La 54e édition de la Foire Internationale de la Photo à Bièvres, organisée par le Photoclub Paris Val-de-Bièvre en collaboration avec la commune de Bièvres, aura lieu cette année les 3 et 4 juin prochains. La photo est plurielle : technique, art, elle se décline de mille façons. Elle s’adapte, compose, évolue au fil du temps, toujours en phase avec son époque et dialoguant avec ses origines. Véritable institution pour tous les amateurs et passionnés de photo, les collectionneurs à la recherche de l’objet photographique rare, la Foire internationale de la Photo à Bièvres demeure, depuis plus de 50 ans, l’un des plus grands marchés de l’occasion et des antiquités photographiques d’Europe. Ce marché ne constitue d’ailleurs pas son seul attrait puisque expositions, conférences, animations, ateliers, signatures et marché des artistes viennent étayer cette véritable fête de la photographie. Depuis quelques années, la Foire innove, se rapproche des nouvelles technologies et s’intéresse à la jeune création. Pépites anciennes ou plus récentes Imaginez deux hectares entièrement dédiés à la photographie. Cette année encore, plus de 200 exposants ont répondu présents pour participer à cet événement international. Le marché de l’occasion et des antiquités photographiques proposera des boîtiers, filtres, objectifs, trépieds mais aussi des objets qui peuvent paraître étranges aux néophytes : photosphères, lanternes magiques, chambres de voyage, stéréoscopes. Les affiches et les caméras de cinéma, livres rares, photos anciennes, objets publicitaires viennent compléter cet inventaire à la Prévert. Les appareils argentiques, pellicules, papier photographique et autres accessoires comblent toujours les photographes amateurs ou professionnels. Des appareils numériques d’occasion sont également proposés. Une rétrospective des œuvres d’Isabel Muñoz au travers d’extraits de différentes séries emblématiques Photographe espagnole, Isabel Muñoz, a reçu, en 2016, le prix national de la photographie du ministère espagnol de la culture. Commencées au Foto Centro de Madrid, ses études photographiques l’ont conduite ensuite aux États-Unis pour maîtriser différentes techniques photographiques, notamment les procédés anciens dont elle est une grande spécialiste. Ses tirages au platine sur papier albumine sont d’une grande subtilité et délicatesse, cependant l’artiste travaille aussi en couleurs. Des danseurs de tango et de flamenco aux ethnies guerrières d’Éthiopie, des portraits des Maras, les membres de gangs du Salvador, aux adeptes d’une confrérie religieuse en Irak, sa photographie est centrée sur l’être humain, entre sensualité et paraître, entre intimité et communauté. Elle sait capter les chairs, les formes, les postures, mais aussi les codes, les signes et les rituels de communautés. Elle explore l’univers des corps en action, en mouvement, au travers de la danse, de la lutte, des arts martiaux, de la tauromachie. Elle travaille tout autant sur les corps mis en scène, sublimés, peints, parés, scarifiés, tatoués, des corps sociaux. Exposition de Christian Izorce, une journée à Dapelogo, Pogbi ou la scolarisation des jeunes filles au Burkina Faso : un projet qui s’inscrit dans la tradition du reportage humaniste, véritable leçon de vie. Les 10e Rencontres de Bièvres (conférences, débats et démonstrations sur la photographie) accueilleront des invités prestigieux parmi lesquels Jean-Christophe Béchet (le livre

