Du 15 avril au 18 juillet, Marc Restellini laisse carte blanche à Bedri Baykam pour un hommage à Edvard Munch, à la Pinacothèque de Paris. A travers un ensemble de 13 tableaux en relief, de grands formats, où se mêlent les graffitis, le collage et la photo, Bedri Baykam réinterprète l’œuvre de Munch. C’est en 2002 lors de la 2ème Biennale d’Art contemporain de Buenos Aires où il est juré que Marc Restellini remarque Bedri Baykam. Fasciné par un style débridé et une vraie liberté de ton où se croisent un monde de références et un expressionnisme très transgressif, Marc Restellini pense naturellement à Bedri Baykam pour une carte blanche en hommage à Edvard Munch. Marc Restellini voit également en Baykam une possibilité de donner la parole à un intellectuel turc très engagé qui réintroduit le rapport du politique à l’art dans un contexte tendu sur fond de décor d’une entrée de la Turquie dans l’Europe. Les thèmes de prédilection de l’artiste oscillent entre un érotisme plutôt rabelaisien et une réinterprétation de l’histoire de l’art, sans omettre surtout la toile de fond politique perceptible dans la plupart de ses travaux. Car Bedri Baykam, ardent kémaliste, également écrivain, est souvent considéré comme l’un des principaux intellectuels turcs opposés au mouvement islamiste qui domine la scène politique en Turquie actuellement. Après avoir mis en peinture ses “Couches Transparentes” (1998-2000) et exploité divers champs de lumière sur ses photos digitales, (série “Intrigues Féminines” 2000-2002) il a également produit une série de « Transparences matérielles » (2006-2007). Le résultat de ces expériences sur la surface lenticulaire lui a permis de creuser en profondeur cette sensation de vertige et de voyage dans le temps. A l’occasion de cette carte blanche  Bedri Baykam est allé à Oslo sur les pas de Munch, poussant ses investigations jusqu’à Åsgårdstrand, village de pêcheurs où l’artiste norvégien fit subir à ses toiles son « traitement de cheval ». Parallèlement à l’exposition « Munch ou l’anti-Cri » ses versions personnelles  sur  la “Madone”, “Le Baiser”, « Puberté”, “La Sirène”, “La Danse de la Vie”, “L’enfant malade”, ou encore “Jaeger et les autres” et inévitablement “Le Cri”, transcrivent  l’importance du vécu personnel dans l’œuvre de Munch : une orchestration se jouant entre ses sources d’inspiration, ses nombreuses réflexions et explorations artistiques, ses tourments et ses démons. Un Munch multidimensionnel à vrai dire, pure synthèse de complexité, de sensibilité et de créativité à l’état brut.   Illustration :Le Cri, 2010Travail lenticulaire185 x 240 cm© Bedri Baykam / ADAGP, Paris 2010

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Le 28ème festival international du film fantastique de Bruxelles aura lieu du 8 au 20 avril 2010 à Bruxelles. Pour cette année, le cru 2010 s’annonce plus qu’intéressant : 28 pays sont représentés, tous porteurs de leur sensibilité propre… Parmi les participants, les scandinaves s’attaqueront aux comportements racistes comme autant de replis ethnocentristes pour répondre à la crainte de la mondialisation, les slaves filtreront leurs blessures avec la fiction, et les asiatiques stigmatiseront la lutte des classes sous toutes ses formes. Les angles choisis passent par toutes les émotions, et c’est justement cette richesse et cette liberté de ton qui nourrissent le BIFFF. Comme tous les ans, le festival international du film fantastique de Bruxelles présentera des films très différents : du cinéma indépendant à la grosse production hollywoodienne. Parmi eux on peut citer : 5150 Rue des Ormes, Blood river, Cell 211, Deliver us from Evil, Ghost Machine, Hidden, Kiba, The killer inside me, Metropia, Possessed, Survival, Vampire Girl VS Frankenstein Girl, Zombies of mass destruction …. De nombreux invités seront également de la partie dont Tobe Hooper, Takashi Shimizu, Dee Wallace, Anna Galiena, Nicolas Winding Refn, …Sam Van Olffen, que nous vous avons récemment présenté sur Lartino, sera également présent pour une exposition consacré au steampunk. Mais le BIFFF est avant tout une fête, un microcosme social de rencontres, avec ses expositions, son bal, ses animations (notamment la Zombie Parade le 10 avril !), son ton résolument convivial et son désir viscéral de faire partager ses découvertes aux 60.000 spectateurs qui viennent chaque année !

