La Vente aux enchères d’art contemporain, organisée par Artcurial Briest-Poulain-F. Tajan, au profit de l’Association Saint-Louis pour la recherche sur les leucémies aura lieu le mardi 17 mai à 19h30. Une exposition précédera la vente le lundi 16 mai de 14h à 19h et le mardi 17 mai de 11h à 19h. 95 artistes d’art contemporain se sont réunis pour cette vente du cœur. Grâce à cette vente, l’Association Saint-Louis pour la recherche sur les leucémies souhaite doter l’Institut Universitaire d’Hématologie de l’Hôpital Saint-Louis d’un séquenceur à très haut débit. Artistes donateurs Adam Adach, Yann Arthus-Bertrand, Martine Aballéa, Saâdane Afif, Pierre Ardouvin, Elisabeth Ballet, Cécile Bart, Eric Baudart, Marieke Benetti, Jean-Pierre Bertrand, Karina Bisch, Etienne Bossut, Simon Boudvin, Anne Bréjeaut, Daniel Burren, René Burri, Philippe Cazal, Laurent Chambert, Nicolas Chardon, Miguel Chevalier, Claude Closky, John Cornu, Marc Couturier, Christophe Cuzin, Stéphane Daflon, Jaqueline Dauriac, Krijn De Koning, Odile Decq, Marceline Delbecq, Martine Diemer, Noël Dolla, Jennifer Douzenel, Vincent Dulom, Eric Duyckaerts, Ernest T, Anne Ferrer, Jacques Fournel, Franck Gérard, Philippe Gronon, Nicolas Guiet, Patrice Hamel, Isabel-Yves Herauld-Arnod, Hippolyte Hentgen, Thomas Hirschhorn, Fabrice Hyber, Claire-Jeanne Jézéquel, Véronique Joumart, Nathalie Junod-Ponsard, Vincent Lamouroux, Bertrand Lavier, Ange Leccia, Natacha Lesueur, Claude Lévêque, Didier Marcel, Cyrille Martin, Philippe Mayaux, Mathieu Mercier, François Morellet, Olivier Mosset, Côme Mosta-Heirt, Marylène Negro, Stefan Nikolaev, Yan Pei-Ming, Romain Pellas, Dominique Perrault, François Perrodin, Pascal Pinaud, Christiane Pooley, Eric Poitevin, Ghislaine Portalis, Philippe Ramette, Hugues Reip, Evariste Richer, Jean-Jacques Ruillier, Claude Rutault, Benjamin Sabatier, Sarkis, Pierre Savatier, Adrian Schiess, Luc Schuhmacher, Franck Scurti, Alain Séchas, Malick  Sidibé, Kristina Solomoukha, Sylvain Sorgato, Nathalie Talec, Patrick Tosani, Didier Trenet, Felice Varini, Xavier Veilhan, Michel Verjux, Jacques Vieille, Jean-Luc Vilmouth, Kees Visser, Mâkhi Xenakis, Raphaël Zarka.

