verheyde 11.25 The Day He Chose His Own Fate, de Koji Wakamatsu Beasts of the Southern Wild, de Benh Zeitlin En séances spéciales : Pollué le Paradis, de Fatih Akim Roman Polanski, le film mémoire, de Laurent Bouzereau The Central Park Five, de Ken Burns Les Invisibles, de Sébastien Lifshitz Journal de France, de Claudine Nougaret et Raymond Depardon Musica Secondo Jobim de Nelson Perreira Dos Santos En séance de minuit : Dracula 3D, de Dario Argento Le jury : Le réalisateur italien Nanni Moretti présidera le jury dont la composition devrait être annoncée la semaine prochaine. Bérénice Béjo sera la maîtresse des cérémonies d’ouverture et de clôture du festival.

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Yann Negrit fait parti de ces noms qu’on ne peut oublier. Et pour cause, la plus part des férus de musique le connaissent déjà! Il s’est en effet forgé une notoriété grandissante au fil des ans en accompagnant à la guitare de nombreux artistes tel que Zap Mama, Ousmane Touré, Gage, Raul Paz, Arthur H ou encore Mélissa Nkonda. Yann Négrit a voulu que son premier album soit le reflet de son parcours musical. Pour ses compositions, il puise tout naturellement dans toutes les musiques qui l’influencent depuis son plus jeune âge pour que ses morceaux soient le parfait reflet de celui qu’il est devenu. Le socle de son projet, c’est le jazz. Un jazz qu’il fusionne avec d’autres rythmes ou sonorités venus d’ailleurs. Wild Ka est un album unique et surtout novateur. Personne avant Yann n’avait eu l’idée de mêler le Ka, le Métal et le Jazz ainsi. KA-METAL-JAZZ: Le reflet d’une jeune vie résumée en 10 titres inédits. Le KA, c’est le tambour et le rythme traditionnel de ses ancêtres. Un simple tonneau recouvert d’une peau de chèvre qui est l’ emblème et le symbole de la Guadeloupe, son pays d’origine. Le METAL, grâce auquel Yann a voulu devenir un Guitar-Hero, prendre la scène et de ses doigts agiles, sortir des sons saturés à décoiffer le public. Le JAZZ, qui symbolise toute la liberté que peut prendre un artiste avec son instrument. Yann l’a rencontré dans les diverses jams parisiennes qu’il fréquente depuis son adolescence. C’est ainsi qu’est né l’album WILD KA. Et même si l’artiste avait en tête depuis de très nombreuses années les titres de l’album, il a pris le temps de composer, d’enregistrer et de finaliser ce projet pour arriver à cet autoportrait musical, qui permet à tous ceux qui connaissaient l’artiste en tant que guitariste accompagnant, de découvrir sa vraie personnalité, free style et perfectionniste – sauvage et rythmée comme le KA. En quelques dates : De 2007 à 2009 : Diverses salles parisiennes 13 décembre 2008 : Festival de Jazz de Pointe à Pitre 31 mai 2009 : Festival Terre de Blues de Marie-Galante 12 aout 2011 : Festival Biguine Jazz en Martinique Aout 2011 : sortie de l’album en Martinique Novembre 2011 : sortie de l’album en Guadeloupe Janvier 2012 : Sortie officielle de l’album en métropole Année 2012 : Tournée du Yann Négrit Quintet / Festivals et productions internationaux

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