Rendez-vous désormais incontournable de l’automne culturel, le festival Jazz sur Seine s’annonce, pour sa 6ème édition, du 13 au 28 octobre, encore plus festif et plus ambitieux. Initiative de Paris Jazz Club – le Réseau des lieux de Jazz – le festival propose ainsi cette année pas moins de 180 concerts – 30 de plus qu’en 2016 – qui mobiliseront quelques 450 musiciens dans 25 lieux répartis équitablement entre Paris et les autres départements de l’Ile-de-France. Au-delà des concerts, le festival met en place une soirée spéciale Showcases, avec le soutien de l’ADAMI, qui le 17 octobre, permettra la présentation aux professionnels de 18 projets d’artistes dans six lieux du quartier du Châtelet, à commencer par les clubs de l’historique Rue des Lombards. Fête de tous les jazz, Jazz sur Seine amplifiera ses actions spécifiques avec un Atelier de musicothérapie jazz ; Ateliers de sensibilisation pour enfants et Master-classes seront toujours au programme. Les premiers artistes confirmés : Dianne Reeves, Tigran Hamasyan, Lucky Peterson, Jacky Terrasson-Stéphane Belmondo, Sarah Mc Kenzie, Louis Winsberg , Leïla Martial, Steve Potts, Naïssam Jalal,… Programmation complète et liste des clubs sur www.parisjazzclub.net Soirée Showcases Jazz sur Seine 2017 Mardi 17 Octobre 2017 à partir de 19h30 Avec le soutien de l’ADAMI, le Festival Jazz sur Seine propose aux professionnels de la musique et au public de découvrir 18 show-cases du meilleur de la scène française révélé par les clubs. Une sélection qui se veut représentative du jazz de 2017, à travers des sorties d’albums emblématiques, des projets présentés en avant première ou encore des collaborations avec des invités de renoms. L’invitation des professionnels de la musique à cet événement organisé la veille du Mama, a pour but de développer la programmation de ces artistes dans les festivals, SMAC, théâtres etc… et à l’international. Entrée libre pour le public, Accès prioritaire pour les professionnels.

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Il aura fallu attendre trois années pour que la fusée NOJAZZ revienne sur Terre ! Avec cette nouvelle production, NOJAZZ a su trouver l’alchimie parfaite entre le son Soul & Funky des années 80 et celui des productions Electro plus actuelles avec une collaboration de premier choix en la personne d’ATOM (Stromae, C2C).C’est autour de ce projet audacieux que NOJAZZ réinvente cette recette savoureuse « Electro/Soul » en y associant parfois le son Hip Hop,dévoilant ainsi de belles surprises à découvrir dans ce nouvel album !  Juste avant l’atterrissage imminent du nouveau LP et ses compositions originales, vous pouvez d’ores et déjà découvrir le single « Swingin’ in da rain » en playlist sur de nombreuses radios.NOJAZZ avait enregistré quelques pépites lors d’un séjour à Los Angeles avec Stevie Wonder, Maurice White (RIP),Earth Wind & Fire et le rappeur Bishop.Ces titres ont été réarrangés et mixés dans un style dont seul NOJAZZ a le secret !  Le nouvel album de NOJAZZ « Soul Stimulation » sortira en France le 25 novembre 2016 en format cd et vinyle en édition limitée,disponible sur toutes les plateformes digitales.

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Pour sa 27e édition, Jazz à Toulon accueillera des grands noms du Jazz pour une série de concerts ouverts à tous. Originaires des quatre coins du monde, les artistes feront vibrer les places de la ville aux rythmes du jazz. Du 15 au 24 juillet 2016, les habitants de l’aire toulonnaise ainsi que les touristes pourront savourer le plaisir de 16 concerts gratuits. Depuis sa création en 1990, Jazz à Toulon s’inscrit comme l’un des festivals incontournables, que ce soit pour les toulonnais ou pour les nombreux touristes. Sa programmation toujours aussi forte et éclectique lui permet de rester l’événement phare de l’été varois. Pour cette nouvelle saison, les jazz bands s’empareront des rues et feront swinguer les quartiers. Les amateurs comme les connaisseurs pourront apprécier le Jazz à tout moment de la journée : avec les ateliers participatifs en début d’après-midi, avec les concerts à l’heure de l’apéritif (17H30) et ceux en soirée (21H30). Les artistes partageront leur répertoire allant du blues au funk, en passant par le swing et le modern jazz. Tous les horizons musicaux seront présents pour offrir au public des performances diverses mais toujours aussi fabuleuses. Reprises et nouveautés seront au rendez-vous, pour le plus grand plaisir de tous, permettant découvertes et redécouvertes. Pour cette 27e édition, Jazz à Toulon sera placé une fois de plus sous le signe du partage et de la convivialité en allant chaque jour au-devant de son public. Du 19 au 21 juillet, à partir de 13H00, le festival proposera aux spectateurs de jouer en scène ouverte. Professionnels et amateurs seront invités à rejoindre le trio « Jazz On » sur les scènes des différentes places du centre-ville toulonnais. Improvisation et simplicité seront les maîtres mots de ces ateliers musicaux.