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Formé en Juin 2008, le groupe Kandy est un « power trio » composé de : Victor Lefebvre , Vincent H et Gregory Pittet. En Janvier 2009, le groupe signe chez Akamusic son premier single « Je pars » produit par 294 internautes et devient ainsi le premier groupe de Rock Français produit par le grand public ! Rencontre avec Kandy, un groupe soutenu par Lartino … Kandy est un groupe composé de 3 membres venant d’univers musicaux, mais aussi de régions géographiques variés. En effet: Gregory (batterie), 26 ans, est originaire d’Annecy, Vincent (basse), 28 ans, vient d’Evreux alors que Victor (chant+guitare) a grandi à Reims. Ces 3 artistes sont attirés par la musique dès leur plus jeune âge. Gregory et Vincent jouent depuis plus de 15 ans de leurs instruments respectifs (formation, cours…), alors que Victor est autodidacte en guitare et chant et ne joue réellement que depuis 5 ans. Ce sont 3 personnes très atypiques, avec des influences variées, allant du métal à la pop, mais qui au final sont complémentaires: une des particularités de Kandy qui se ressent surtout en live! Comment vous êtes-vous rencontrés ? Nous nous sommes rencontrés lors de nos études à Dijon.Un soir, alors que Victor était en solo pour un concert guitare-voix au Palais des Congrès de Dijon, il se fait remarquer par la précédente formation de Grégory et Vincent et à l’issu d’un bœuf, rejoint leur groupe en tant que guitariste rythmique (cette précédente formation était désormais formée de 5 musiciens). En juin 2008, Victor décide de faire découvrir sa musique au public en sortant un EP en autoproduction. Il demande à Vincent et Greg de l’accompagner en studio et le déclic est immédiat: Kandy est né! Qui fait quoi ? Victor écrit et compose la majorité des chansons et les propose ensuite à Greg et Vincent pour les retravailler ensemble afin qu’elles correspondent à l’ensemble du groupe et que chacun puisse se les approprier.Et chacun apporte sa touche personnelle pour les arrangements afin que chaque chanson soit au final celle d’un groupe: Kandy! Quelles sont vos influences ? Nos influences musicales sont très variées allant du métal (Gregory) à la pop (Vincent), en passant par le rock (Victor).Cependant les influences principales de Kandy sont Led Zeppellin, les Rolling Stones, The Who, Telephone,… surtout le Rock couvrant la période 60-90 pour faire large.Concernant les influences d’écriture, elles sont surtout issues de voyages, rencontres, vie quotidienne, rien n’est laissé au hasard, il y a toutefois une grande part d’imaginaire et d’abstrait dans les textes, peut-être pour cacher une vérité? Comment êtes-vous arrivé sur Akamusic ? Par hasard!Plus sérieusement, nous nous intéressions aux labels communautaires, qui permettent aux artistes de présenter leur musique au public.Akamusic nous a séduit, de part ses modes de production (single puis album), mais également pour la liberté de pouvoir s’y inscrire librement, surtout que le pouvoir de décision est rendu aux principaux intéressés, les auditeurs. Nous voulions être choisis par une vraie communauté, et non présélectionné par

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A D Galerie a annoncé sa participation à l’événement ART PARIS + GUESTS (stand C24) du 18 au 22 mars 2010 sous la verrière du Grand Palais. A cette occasion la galerie exposera trois artistes Hervé Di Rosa, Didier Chamizo et Philippe Huart. Le programme d’exposition de la galerie s’établit autour de trois artistes dont la sélection d’œuvres constitue une homogénéité picturale, qualitative et visuelle. Avec Hervé Di Rosa, le co-fondateur de la figuration libre, la galerie présentera plusieurs pièces de la série Di Rosa Classic, dont deux grands formats exposés à la Maison Rouge lors de l’exposition « Vraoum ! Trésors de la bande dessinée et art contemporain« . Dans une explosion de couleurs, A D Galerie présentera l’œuvre urbaine et moderne de l’artiste Didier Chamizo qui a introduit une perspective qui n’existait pas, la figuration lettrique. Enfin, PHILIPPE HUART viendra investir le stand de la galerie avec ses Mickeys,  pistolets, pilules, cachets gélules, bonbons sucrés et acidulés, fragments d’une société de consommation dans toute sa séduction perfide. Lors de cet événement ART PARIS + GUESTS, la galerie souhaite présenter une opposition de style placée sous le signe de la figuration contemporaine…

