Design ‘in / Pays de la Loire présente Living Box

L’exposition Living Box a lieu au Hangar à bananes (Nantes) jusqu’au 12 octobre 2008. Elle pose la question des espaces habitables d’aujourd’hui et de demain à travers des approches innovantes. Une grande première en Pays de la Loire qui valorise son savoir faire sous le label « Design’In Pays de la Loire ».

Cette exposition s’inscrit dans le programme global Design’In / Pays de la Loire que la Région développe depuis plus de deux ans, privilégiant fortement la dimension économique. La Région souhaite promouvoir l’innovation en matière de création et de design, en associant acteurs artistiques et culturels, entreprises et écoles de la région.

Living Box est une exposition grand public portée par le FRAC (Fonds régional d’art contemporain) des Pays de la Loire.
Cette exposition se pose de vraies questions sur les modes de vie et les espaces dans lesquels l’homme évolue. Rejoignant en cela les ambitions du design industriel, elle incite le visiteur à repenser sa relation à l’architecture, au vêtement, au mobilier et aux objets du quotidien

L’exposition réunit un ensemble d’espaces habitables, des « Living box », micro-architectures, cellules ou chambres entre abris précaires et espaces intimes, à l’image de l’œuvre éponyme de Patrick Van Caeckenbergh, dans laquelle l’artiste a vécu entre 1979 et 1984.

Cette exposition sera mise en scène par une grande designer de renommée internationale, Matali Crasset.

Matali Crasset

Née en 1965 à Chalons en Champagne, Matali crasset est designer industriel de formation.
A l’image d’un de ses objets emblématiques, la colonne d’hospitalité « quand jim monte à Paris », elle met en place une méthodologie propre dans laquelle elle questionne l’évidence des codes qui régissent notre vie quotidienne pour mieux s’en affranchir et expérimenter.
Elle développe ainsi des nouvelles typologies articulées autour de principes tels que la modularité, l’appropriation, la flexibilité, le réseau. Son travail, qui s’est imposé à partir des années 90 comme le refus de la forme pure, se conçoit comme une recherche en mouvement, faite d’hypothèses plus que de principes.
Elle collabore avec des univers éclectiques, de l’artisanat à la musique électronique, de l’industrie textile au commerce équitable.
Ses réalisations l’ont ainsi amenée sur des terrainsqu’elle ne soupçonnait pas, de la scénographie au mobilier, du graphisme à l’architecture intérieure. matali crasset a passé son enfance dans un petit village du nord de la France, dans une ferme où le travail et la vie étaient intimement liés.

Post author

Laisser une réponse