Récemment lancé, Caz’ART est un réseau social qui réunit artistes et amateurs lors d’expositions organisées à domicile. La Rédaction de Lartino a souhaité en savoir plus sur cette manière originale d’exposer l’art et a donc rencontré Céline Joseph, créatrice de Caz’ART. Pouvez-vous svp vous présenter aux lecteurs de Lartino ? Bonjour, je pourrais me présenter de manière classique ; âge (27), profession (travaille dans l’évènementiel), etc. mais je préfère simplement dire que je suis une personne on ne peut plus « normale » avec des projets plein la tête et l’envie de défendre la Création et la Diversité Artistique et Culturelle. Qu’est-ce que Caz’Art et comment le projet est-il né ? Caz’ART se veut être une « Maison des Arts itinérante », une nouvelle manière d’aborder le concept de l’exposition artistique en l’organisant au domicile d’un Particulier.Cette idée m’est apparue comme une évidence en constatant les difficultés d’accès aux expositions traditionnelles rencontrées par de nombreux artistes talentueux.Je suis par ailleurs convaincue que l’Art est émotions et doit donc se communiquer pour mieux se partager. Et par la même, se comprendre … ! Quels sont les objectifs de Caz’Art ? Tout d’abord, il me tient à cœur de découvrir de nouveaux talents et de les aider à se faire connaître. Ensuite, je souhaite contribuer à la « démocratisation » et à « l’humanisation » de l’Art, tant du côté de l’Artiste que des amateurs d’Art. Quels sont les critères de sélection ? Qu’il s’agisse de statues de bronze, de peinture, de photographie, de mode, de dessin, de collage, etc. , Caz’ART est ouvert à tous les domaines et univers artistiques à condition que la création et la recherche ainsi que l’envie de partager soient au rendez-vous.L’Artiste doit être en mesure de présenter et de raconter un nombre suffisant d’œuvres, disposer du matériel nécessaire à l’exposition (des moyens même très sommaires peuvent suffire car il ne s’agit pas de transposer une galerie d’Art chez un Particulier, mais de s’appuyer sur les possibilités de son domicile pour présenter ses œuvres)Le Particulier quant à lui doit bien sûr apprécier les œuvres de l’Artiste qu’il reçoit et être conscient du rôle de « Mécène revisité » qu’il peut jouer. Comment les expositions sont-elles organisées ? Une fois le couple « Artiste – Particulier » défini, je peux, s’ils le souhaitent, les accompagner tout au long de leur projet : visite du domicile, aide à la conception et mise en scène de l’exposition, aide à la sélection des œuvres, communication autour de l’évènement, gestion des inscriptions, présence lors de l’exposition, suivi post-exposition.Les projets et du coup les modalités d’organisation ne sont jamais les mêmes car il peut s’agir d’une expo de peintures grands formats dans une demeure de 300 m² tout comme d’une expo photo polaroid dans un appartement de 35 m² ! Quels sont les bénéfices côté artiste et côté particulier ? Côté Particulier ; vivre une expérience artistique et humaine inédite, découvrir un talent et le soutenir de façon originale.Côté Artiste ; explorer une
[...]Jusqu’au 10 janvier 2011, la Galerie des enfants du Centre Pompidou invite le jeune public à découvrir les techniques artistiques développées par Arman à partir des objets du quotidien. À travers les «tampons», les «coupes», les «accumulations» ou encore les «portraits-robots», l’enfant expérimente une incroyable et révolutionnaire «aventure des objets»! En parallèle à la rétrospective Arman, présentée dans la Galerie 2 du Centre Pompidou, cette exposition-atelier plonge les enfants au cœur d’une «usine poétique et contemporaine» créée par le designer-plasticien Adrien Rovero. Autour de l’objet et du geste de l’artiste, des dispositifs interactifs ponctuent ce parcours, croisant les procédés d’Arman et le monde sensible des enfants. Un parcours en trois étapes propose aux enfants de collecter et trier les objets de leur quotidien pour mieux les décrypter, se les approprier, s’en amuser et créer.Enfin, ils sont invités à réinventer l’espace, en rassemblant les objets, en les accumulant, pour imaginer une architecture mouvante et pour jouer avec les notions de vide et de plein. L’exposition-atelier présente également un ensemble de films et de photographies dévoilant les gestes d’Arman au travail et son œuvre.