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Le Festival de Poupet étoffe sa programmation et annonce la liste des prochains artistes qui brûleront les planches du Théatre de Verdure en Juillet prochain. Une, voire deux autres dates sont toujours en cours de programmation. Les noms des artistes seront dévoilés d’ici une dizaine de jours. Parmi les nouveaux artistes annoncés, on apprend que Newton Faulkner assurera la 1ère partie de Mika, le 22 Juillet.Le groupe ligérien Pony Pony Run Run viendra compléter le plateau regroupant déjà Archimède, Revolver et Yodelice. Guerilla Fresca, groupe vainqueur du Tremplin ouvrira une soirée haute en couleur placée sous le signe le la guitare qui regroupera John Butler Trio et Rodrigo y Gabriela. Alain Souchon se produira à Poupet le 16 Juillet et sera précédé de Florent Vintrigner Enfin, pour la clôture de l’édition 2010, place sera faite au très attendu Jacques Dutronc, le vendredi 30 Juillet, ainsi qu’à Vaguement la Jungle pour l’ultime fête de la saison ! Ouverture de la billetterie : Jeudi 1er Avril (les tarifs et horaires des concerts seront communiqués fin Mars sur le site du festival).Un pass donnant accès à tous les concerts sera proposé au tarif de 140 €.

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Nous vous annoncions dernièrement que Lartino s’était associé à l’événement Art Monaco’10 qui aura lieu du 29 avril au 2 mai 2010, revenons aujourd’hui plus en détails sur ce salon d’art contemporain… Dans un peu plus d’un mois, le Grimaldi Forum se transformera en une galerie d’art de 4000 mètres carrés lors de la tenue d’Art Monaco’10 | Édition Spéciale. Dans le cadre de cet événement, Monaco sera l’hôte de plus d’une soixantaine de galeries d’art provenant des quatre coins du monde qui auront le privilège de présenter et de vendre leurs créations au public montréalais. Art Monaco’10 | Édition Spéciale, a été conçu de façon à supporter les galeristes et artistes d’ici et d’ailleurs. L’environnement créatif de ce festival permet aux galeries de vendre les œuvres des artistes comme Pablo Picasso, Andy Warhol, Tommy Wilson, Philippe Pastor, Agostino Bonalumi, Lucio Fontana, Nikolai Blokhin, Aung Kyaw Htet, Enkhtaivan O., John Nicholson, A. Jeitz, Navch, Alessandro Dubini, etc…; de se rencontrer dans un contexte amical et de se rapprocher du public. Organisateur de l’évènement, Johnessco Rodriguez souhaite donner à cette manifestation une envergure internationale : « Nous présentons un évènement unique qui n’a jamais été réalisé à Monaco. Il sera repris au niveau international car les exposants viennent de nombreux pays (Pays-Bas, Russie, Mongolie, Taiwan, Suède, Israël, Italie, Australie, USA, Liban, Canada, Portugal, Brésil, Argentine, France, Thaïlande …. Il est important de souligner la présence de M. Jorge Iglesias de Buenos Aires, Argentine ; reconnu internationalement pour ses SCULPTURES DE L’INVISIBLE et PEINTURES EN MOUVEMENT, exposera son œuvre pour la première fois en Europe. Son style unique lui a valu le surnom de « Créateur de l’invisible ». Des critiques artistiques disent que Jorge Iglesias a su réussir avec son œuvre ce que Da Vinci et Dali n’ont pas pu. Art Monaco’10 | Édition Spéciale qui aura comme invité d’honneur l’artiste monégasque Philippe Pastor, décernera des prix d’excellence à divers galeries : Le coup de cœur de Monaco’10 : (coup de cœur de la plus haute autorité municipale) Le prix d’excellence – qualité artistique : (prix remis à la galerie pour la meilleure qualité artistique) Le prix d’excellence pensée écologique : (prix remis par Philippe Pastor à la galerie d’art qui présentera la plus belle œuvre d’art inscrite dans une démarche écologique et environnementale ou conçue à partir de matériaux recyclés) Le prix d’excellence baroque : (prix décerné à la galerie qui présentera l’œuvre la plus excentrique) Le prix d’excellence « émotion » : (prix récompensant la galerie ayant proposé l’œuvre qui aura le plus touché et impressionné le monde).