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Depuis 2007, au fils des éditions, La JIMI s’est imposé comme le rendez-vous phare des indés et de l’autoproduction. Son salon, ses concerts, ses débats et ses expos s’emploient à mettre en valeur mais également à réunir tous ceux, labels, tourneurs, collectifs, fanzines, webzines, fédérations, radios… qui, avec peu de moyens mais beaucoup d’énergie, participent à la richesse et à la diversité de la musique. Cet événement propose également l’opportunité de réfléchir sur les solutions et les modes alternatifs d’accompagnement, de production et de diffusion des artistes. La JIMI s’adresse ainsi à tous les passionnés, amateurs ou professionnels. Son salon est, d’ailleurs, gratuit et ouvert à tous. La JIMI a donc prouvé au fil des ans, qu’il existait bel et bien un réel besoin de lieu d’expression, d’échanges et de rencontres pour valoriser l’indépendance de la création et son rôle majeur dans l’évolution de la culture et de la société. La JIMI se déroule dans 4 équipements d’Ivry-sur-Seine, ville réputée pour son dynamisme culturel et son militantisme. Le Hangar, le Tremplin, le Théâtre d’Ivry et L’Espace Robespierre accueilleront acteurs et activistes de l’indépendance et public Au programme de cette 8e édition de la JIMI : Un salon avec plus de 100 acteurs de l’indépendance musicale parmi lesquels :Cheribibi, Slow Death, Crash Disques, Hammerbass Records, Longueur d’Ondes, Zeradio, Cd1d, Madamemacario, Concertlive.Fr, Collectif Kronik, Trauma Social Ferarock, A Quick One Records, Vailloline, Hands And Arms… Des débats et des conférences: * Elaborer une sortie d’EP / album – organisé par les réseaux membres du RIF* Internet au service des artistes et des labels : enjeux et opportunités de la diffusion en ligne des contenus créatifs par Xavier Filliol * La place du fan, papier ou écran, qu’est-ce qui change ? – proposée par l’UDoduF * Internexterne, le choix de la coopérative ! – avec Olivier Jacquet, responsable d’Internexterne * La Triperie, et si on parlait du 360 degrés ! – avec Lysika Clapaud, responsable de La Triperie* Rencontre avec Sylvain Bertot autour de son livreRap indépendant : la vague hip-hop indé des années 1990-2000 en 30 scènes et 100 albums (éd. Le Mot et le Reste, 2014), proposé par la librairie Envie de Lire* Rencontre avec Guy Darol autour de son livre Outsiders, 80 francs-tireurs du rock et de ses environs (éd. Castor Astral, 2014), proposé par la librairie Envie de Lire Des concerts avec We Insist, Michel Cloup Duo, Von Pariahs, Salut C’est Cool, Congopunq et Gangpol und Mit Des show-cases avec Jean Jean, Fuzzy Vox, Breakout, Thierry Théolier, Edouard Nenez et les Princes de Bretagne, Common Diamond, Rollin’ Bunkers, Gavin Meidhu, Khagely Trio et Vlad. Une carte blanche à la coopérative Internexterne avec Iraka, Ottilie Trio et Nevché

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Depuis 2007, la JIMI est devenu le rendez-vous incontournable des Indés et de l’autoproduction avec son salon, ses débats, ses expos et ses performances graphiques. Mais la JIMI, c’est aussi 22 concerts à prix abordables dans 4 lieux différents : le Hangar, le Théatre d’Ivry et l’Espace Robespierre. Comme les années précédentes la programmation est riche, variée, séduisante…et indé ! On y retrouvera : We Insist, Michel Cloup Duo, Von Pariahs, Salut C’est Cool, Congopunq, Gangpol und Mit, Fuzzy Vox, Jean Jean, Thierry Théolier, Breakout, Vlad et d’autres groupes proposés par des structures exposant à la JIMI. D’autres artistes viennent compléter cette liste puisque la JIMI offre une carte blanche à deux remarquables activistes indés : La coopérative Internexterne et La Triperie. Internexterne présente Iraka, Ottilie [B] et Nevché. La Triperie propose Sarah Olivier, David Lafore et Fantazio.

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La dernière saison de JAG, est disponible en DVD depuis le 5 Juillet.A noter, que l’intégrale des 10 saisons sera également disponible à la même date ! Synopsis de la saison 10Cette dixième et dernière saison dénoue les fils d’une intrigue amoureuse liant Mac et Harm et conclut une histoire dont les rebondissements ont tenu en haleine des millions de fans… Durant 22 épisodes, de nombreuses missions font voyager nos héros de l’Irak à l’Afghanistan puis à Guantanamo jusqu’à ce que le hasard des affectations les éloigne géographiquement…Quant aux sentiments que Mac et Harm éprouvent l’un pour l’autre, ils vont quelque peu modifier leur plan de carrière.