[...]La galerie Frank Picon, située à deux pas du musée Picasso, est un espace de 120 mètres carré dédiés à la création contemporaine et plus particulièrement aux artistes sculpteurs de verre, art peu connu en France. Partenaire de la galerie, depuis son ouverture en février dernier, la Rédaction de Lartino a souhaité vous présenter Frank Picon. Rencontre avec un passionné d’art contemporain. Pouvez-vous svp vous présenter aux lecteurs de Lartino ? Bonjour et merci de m’accorder cet entretien. Après des études de sciences politiques, j’ai consacré la première partie de ma vie professionnelle à l’action publique en tant qu’élu local notamment.Je me suis beaucoup mobilisé à cette époque sur les problématiques sociales d’une part, et culturelles de l’autre. Pour résumer, une première séquence de vie principalement dédiée à l’engagement au service des autres. Vous avez ouvert, en février 2010, votre galerie en plein cœur du Marais. Pourquoi cette localisation? La raison de ce choix est double : en premier lieu, le Haut-Marais est au cœur de la création contemporaine et, conséquemment, du milieu des galeries d’art. D’autre part, c’est encore un quartier de Paris où règne une grande diversité de populations. Des gens de tous les milieux, de tous les genres s’y croisent, s’y côtoient quotidiennement. Il en résulte une énergie que l’on ne retrouve plus guère dans certains quartiers de la capitale, plus « homogène », plus lisse et, pour tout dire, quelque peu figés à mon sens. Le côté « entre-soi » m’a toujours mis mal à l’aise. Je pense que nous nous devons, surtout dans nos métiers, d’aller chercher l’altérité. Comment devient-on galeriste? Il y a mille chemins possibles, je suppose…Pour ma part, à la vielle de la quarantaine – c’est assez banal- j’ai éprouvé le désir de changer de vie. Je m’ennuyais, tout bêtement. En conséquence de quoi, j’ai résolu de me lancer un nouveau défi : créer une galerie d’art contemporain ouverte à un public le plus large possible. Il est amusant de noter que durant le temps de « gestation » de ce projet -2 ans- j’ai connu la joie d’être père pour la première fois. J’ai donc vécu à quarante ans, si vous me passer la formule, tout à la fois une naissance et une renaissance. Comment sélectionnez-vous les artistes que vous présentez? La sélection des artistes que nous présentons s’opère avant toute chose sur la qualité du travail proposé. Le niveau d’exigence et l’honnêteté d’une œuvre pèsent fortement sur mes choix.Mais à l’origine de cette œuvre, il y a une femme, un homme, et c’est aussi affaire de rencontre, de « feeling ». Pour m’engager totalement dans la promotion d’un artiste, j’ai besoin que se tisse une relation de confiance, de complicité avec ce dernier. Je suis très sensible à la dimension humaine de toute chose. Quelle est la tendance, la thématique principale de votre galerie ? Un double mot d’ordre en manière de programme : un art exigeant mais accessible au plus grand nombre.La galerie a adopté le parti-pris de promouvoir le médium verre – glass-design- sous ses formes
[...]Le 6 novembre prochain aura lieu une grande soirée à la galerie Frank Picon. Animée par le d’j Parisien DJ K-Mu, cette soirée exceptionnelle présentera le travail de deux artistes renommés.Après cinq ans d’absence sur la scène Parisienne, les invités pourront (re)découvrir le travail du plasticien Patrick Charrier. Et Chantal Royant viendra également présenter ses sculptures en verre. A cette occasion, la Rédaction de Lartino a le plaisir de vous offrir des places VIP pour assister à cette soirée événement. Pour obtenir ces places, vous devez être membre Lartino (inscription gratuite) et envoyer votre demande en cliquant ici.