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Fondé par Francis Dreyfus en 1991 le label fête ses 20 ans. Pour cet événement le label propose un somptueux coffret réunissant 20 CD indispensables. Histoire d’un label atypique… Au début des années 90, après avoir connu de nombreux succès artistiques et commerciaux, en particulier avec Jean Michel Jarre et Christophe, Francis Dreyfus se lance dans l’aventure du jazz. Pari périlleux mais pari réussi ! Pour s’imposer d’emblée dans cet univers dans lequel on ne l’attendait pas forcément, Francis Dreyfus signe des pointures : Steve Grossman, Marcus Miller, Roy Haynes, mais aussi Richard Galliano, Biréli Lagrène, Michel Petrucciani ou encore Eddy Louiss. 20 ans après, Dreyfus Jazz est devenu un label prestigieux et incontournable. Un label à la qualité et à l’exigence artistique unanimement reconnues. Un label qui a su sortir le jazz du ghetto : 6 millions d’albums vendus à travers le monde, dont plus de 900 000 unités de la collection Jazz reference (70 albums des géants du jazz avec une qualité sonore inégalée) Aujourd’hui, le label prouve, par ses signatures, qu’il continue à rassembler les meilleurs talents et à promouvoir le jazz de qualité : Luis Salinas, Géraldine Laurent, Adrien Moignard entre autres.

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Cet été, du jeudi 18 au dimanche 21 août 2011, la Ville de Capbreton (40) met les artistes féminines du Jazz à l’honneur en organisant sa 21e édition du festival Fugue en Pays Jazz. Chanteuses, contrebassistes, percussionnistes, pianistes, saxophonistes… Les femmes prennent le pouvoir sur les scènes de Jazz, avec, comme à leur habitude, une implication et un talent hors du commun. Artistes au programme Rhoda Scott Lady Quartet Camélia Ben Naceur Roberta Gambarini Eliane Elias Denise King

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En 2011, Nice revient aux sources de son festival du jazz dans une configuration nouvelle, plus accessible, plus ouverte, plus urbaine. Le Nice Jazz Festival fait peau neuve en retrouvant ses vraies valeurs : Une manifestation populaire au cœur de la cité. L’édition de 2011 sera l’occasion de rendre un hommage au célèbre trompettiste Miles Davis, disparu il y a 20 ans, en lui consacrant la soirée d’ouverture, mais aussi en réunissant dans cette programmation des artistes fortement inspirés par son parcours ou qui ont même partagé la scène avec lui. Influencé par Wes Montgomery, Django Reinhardt ou Ravi Shankar, John McLaughlin fut l’un des pionniers du jazz rock, aux côtés de son ami Miles Davis ; et c’est donc tout naturellement qu’il sera le parrain prestigieux de cette édition 2011. Du 8 au 12 juillet, ce sont plus de 30 groupes qui se produiront sur les 2 scènes du festival pour 5 soirées inoubliables !

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Jean Claude Bertrand est un artiste peintre qui fait du « jazz painting ». Du 15 Septembre au 30 Octobre 2010, il présentera, en partenariat avec Lartino, une exposition musico-picturale : « Ecoutez-voir le jazz ! » à la galerie Artelano 54 rue de Bourgogne dans le 7ème arrondissement de Paris. L’artiste plasticien Jean-Claude Bertrand présentera lors de cette exposition sa démarche artistique construite sur la base de musiques d’improvisation et plus spécifiquement du jazz… pour sa richesse communicative, vibratoire, interactive, émotionnelle et imaginative ! Jean-Claude Bertrand souhaite présenter à son public le lien qui, selon lui, existe entre musique et peinture. « Ecoutez-voir ! » est une invitation … à vous abandonner aux vibrations picturales, qui vous feront ressentir la musique d’une originale façon. A l’occasion des deux vernissages, Jean-Claude Bertrand invitera le guitariste Bruno Lanier, pour partager, avec le public, des instants privilégiés lors de performances musico-picturales. L’événement, en partenariat avec Lartino, est organisé par Sarasvati Events, une jeune agence événementielle artistique et culturelle qui fait de la promotion d’artistes en organisant des expositions dans des lieux insolites de la capitale, mais aussi en galeries et en entreprises.