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La Ve Biennale internationale d’art contemporain de Melle (79) aura lieu du 25 juin au 18 septembre 2011. « Habiter la Terre », la Ve Biennale internationale d’art contemporain de Melle, se construit en 2011 avec des artistes qui font face au monde, à l’Histoire et aux réalités de notre époque. 24 artistes s’emparent des sujets existentiels qui surgissent d’une planète en crise, épuisée dans ses ressources et proche « de l’épreuve de l’accident intégral » analysé par le philosophe et urbaniste Paul Virilio. Artistes présents Christian Boltanski, Céline Boyer, Gilles Clément, Pascal Colrat, Thierry Fontaine, Ha Cha Youn, Mona Hatoum, Shigeko Hirakawa, Gary Hill, Jason Karaïndros, Kôichi Kurita, Sébastien Laval, Claude Lévêque, Cristina Lucas, Adrian Paci, Mathieu Pernot, Dominique Robin, Massinissa Selmani, Chiharu Shiota, Kristina Solomoukha, Max Streicher, Barthélémy Toguo, Paul Virilio, Fang Wen. Ainsi que la chorégraphe Claire Servant et l’écrivain François Bon.

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Cette grande exposition internationale met en avant les rapports établis au XXe siècle entre la redécouverte des arts traditionnels asiatiques et l’évolution de l’art international à travers le design. Du 30 septembre 2008 au 11 janvier 2009 à la Galerie Jardin (musée du quai Branly) Elle permet de découvrir, à travers près de 150 objets, l’évolution et l’influence du penseur Soetsu Yanagi, fondateurdu mouvement Mingei.Le mot « Mingei » est une abréviation de minshuteki kogeï, qui signifie « l’artisanat fait par le peuple et pour le peuple ». « Il doit être modeste mais non de pacotille, bon marché mais non fragile. La malhonnêteté, la perversité, le luxe, voilà ce que les objets mingei doivent au plus haut point éviter : ce qui est naturel, sincère, sûr, simple, telles sont les caractéristiques du Mingei. » Soetsu Yanagi, L’Idée du Mingei, 1933 L’Esprit Mingei et les arts populaires au Japon Soetsu Yanagi (1889-1961), participe à la fondation de la revue Shirakaba. Tout en s’intéressant aux divers courants de la spiritualité, il se passionne au début du XXe siècle pour l’art et la littérature occidentaux (Walt Whitman, William Blake, Vincent van Gogh, Paul Cézanne, Auguste Rodin).Frappé en 1914 par la beauté d’un vase coréen, il s’efforce, dès les années 1920, soutenu par quelques artistes-artisans, de révéler la qualité des objets d’usage quotidien et leur charge spirituelle.Homme d’action, il se préoccupe aussi des conditions du développement futur d’arts populaires désormais confrontés à l’évolution du monde moderne.Dans un pays qui ne considérait que l’artisanat aristocratique, Soetsu Yanagi, convaincu qu’ « un bon collectionneur est un second créateur », s’attache à découvrir selon son intuition des objets ordinaires (getemono) dont il admire la beauté et qui ont été produits par des artisans inconnus.Marqué par le bouddhisme et la « Voie du Thé », il s’interrogera toute sa vie sur ce qui constitue la Beauté. Il la reconnaît dans des objets sobres et sensibles, dépourvus de virtuosité technique et fait appel pour les qualifier à des termes moraux définis autour de la notion de vertu (toku) : sûr (kakujitsu), fidèle (chûsei), sincère (seijitsu)…Selon le principe de la voie du bouddhisme accessible à tous, le tariki, il considère que la vérité dépasse la conscience de soi, qu’elle est donnée au-delà des notions de beau et de laid, ce qui a permis de produire des oeuvres justes et durables quels que soient les matériaux utilisés et quel que soit leur usage. Soetsu Yanagi et ses complices Après avoir suscité la création d’un musée d’art populaire à Séoul (1924), il décide en 1926 avec l’aide de ses amis, les potiers Kenkichi Tomimoto, Shoji Hamada et Kanjiro Kawaï de créer à Tokyo un musée d’art mingei, le Nihon Mingeikan, qui ouvrira en 1936. L’action de Soetsu Yanagi se manifeste d’abord par la publication de la revue Kogeï (1931-1951) et la création en 1934 d’une société de soutien, le Nihon Mingei Kyokai. Elle est soutenue financièrement par des industriels éclairés, notamment Ohara Magosaburô, fondateur du musée d’art moderne à Kurashiki où