[...]Sophie Blachet, galeriste spécialisée en livre-objet, peinture matièriste et photographie contemporaine, a ouvert sa galerie, Art Vitam, en 2002 dans le Wynwood Art District. Sophie Blachet est également commissaire d’exposition indépendant et organise des ateliers de formation destinés aux artistes plasticiens. A l’occasion de la prochaine session d’ateliers, elle nous aide à faire le point sur la professionnalisation des artistes plasticiens … Vous organisez prochainement des ateliers de formation destinés aux artistes plasticiens, pouvez-vous nous en dire plus ? Grâce à mon métier de galeriste, j’ai la chance de fréquenter des artistes plasticiens tous les jours. Beaucoup m’expliquaient qu’ils avaient du mal à se promouvoir parce qu’ils ne connaissaient pas tous les rouages et que l’accès à l’information est difficile. De plus, il n’existe aucune formation pour artistes plasticiens en France. Fort de ces commentaires, nous avons décidé de dispenser 4 formations, dès 2011 nous aurons 3 nouvelles formations. Chaque formation répond à une problématique de la vie d’artiste plasticien. L’artiste repart avec un pack d’information qui lui permettra de s’y appuyer. A qui s’adressent ces ateliers ? Ces formations s’adressent aux artistes plasticiens qui souhaitent rentrer dans une démarche de professionnalisation, aussi bien aux artistes débutants qu’aux artistes confirmés qui souhaitent améliorer leurs connaissances. Pourquoi s’adresser plus particulièrement aux artistes plasticiens ? Parce que nous sommes proches des artistes plasticiens par notre travail et qu’il n’existe pas de formation pour les artistes plasticiens alors qu’il en existe pour les autres disciplines artistiques. Comment se déroulent ces ateliers ? Les ateliers durent 4 heures et un maximum de 10 artistes sont présents. Nous limitons volontairement à 10 artistes pour permettre à chacun de pouvoir s’exprimer, de poser toutes les questions. En un mot permettre un vrai échange. Qui les anime ? Brigitte Camus, consultante artiste, auteur et graveur et moi-même. Comment faire pour s’y inscrire ? Il faut envoyer un email à formation@artvitam.com afin de recevoir le bon de réservation Y a-t-il différents ateliers ? Oui. 4 actuellement en 2010 : développer et diffuser son travail artistique disposer de son texte critique exposer à l’étranger créer et développer son réseau Dès 2011, 3 nouveaux ateliers sont prévus : l’artiste et l’argent profession photographe disposer des outils pour créer son book de A à Z Quel est l’objectif de ces ateliers ? L’objectif de ces ateliers est que les artistes disposent de toutes les cartes afin de débuter ou de continuer leur métier : celui d’artiste. En effet, être artiste est un métier à part entière qui nécessite des connaissances afin de connaître les règles et donc de percer. Y en aura-t-il d’autres prochainement ? Oui. Nous organisons les 4 ateliers tous les mois à Paris.Et pour 2011, nous invitons les artistes intéressés à se rendre sur le site www.artvitam.com qui relaiera les dates très prochainement. Quel est l’intérêt pour un artiste de se professionnaliser ? Leur intérêt est de ne pas rester sur le banc de touche. Effectivement nombreux sont les artistes talentueux qui ne savent pas promouvoir, diffuser leur
[...]Chantal Royant est une plasticienne du verre. Du 06 novembre au 04 décembre 2010, en partenariat avec Lartino, la Galerie Frank Picon proposera les œuvres de l’artiste, l’occasion pour le public de (re)découvrir le verre sous ses plus belles formes… Formée au sein du Studio Glass Movement en Californie, Chantal Royant rentre en France et monte son atelier en 1991. À l’époque, le verre est, encore, une forme d’expression inédite, un nouveau média dans la sculpture, et ses travaux séduisent immédiatement les collectionneurs. Depuis, Chantal Royant expose dans plusieurs galeries, et participe très régulièrement à des expositions internationales et à des ventes publiques à Drouot.Elle réalise aussi des installations avec des architectes, pour des commandes publiques ou dans le cadre de mécénat d’entreprises. Chantal Royant voyage beaucoup, au gré des expositions, des résidences d’artistes et des conférences qu’on lui propose, et puise son inspiration et sa force créatrice de toutes ces contrées qu’elle visite. Le voyage et la découverte du monde sont une composante essentielle de son travail : les visites à l’extérieur complètent les visites de l’Intérieur, de Soi, qu’incarne le processus de création. Bulles, vagues, courants, résilles, trames, formes archaïques et maillages complexes émergent alors des profondeurs pour créer dans la matière un nouveau microcosme. Chantal Royant participe très fortement par ses œuvres à la prise en considération majeure et récente de cette matière étrange qu’est le verre.
[...]A l’occasion de la sortie de son nouvel album baptisé, Phare Ouest, Xavier Mérand sera en concert début novembre. Lartino vous propose de (re)découvrir cet artiste en vous offrant vos places. Lartino vous propose de gagner des places pour les concerts de Xavier Mérand qui auront lieu les 02 et 03 novembre au Zebre de Belleville. Pour tenter de gagner ces places, vous devez être membre Lartino (inscription gratuite) et envoyer votre demande en cliquant ici.