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Sam Van Olffen qualifie ses illustrations de sampling graphique car, tel un DJ de l’image, il extraie des éléments picturaux de leurs contextes afin de créer sa propre mélodie visuelle. A l’occasion du 28ème Festival International du film fantastique de Bruxelles, auquel il participe, il nous invite à pénétrer dans son univers poetico-retrofuturotrash. Bonjour Sam, pouvez-vous vous présenter à nos lecteurs ? Sam Van Olffen, je suis né un 08 Mars 1975 à Montpellier, ville où je réside et travaille toujours. Je me passionne très tôt pour le fantastique, la science-fiction. Je suis autodidacte et il m’a fallu arrêter l’école très tôt pour commencer à lire et m’instruire. Nulle fierté, c’est ainsi. Je me suis construit autant avec Paul Verhoeven que Henry Miller, que Jacques louis David  ou Bruce Lee. Longtemps j’ai voulu écrire des livres et faire du cinéma. Pour les livres, j’y travaille encore. Pour ce qui est du cinéma, après une série de courts métrages d’animation (en libre téléchargement sur www.raclurecrevure.com)  j’ai préféré bifurquer et me consacrer au «Sampling Graphique». J’y reviendrai peut-être mais pour l’heure, le fruit n’est pas mûr, si toutefois il doit l’être un jour. Vous faites ce que vous appelez du « Sampling Graphique », pouvez-vous nous expliquer en quoi cela consiste ? Et bien il s’agit de se donner tous les moyens graphiques, photographiques et picturaux : dessin, photos, lavis, peinture… pour arriver à concrétiser une idée visuelle. De quelle manière avez-vous découvert cet univers ? J’ai vu de l’obscurité ; je suis entré. Depuis je m’y promène, et ramène à l’attention du public, ce que j’y décèle de sombre, de drôle, de poétique, j’ose espérer que se sont des fois les trois en même temps. Depuis quand exercez-vous votre art ? Depuis un peu moins d’une dizaine d’années environ, mais ce n’est que depuis peu que j’ai décidé d’en vivre. Pouvez-vous nous expliquer comment vous travailler ? Je m’arme de patience, puis je monte au front. Quelles sont vos influences ? L’architecture (Jacob Chernikhov), la peinture (Rembrandt), la littérature (romantique du XIX éme), les films fantastique et de science-fiction… pas d’Art Contemporain. Si vous deviez choisir une seule œuvre parmi tout ce que vous avez fait, laquelle choisiriez-vous ? Elle n’est pas en ligne… je ne la montre pas. C’est l’une de mes toutes premières réalisations. C’était la comtesse de Westminster customisée en  créature angélique, le buste dépecé et pleurant du sang. C’est celle que je choisirai car tout est partie de cette image qui n’existe pour personne et qui n’avait aucun autre but que d’ouvrir la voie aux compositions suivantes. Vous exposez en avril au festival international du film fantastique de Bruxelles, qu’est-ce que cela représente pour vous ? Devenir acteur d’une manifestation que j’ai toujours suivie comme spectateur. C’est un honneur pour moi et je ne remercierai jamais assez Annie Bozzo et Maggy Lafata, de m’offrir cette chance. Que pourra-t-on y voir ? Une trentaine de toiles en grands formats sur le thème du Steampunk. Un mot pour conclure