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Sélection officielle du Festival de Cannes 2008, Valse avec Bachir est un film documentaire d’animation écrit, réalisé et produit par Ari Folman. Le film est un mélange d’animation flash, d’animation classique et de 3D. Dans ce film sorti en juin 2008, Ari Folman raconte sa propre histoire vingt ans plutôt lorsqu’il était soldat israélien en septembre 1982 pendant l’invasion de Beyrouth ouest. La rencontre avec un ami qui lui parle d’un cauchemar récurrent lié à la guerre du Liban réveille ses souvenirs de guerre (opération de Tsahal au Liban). Dans son rêve son ami est pourchassé par une meute de 26 chiens, nombre de chiens qu’il a dû tuer au cours de la guerre du Liban. Le premier souvenir qui surgit, apparaît le lendemain : lui, jeune soldat en 1982 dans la mer devant Beyrouth avec deux des ses camarades. Pour comprendre cette image et les raisons de son oublie de la guerre, il décide d’interroger à travers le monde quelques-uns de ses anciens compagnons d’armes. Cette thérapie aidera Ari à reconstituer sa mémoire. La première expérience d’Ari Folman dans ce type de film d’animation commence avec la série télé documentaire The material that love is made of. « Chaque épisode s’ouvrait par 3 minutes d’animation, où des scientifiques évoquaient la « Science de l’Amour ». » Cette pratique a été révélatrice pour le réalisateur :  » […] l’animation m’est apparue comme la seule solution, avec sa part d’imaginaire. La guerre est tellement irréelle, et la mémoire tellement retorse, autant effectuer ce voyage dans la mémoire avec de très bons graphistes. » Le contexte historique Ce film d’animation israélien retrace un épisode tragique : le massacre de Sabra et Chatila. Cela se déroule le 18 septembre 1982, au Liban, des milices chrétiennes massacrent les civils des camps palestiniens de Sabra et Chatila sous les yeux de l’armée israélienne qui n’a pas bougé et qui même selon certains aurait facilité la tâche de la milice.Cet épisode tragique fait suite à la mort de Béchir Gemayel, chef des Phalanges et président du Liban. Les miliciens ont voulu se venger de cet assassinat en tuant des innocents. Tout cela dans l’indifférence générale… 2. En savoir plus sur Ari Folman Au milieu des années 80, après son service militaire dans l’armée israélienne, Ari Folman réalise son rêve : partir seul faire le tour du monde. Deux semaines et deux pays après son départ, Ari réalise qu’il n’est pas fait pour ça. Il s’installe dans une pension en Asie du Sud-Est et écrit à ses amis restés au pays des lettres où il raconte un tour du monde totalement inventé. Cette expérience est déterminante et le pousse à étudier le cinéma. Son film de fin d’études COMFORTABLY NUMB (1991), qui raconte de manière comique et absurde l’expérience de ses proches lors des attaques de missiles irakiens sur Tel-Aviv durant la première Guerre du Golfe, remporte en Israël le prix du Meilleur Documentaire de l’année. Entre 1991 et 1996, Ari réalise des documentaires pour la télévision israélienne, principalement dans

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Sophie Ristelhueber est une photographe française, née à Paris en 1949. Étudiante à la Sorbonne et à l’Ecole pratique des hautes études, elle a travaillé dans l’édition pendant plusieurs années. Elle s’intéresse au Nouveau Roman d’Alain Robbe-Grillet et consacre à ce sujet une étude universitaire au début des années 1970. Fait très important pour comprendre ses œuvres, car l’auteur du Nouveau Roman influencera sur le travail de Sophie Ristelhueber. Le Nouveau roman n’est pas une école ni un mouvement littéraire, il est « une recherche de nouvelles formes romanesques, capables d’exprimer (ou de créer) de nouvelles relations entre l’homme et le monde … » ( Alain Robbe-Grillet, Pour un nouveau roman, éditions de Minuit, 1961). C’est ce désir d’inventer le monde et l’homme qui mènera l’artiste à la conception d’une nouvelle image et à une autre façon de concevoir l’art. Analyse de ses œuvres A travers la photographie, elle redéfinit des formes (par l’implication physique du lieu, le cadre, la distance – prises de vue aérienne et vue au sol) pour saisir d’une autre manière la vision du monde imposée par les médias.Sa vision n’est pas évènementielle, en se différenciant des pratiques du reportage de guerre. Même si elle nous donne à voir des images des conflits armées précis (la guerre du Liban, la première guerre du Golf), frontalières (Cisjordanie, Asie Centrale) ou simplement des violences subies par le corps (des cicatrices et plaies sur la peau), Sophie Ristelhueber cherche à nous parler de toutes les horreurs des guerres civiles, de toutes les guerres. Ouvrages Intérieurs, avec François Hers, Archives d’Architecture moderne, Bruxelles, 1981. San Clemente avec Raymond Depardon, filme réalisé entre 1980-1982. Beyrouth, Photographies, Hazan, Paris, 1984. Paysages Photographies, Mission photographique de la Datar, Hazan, Paris, 1989. Fait, Hazan, Paris, 1992. Every one (édition limitée), Paris, 1994. Sophie Ristelhueber, Les Barricades mystérieuses II, Cabinet des Estampes, Genève, 1995. LʼAir est à tout le monde, II, III, IV », 2000, 2001, 2002 Dead Set, 2000 et « Irak », 2001 Stitches, 2005. Le Chardon, film réalisé en 2007