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Caro Emerald est la nouvelle révélation mambo jazz inspirée des ballrooms dancing des années 50. Véritable pin-up rétro, elle nous fait revivre la grande époque des studios hollywoodiens ! Son premier single Back it Up est déjà un tube mêlant groove imparable et bonne humeur. Un coup de cœur Lartino ! Caro Emerald, de son vrai nom Caroline van der Leeuw, est née en 1981 à Amsterdam. L’année dernière, Caro Emerald a eu la chance d’interpréter Back It Up sur une chaîne de télévision locale (AT5) à Amsterdam. Le succès a été immédiat : les téléspectateurs n’ont pas cessé de contacter la chaîne par téléphone et internet au sujet de la charmante jeune fille et de sa chanson entraînante. AT5 a repassé cet extrait pendant des mois, jusqu’à ce que les responsables de la chaîne réalisent qu’ils ne pouvaient plus diffuser cette version et qu’ils avaient vraiment besoin de nouvelles images. Avec l’aide d’amis, Caro Emerald a donc produit un clip sans budget pour ce morceau, qui s’est ensuite retrouvé sur Youtube et, une fois de plus, les réactions ont été très enthousiastes. Le public a littéralement suppliée Caro Emerald de vendre la chanson sur iTunes. Les stations de radio se sont mises à diffuser le titre spontanément, et des personnes du monde entier ont manifesté de l’intérêt pour Caro Emerald, en lui proposant de devenir son manager ou encore de participer à la synchronisation du film américain « Dare », interprété notamment par Emmy Rossum. En mai 2007, Caro Emerald a été contactée par les producteurs néerlandais David Schreurs et Jan van Wieringen. Ils venaient d’écrire une chanson pour un groupe de pop japonais avec l’auteur-compositeur réputé Vince Degiorgio (ancien Vice-président international chargé des nouveaux artistes chez RCA Records à New York, qui a notamment travaillé avec.), mais leur chanteuse de démo n’était pas disponible et ils avaient besoin de trouver quelqu’un rapidement. C’est ainsi que Caro Emerald s’est retrouvée à enregistrer la démo de Back It Up. Même s’il était évident que la voix de Caro Emerald convenait parfaitement à la chanson, les quelques éditeurs qui ont écouté la démo n’ont pas donné suite. Cependant, Caro Emerald aimait tellement cette chanson qu’elle a décidé de l’intégrer à ses concerts. Ne comptant qu’une seule chanson à son actif, Caro Emerald a décidé avec son équipe de se concentrer sur un album complet dans un premier temps, au lieu de sortir Back It Up dans la précipitation. Puisant leur inspiration dans le cinéma et la musique des années 1940 et 1950, ils se sont mis à travailler sur de nouvelles chansons et idées. Quelques mois plus tard, Vince s’est rendu à son tour à Amsterdam pour terminer le disque. Le résultat : un opus captivant et très accessible, comprenant du jazz dansant et rythmé, des tangos cinématographiques et des mambos entraînants qui donnent l’impression d’avoir été enregistrés en 1951 dans les plus célèbres studios d’Hollywood.   Deleted Scenes From The Cutting Room Floor : Sortie le 7 juin 2010 //