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Après de nombreux concerts, Melissa Laveaux sort son premier album traversé par un feeling terrassant. Le premier single est une reprise d’Elliott Smith : Needle in the Hay. Sortie prévue le 3 novembre 2008 En perdant le chèque pour payer ses cours de piano, la toute jeune Mélissa Laveaux s’est forgée un destin. Elle apprendra la musique en autodidacte. A l’oreille et dans les livres. Heureusement, sa mère écoute de la chanson à texte et du jazz haïtien en la coiffant, et son père, musicien à ses heures, a l’idée de lui offrir une guitare d’occasion à 13 ans. Métissée la musique de Mélissa Laveaux ? Sans doute, comment pourrait-il en être autrement ? Née à Montréal en 1985 de parents haïtiens fraîchement immigrés, elle grandit à Ottawa, Ontario, dans un univers majoritairement anglophone, et doit tenter de s’intégrer à ce nouvel environnement, sans rien abandonner pour autant de sa culture d’origine, créole et francophone. Au carrefour de ces multiples identités, Mélissa prend très vite conscience de son « décalage » avec le monde alentour. Elle dénote. Adolescente créative, elle se réfugie dans la musique et passe son temps à préparer des mixtapes de chansons à la radio, au grand dam de ses parents, tous deux professeurs, qui la rêvent médecin. Elle découvre pêle-mêle, et dans une sorte de boulimie, le folk indépendant canadien (Joni Mitchell, Feist), le trip hop britannique (Martina Topley-Bird), la musique brésilienne alternative (Adriana Calcanhotto, Os Mutantes), les stars du hip hop et de la nu-soul (Erikah Badu, Common, The Roots, The Fugees…), les grandes voix de la tradition afro-américaine (Billie Holiday, Nina Simone, Aretha Franklin) et les étoiles lointaines de la World Music (Rokia Traoré, Lhasa…). Brassant toutes ces influences en un mélange de naïveté et d’instinct, travaillant quotidiennement sur sa guitare, Mélissa s’invente très tôt un style d’accompagnement personnel, très rythmique, et se met à écrire ses premiers textes, composer ses premières chansons.De là ce songwriting résolument contemporain, qui intègre tous ses croisements identitaires, mais au lieu de les afficher en un geste militant, choisit la voie de l’intime, de la confidence – l’aventure d’une parole définitivement libre. Mais la musique n’est pas tout. Comme ses frères et sœurs, elle veut faire des études, avec l’ambition de travailler dans le domaine social, tout en ressentant l’extrême nécessité de s’exprimer artistiquement. « L’un ne va pas sans l’autre. J’ai besoin de musique pour vivre et de vivre pour inspirer ma musique », affirme-t-elle volontiers, avec une sacrée détermination. Etudiante à l’Université d’Ottawa, elle passe et obtient son diplôme de Bachelor en Éthique et Société. Parallèlement elle participe aux soirées « open mic » organisées dans le pub du campus. Un jeune percussionniste, Rob Reid, la repère, l’encourage à persévérer. Assidue à l’université durant la semaine, elle part sur la route avec Rob chaque week-end et sillonne le Canada pour jouer dans les clubs. A 21 ans, elle autoproduit un album qu’elle diffuse sur myspace. Début 2007, le label No Format! la rencontre à Montréal et la prend aussitôt sous contrat. La

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L’association Côté court propose un cinéma différent et résolument indépendant. Côté court, révèle de jeunes cinéastes, notamment dans le cadre son Festival du film court. Elle soutient par ailleurs de nouvelles formes cinématographiques et aime privilégier rencontres, échanges et découvertes. Dans le cadre du 17ème Festival du film court en Seine-Saint-Denis, nous reviendrons sur la brillante carrière du critique, cinéaste, producteur, André S.LABARTHE. Côté court accueillera également le talentueux Mathieu AMALRIC, la vidéaste Véronique HUBERT, Damien ODOUL, réalisateur, scénariste, ou encore Olivier DARNE. Des concerts live, une programmation pour les enfants, mais aussi des expositions et rencontres viendront enrichir la programmation. Enfin, le Festival du film court, décernera plusieurs prix dans les catégories  » fiction » et  » film expérimental, essai , art vidéo ». Renseignements pratiques Tarif : 5 euros/ Tarif réduit: 3€50 (enfants, familles nombreuses, abonnés Ciné 104, étudiants, Cartes Vermeil, chômeurs, moins de 18 ans et adhérents Côté court.). Possibilité de pass Lieu : Ciné 104 et salles associées (plus de détails sur le site du Festival) Adresse: 104 avenue Jean Lolive, 93500 Pantin Métro : Eglise de Pantin(ligne 5) Bus : Porte de Pantin (bus 75, PC2, PC3) Rer E: Gare de Pantin Téléphone réservation : 01.48.46.95.08

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