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Carré d’artistes® propose régulièrement au public des expositions thématiques afin de promouvoir les artistes. Ouvrir de nouveaux horizons artistiques et créatifs est une ambition quotidienne. En septembre (du 1er au 22), Carré d’artistes® lancera une invitation au voyage… Melting Pot, l’art international à la portée de tous ! A l’origine, l’expression signifie le mélange et de l’intégration des populations aux Etats-Unis. Par extension, c’est le symbole du mélange des cultures et des idées, du brassage des populations, de la diversité et du partage. Lors de cette exposition Carré d’artistes® exposera les oeuvres d’une sélection d’artistes aux origines très diverses. Russe, anglais , espagnol, chypriote, allemand, argentin, hollandais , canadien, polonais , marocain, belge, américain, italien, chilien, bulgare, serbe, irakien, chinois , sénégalais , cubain, suédois se côtoieront dans les bacs. Soit plus de 20 nationalités différentes représentées dans l’ensemble des galeries. Une scénographie originale mettra en avant une installation de pots de peinture arborant les drapeaux des différentes nationalités représentées avec des oeuvres d’artistes étrangers. Passer la porte d’une galerie, c’est s’offrir un moment d’évasion, un voyage artistique. C’est partir à la découverte d’expressions riches d’histoires, de cultures, d’imaginaires différents. Jeune talent ou artiste confirmé, chacun s’exprime selon ses émotions et ses origines et nous donne sa vision du monde. Découvrez la diversité des genres et des techniques. Avec l’exposition internationale Melting Pot, partez à la rencontre d’artistes contemporains du monde entier. Melting Pot , un voyage à travers l’art… Aix (15 artistes du monde) Sergi Castignani, Myren Inger, Manuel Ramat, Begona De Erausquin, Katarina Stojic, Patricia Aballay, Patricia Ures, Marta Rodilla, Dolores Abellan Valls, Tate, Ernest Rossel Mases, Béatrice Leclercq, Basile Mauro, Maria Pou, Babacar Touré Lyon (8 artistes du monde) Marc Agusil, Carme Marti i Villa, Masramon, Rosa Comelles, Melain Nzindou, Carmen Tovar, Colin Merrin, Eva Recordon Paris 6ème (11 artistes du monde) Ton Sant, Leslie Xuereb Amiel, Mercedes Gallardo, Joanne Hodgen, Jose Antonio Hechevarria, Karim Saifou, Anne Muller Dorn, Françoise Barraud, Hilde Wilms, Anna Valls, Costa Paris 4ème (5 artistes du monde) Zani, Cat James, Ute Mainka, Roberta Bridda, Laia Bedos Bonaterra Barcelone (18 artistes du monde) Miguel Ramos Montava, Colomer, Sune, Stankulov, Lourdes Ral Baulenas, Paola Vergottini, Lia Van Ham, Kam Laï Wong, Pombo, Alonso Abelardo Hernandez, Viviana Murina, Guillermo Marti Ceballos, Sandro De Ponte, Gemma Aguasca, Masumi Yagyu, Natalia Villanueva, Fabiano, Alejandra Viacava Lille (8 artistes du monde) Lisa Corbiere, Ma Li, Maria Burgaz, Cologni, Maria Cristina Frigero, Rafael San Juan, Maryam Shams, Gabi Wagner Bordeaux (7 artistes du monde) Miguel De Sousa, Isabelle Arata, Mary Larsson, Ragas Hubb, Tim Shaw, Eliza Vaneva, Lucy Stevens Toulouse (10 artistes du monde) Anya Belyat Giunta, Leo Shapens, Nelson, Nan Hass Feldman, Alfredo Lopez, Carmen, Jonas Romero Taratiel, Testus, Stankul, Carlos Sunne Perera

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