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Avec plus de 41 concerts programmés et pas moins de 140 000 spectateurs attendus, le Paris Jazz Festival qui aura lieu du 12 juin au 1er Août est une manifestation Estivale Parisienne unique en son genre, qui concilie ouverture à un large public, qualité des interprètes et originalité des programmes, sur un site magnifique, le tout dans une ambiance détendue et conviviale. Paris, capitale de tous les jazz, est une terre d’accueil célébrée par les créateurs venus des horizons les plus ouverts. L’édition 2009 du Paris Jazz Festival l’a confirmé en accueillant pour ses 40 concerts  plus de 140 000 spectateurs sur les 8 week-ends de juin et juillet 2009 . Le Paris Jazz Festival continuera donc, en 2010, d’arpenter avec le public du Parc Floral des territoires musicaux pas toujours bien connus, parfois insolites. L’ambition étant de conforter l’image des Jazz au Parc Floral en imaginant, avec la complicité des artistes, plusieurs créations et événements qui viendront souligner l’originalité de la démarche. Une initiative artistique qui vise à renforcer la notoriété de ce rendez-vous incontournable de l’été. La venue en exclusivité pour l’ouverture du festival du saxophoniste norvégien Jan Garbarek et de son groupe, pour la première fois depuis longtemps à Paris, le lancement du nouveau projet vocal de David Linx et Maria Joao ou encore les rencontres du Proche-Orient organisées avec les prestigieux musiciens Zohar Fresco et Yaïr Dalal autour de David El Malek sont autant d’exemples de cettevolonté. Et, pour davantage d’harmonie, les organisateurs ont également imaginé de passer le relais à l’univers classique tout au long d’un week-end « Jazz au Vert », en invitant notamment Christophe Monniot et sa création « Vivaldi Universel », et en écoutant le pianiste Enrico Pieranunzi revisiter l’oeuvre de Scarlatti.

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Jazz (« j » se prononce « dj ») n.m XXe siècle.  » Emprunté de l’anglais jazz, qui désigne une danse ou un genre musical. Genre musical qui trouve son origine dans la musique profane et religieuse des Noirs d’Amérique du Nord, caractérisée par l’importance du rythme et la large place laissée à l’improvisation  » – Dictionnaire de l’Académie française. A l’occasion de l’exposition  » Un siècle de Jazz «  au Musée du Quai Branly de Paris, retour sur un courant musical majeur du XXè siècle. Cette musique, mais aussi son mode de vie, et les révolutions qu’elle a entraîné, a marqué profondément les consciences, au gré de ses rythmes. En 1917, le jazz, danse populaire et musicale, émerge avec l’enregistrement du premier disque l’Original Dixieland Jazz Band, un groupe paradoxalement de blancs. A la même période, Storyville, quartier où jouaient de nombreux musiciens est fermé pour cause de prostitution. Le jazz émigre vers Chicago et New York. A ce moment, la musique est partout, reflet social d’une société mutante. Le jazz charme toute l’Amérique après la première guerre mondiale. F.Scott Fitzgerald nomma « Jazz Age » cette période, dans l’un de ses ouvrages. Surnom repris à outrance, à l’image de son appréciation dans le quartier sensible de Harlem. Archibald J.Motley est un peintre décisif de cette période. Il peint de grandes toiles montrant la joie et la gaieté du jazz, rythmé et chorégraphié. L’ensemble est sompteux en couleurs et en émotions. Le jazz connait son heure de gloire en Europe. Ce fut l’orchestre de Jame Reese Europe qui fit découvrir les rythmes endiablés à ce nouveau public. Joséphine Baker, coqueluche des cabarets parisiens, fut fréquemment représentée. Jean Cocteau, Francis Picabia, Fernand Léger, Kees Van Dongen participèrent au mouvement avec des représentations picturales. Le plus impressionant était Paul Colin et sa série de 27 dessins en portfolio Le tumulte. La seconde guerre mondiale effectua un tournant essentiel dans l’histoire du jazz. Ce fut pendant ses années tumultueuses que Piet Mondrian envisagea son Boogie Woogie, et peignit ses plus belles toiles. Dubuffet et Matisse ne furent pas en reste… La fin de la guerre coïncida avec l’avènement du Bebop, lancé par Charlie Parker, Miles Davis,… L’expressionnisme abstrait vit le jour avec Jackson Pollock et ses drippings. En Europe, Nicolas de Staël dédiait ses peintures à cette passionnante musique. L’après guerre vit surgir un nouveau mode de création artistique : les pochettes de disques (Record Cover) crée notamment par Warhol. En 1960 paraît l’album Free Jazz d’Ornette Coleman ( « Libérez le jazz… jazz libre..« ) marquant un nouveau chapitre de cette musicalité, Jackson Pollock ayant représenté la pochette. Cette révolution « free » marqua la liberté de la création noire. Le jazz contemporain continua à vivre à travers les années 80 : Jean Michel Basquiat et Keith Haring le saluèrent de la plus belle façon qu’il soit, en peignant à leur tour un hommage.

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