Boerte, danses traditionnelles de Mongolie

Créé par Munkh-Erdene Chuluunbat et Ganpurev Dagvan, l’ensemble Boerte est devenu célèbre par ses compositions des musiques des films tels L’histoire du chameau qui pleure ou Le chien jaune de Mongolie (prix de la meilleure musique de film au Festival de New York). Les vendredi 15 et samedi 16 janvier, ils se produiront à l’Auditorium Guimet (Paris 16ème).

Autour de ce duo, pour un spectacle exceptionnel, deux virtuoses des danses mongoles seront également présents.
C’est au son du chant diphonique, du yatga, la cithare traditionnelle mongole, du morin khuur, la vièle à tête de cheval et de l’ikh khuur, la contrebasse de Mongolie que les danseurs évolueront, dans un univers mélodique évoquant les traditions du peuple mongol.

En Mongolie, les danses traditionnelles s’inspirent de la vie quotidienne des nomades dans la steppe ou sur les hauts plateaux.
Au-delà des principaux mouvements distinctifs de la danse mongole appelés  “biyelgee” (mouvements d’épaule et rotation des poignets) et “tatlaga” (mouvement rapide de tirée avec les bras), la danse mongole se caractérise par une représentation littérale, succession de scènes qui révèlent le caractère ou l’humeur du personnage, toujours en relation avec les forces de la nature.

Avec Doyodsuren Tumursaikhan (danse), Sharkhuu Enkh-Oyun (danse) Munkh-Erdene Chuluunbat (yatga), Ganpurev Dagvan (ikh khuur, morin khuur, khuumi).

Post author

Laisser une réponse