[...]Karim Bellil est un jeune poète auto édité, de 32 ans, qui vient de sortir son 4ème recueil de poèmes. S’inspirant de la vie actuelle (travail, amis, argent, famille, amour) Karim Bellil nous livre une poésie plutôt romantique, inspirée du quotidien, dans un style simple. Bonjour Karim, tout d’abord, qu’est ce qui vous inspire cette poésie ? Je m’inspire de beaucoup de choses : les gens, les mots, le travail, mon expérience, mon imagination. J’écris aussi beaucoup de poèmes sur commande pour des anniversaires, naissances etc… J’écris quand j’ai envie et quand j’ai le temps, donc souvent le soir. Un poète est-il un écrivain comme les autres ? Non au niveau de la technique déjà. La mienne est assez simple mais je fais systématiquement appel aux rimes. Sinon ce sont toujours de courtes histoires avec souvent des émotions, des sentiments, des valeurs. Je me sens plus proche des auteurs de chansons que des romanciers… Dans un poème ou une chanson, on dit beaucoup de choses et on transmet des émotions à travers peu de mots et j’aime cela. Le poète se caractérise aussi beaucoup par sa sensibilité. Vous êtes poète auto édité, qu’est ce que cela signifie ? Cela signifie que je fais tout le travail de l’édition : promotion du livre, démarchage (difficile) des librairies, des salons (quand ils acceptent les indépendants). J’assume bien sûr le coût de l’impression des livres. Que représente pour vous l’auto-édition ? Est-ce un choix ? L’autoédition c’est l’expression d’une vraie passion.Pour se lancer dans un projet coûteux et qui nécessite un énorme travail de promotion commercial, il faut croire en soi et être vraiment passionné. C’est le seul recours des gens qui n’ont pas de connaissance dans le milieu littéraire ou qui ne sont pas connus. L’autoédition c’est aussi la liberté de faire des choses originales avec de la saveur. L’autoédition c’est aussi la seule possibilité de diffuser mes livres puisque qu’aucun éditeur sérieux n’a accepté de le faire. C’est dommage que beaucoup sous-estiment l’autoédition, c’est une méconnaissance du monde particulièrement fermé du livre. Vous avez sorti un 4ème recueil de poèmes, pouvez-vous nous en dire plus ? Mon 4ème recueil s’intitule MA VIE DE POETE et évoque en partie les ambitions d’un jeune poète en 2010 et toutes les barrières qu’il rencontre. Comme mes autres livres il y a aussi de nombreux poèmes sur les gens et sur les sentiments. Où peut-on trouver vos recueils ? Mes recueils sont disponibles dans quelques librairies en région parisienne :LIBRAIRIE COSMOPOLITE – 99 rue de charonne, 75011 ParisLA MALLE AUX HISTOIRES – 81 avenue Jean Lolive, 93500 PantinLibrairie-Galerie SALAMATANE – 119 bis rue de Paris, 93100 MontreuilLIBRAIRIE FOLIE D’ENCRE DES LILAS – 3 RUE DU GARDE CHASSE, 93260 LES LILASLIBRAIRIE FOLIES D’ENCRE DE MONTREUIL – 90 AVENUE DE LA RESISTANCE, 93100 MONTREUILLibrairie CYCLOPE – 127 rue DALAYRAC, 94120 FONTENAY SOUS BOIS Sinon vous pouvez me contacter directement sur facebook ou sur mon blog pour passer une commande. Vous disposez également d’un blog, qu’y trouve-t-on ?
[...]Attention !!! Pour les cinq plus rapides d’entre vous, 2 places sont à gagner pour le showcase qui aura lieu le 2 novembre prochain à la scène Bastille. Pour tenter de gagner ces places, vous devez être membre Lartino (inscription gratuite) et envoyer votre demande en cliquant ici. N’attendez pas !
[...]Lartino, partenaire des Concours de Photographie, Nouvelles et Courts-métrages Sky Prods, vous rappelle que ces concours sont ouverts à tous jusqu’au 13 novembre 2010. Rappel des modalités pour participer à ces concours : Pour le Concours de Photos, envoyez de 1 à 5 photos sur le thème des « Animaux ».Plus de 1 500 € de lots à gagner : 650 € cash, un appareil photo Leica d’une valeur de 500 €, des tirages photos, des impressions sur toiles, des abonnements magazines… Pour le Concours de Nouvelles, envoyez une nouvelle de 10 000 caractères maximum sur le thème de « La volonté ».Plus de 3 000 € de lots à gagner : un atelier d’écriture à Venise, 380 € cash, un stylo Mont-Blanc, l’édition de votre propre livre, 200 € de chèques cadeaux, des ouvrages, des livres audibles… Pour le Concours de Courts-métrages, envoyez un film d’une durée maximale de 21 minutes. Les réalisateurs auront le choix de concourir entre deux catégories : films réels ou films d’animation/3D.Plus de 2 000 € de lots à gagner : 500 € cash, 1 an de location DVD, caméscope HD, écran géant LCD, baladeur MP4 à écran tactile, chèques cadeaux…
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