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Christian Guémy, 37 ans, peintre professionnel depuis 3 ans, parcourt le monde pour y peindre des pochoirs dans les rues, en interaction avec les contextes architecturaux et culturels qu’il rencontre. Artiste Street-art, il s’est fait connaître sous le pseudo de C215, un pseudonyme qui transcrit son prénom en chiffres, et qui évoque l’abstraction des codes barres et la déshumanisation de la ville moderne. Alors que débute la nouvelle édition de l’événement Urb’Art : Urb’Art 3 : le happening des campus du Groupe IGS qui donne carte blanche à l’artiste C215, nous avons rencontré l’artiste qui nous parle de son travail … Bonjour C215, vous êtes un artiste « street-art », comment vous est venu cet engouement pour la rue ? J’ai peint d’abord dans la rue, aux alentours de mes 13 ans, avant d’envisager de peindre sur une œuvre amovible. Je suis de la génération SMURF qui a connu la naissance du hip hop, la rue me vient donc du graffiti. De quelle manière avez-vous découvert cet univers ? Par le biais de Sydney sur TF1 alors que j’avais 11 ans ou quelque chose comme cela. Depuis quand exercez-vous votre art ? J’exerce depuis 37 ans au final, car il m’a fallu toute une vie pour être à même de peindre ce que je voulais. Pouvez-vous nous expliquer comment vous travailler ? Je travaille au pochoir à partir de photographies que je transforme. L’application murale est le plus souvent une technique mixte mêlant projections, spray, calligraphies et bien sûr pochoirs. Pourquoi le pochoir est-il devenu si important dans votre manière de travailler ? J’utilise le pochoir car il est seul outil qui me permette de peindre en quelques instants une œuvre extrêmement aboutie n’ importe où, sur n’importe quel support sans avoir à demander l’autorisation de peindre. Il est contraignant car long à préparer, mais au final le pochoir est un outil de liberté, souvent utilisé à des fins contestataires. Selon vous, quelles sont les qualités requises pour faire du Street Art ? Etre un artiste contemporain qui s’intéresse à l’art contextuel en milieu urbain. Quelles sont vos influences ? Extrêmement classiques, notamment par les artistes de la Renaissance. Vous peignez sans autorisation dans la rue. Pourquoi ce choix ?  Quels sont les risques ? Car la rue est la plus belle des galeries et quant aux risques, je m’en fiche… Si vous deviez choisir une seule œuvre parmi tout ce que vous avez fait, laquelle choisiriez-vous ? Sûrement un des portraits de ma fille Nina, qui aura bientôt 7 ans. Vous vous produisez cette année sur l’événement Urb’Art 3, qu’est-ce que cela représente pour vous et qu’en attendez-vous ? Essentiellement une rencontre avec un public nouveau, et la possibilité d’expliciter mon art et celui des autres artistes urbains par le biais de conférences, afin de replacer ce qu’on appelle le street art dans l’histoire de l’art contemporain, puisque celui-ci procède en fait du land art des années 70. Où pourra-t-on également vous retrouvez cette année ? Dans la rue

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Place aux artistes, salon international d’art contemporain qui aurait dû avoir lieu les 13, 14 et 15 mars dans le 4ème arrondissement de Paris vient d’être annulé suite à la décision de Madame Bertinotti.   Suite à la décision de Madame Bertinotti, maire du IVième arrondissement, de ne pas donner une suite favorable à la tenue de la 5ème édition de Place aux Artistes Place Baudoyer, les 13, 14 et 15 mars 2010, la direction de Place aux Artistes ! a donc annulé ce salon.   Les prochaines manifestations de Place aux Artistes ! auront lieu aux dates suivantes : Marché Popincourt – XIe : 9 10 et 11 avril 2010 Marché Monge – Ve : 28 et 29 mai 2010 Marché Auguste Blanqui –  XIIIe 25 et 26 juin 2010 (spécial Place aux Artistes ! italien) Marché Anvers – Ixe : 10, 11 et 12 juillet 2010 Marché Grenelle – XVe : 16, 17 et 18 sept 2010 Marché Saint-Honoré – Ier : 23 et 24 octobre 2010 Marché Mouton-Duvernet – XIVe : novembre 2010 Marché du Président Wilson – XVIe – 12, 13 et 14 dècembre 2010

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Le salon d’art contemporain Art Monaco’10 ouvrira ses portes du 29 avril au 2 mai prochain en partenariat avec Lartino. Ce salon prestigieux a pour objectif de favoriser l’intégration et la diffusion des arts sous toutes ses formes par la production de plates-formes novatrices et créatives. Art Monaco’10 – Édition Spéciale est une exposition international à grande échelle dans les domaines des arts et de la culture.Celle-ci s’ouvrira durant 4 jours (du 29 avril au 2 mai 2010) dans la Principauté de Monaco à la Salle Diaghilev du Grimaldi Forum. Représentant une variété de galeries d’art de renom ainsi que d’artistes établis émergeants, cet événement offrira une plateforme en vue d’exposer des collections d’œuvres d’art moderne et contemporaines d’une variété de styles et de différents médiums tels la peinture, le dessin, la photographie, et la sculpture, pour n’en nommer quelques-uns. Art Monaco’10 – Édition Spéciale présentera également le Prix d’Excellence en 6 catégories : Les Coups de Coeur de Monaco ’10 (2 prix) Le Prix d’excellence: Qualité Artistique Le Prix d’excellence: Pensée Écologique Le Prix d’excellence Baroque Le Prix d’excellence Émotif La Rédaction de Lartino est très heureuse d’être associée à cet événement prestigieux et nous reviendrons donc plus en détails sur l’événement au cours des semaines à venir…

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