Père du corps blanc, élève puis enseignant à l’école Boulle, Jérôme Mesnager est l’un des premiers taggeur Parisien. Il peint dans les rues depuis trente ans, et en trente ans son art est devenu un courant artistique communément appelé Street art (art urbain) ou graffiti. Rencontre avec un artiste passionné et passionnant … La vie artistique de Jérôme Mesnager est une aventure qui l’a conduit de par le monde à dessiner des corps blancs : New York, les pyramides en Egypte, le bagne de Cayenne, la muraille de chine… mais aussi une aventure humaine qui lui a permis de rencontrer les gens connus, Sting, Ben, Higelin, Timsit, …de travailler avec des artistes comme Miss tic, les Mosko, Jef Aérosol, Nemo…et de rencontrer son public lors de ses performances. A l’occasion de la sortie en librairie de la 1ere biographie de Jérôme Mesnager, la Rédaction de Lartino vous livre cette interview de l’artiste. Jérôme Mesnager, pouvez-vous nous parler de « Zig-Zag » ? J’ai été l’un des fondateurs, en 1982, de « Zig-Zag », un groupe d’une dizaine de très jeunes artistes en « zig-zag dans la jungle des villes » : Nous avons découvert la possibilité d’occuper la rue, en dessinant des graffitis, et aussi d’occuper brièvement, le temps d’une performance artistique, des usines désaffectées. Qu’est-ce que l’homme blanc ou Corps Blanc ? Que représente-t-il pour vous ? Le corps blanc représente la liberté, la joie de vivre, c’est l’âme de chacun d’entre nous que je projette. Ce symbole de lumière, de force et de paix est intemporel et je l’adapte à chaque situation, chaque support, en la déclinant quelques fois avec humour. Quand avez-vous créé votre premier corps blanc ? En 1982, j’ai été le corps blanc ! Faisant des performances artistiques le corps peint en blanc, puis en 1983, les premiers corps blancs peints sont apparus dans les rues Parisiennes. D’où vous est venue l’idée ? En lisant mon livre vous découvrirez que mon cheminement artistique est à la fois complexe et d’une simplicité criante.Je ne me suis pas cherché longtemps et cette empreinte est le reflet de ma personnalité. De quelle manière travaillez-vous ? De quoi vous inspirez-vous ? Lorsque l’on me voit travailler, on se dit mais c’est simple…Pourtant il m’a fallu des années pour trouver cette simplicité.Je travaille en atelier sur support brut, tel que le bois, le métal, mais aussi la toile, souvent sur des matériaux de récupération que je trouve dans la rue.La rue est mon domaine de prédilection, j’aime y rencontrer les passants qui me regardent peindre et cueillir leurs sourires. Art nouveau, pochoir, figuration libre, art déco,  … comment définiriez-vous votre travail, votre peinture ? Oui c’est vrai j’ai accompagné le mouvement pochoir et la Figuration Libre au début des années 1980, mon art s’adapte, il se mélange…Il est important pour moi de partager, surtout avec des artistes qui sont devenus des amis.Je suis un fan de l’art nouveau, de l’art déco, je m’en inspire de temps en temps mais surtout

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Mayeule (ou May) est une jeune graphiste illustratrice de talent. Originaire du pays ligérien (d’Angers plus exactement) la jeune femme met son talent au service des entreprises, des communes et même des particuliers pour répondre à leur besoin en images, et c’est à l’occasion de la sortie de sa première BD que Lartino l’a rencontrée. Mayeule, pouvez-vous svp vous présenter aux lecteurs de Lartino ? J’ai 27 ans, des images, des rêves et des couleurs plein la tête ! Après un bac littéraire je me suis orientée naturellement vers les arts appliqués, ayant un grand besoin d’expression en plus de la volonté de travailler mon trait embryonnaire… J’ai donc fait 3 ans d’arts appliqués à l’école Pivaut (Nantes), en graphisme publicitaire, où j’ai découvert une multitude de formes de création visuelle. Une fois mon diplôme obtenu, j’ai cherché du travail pendant presque 2 ans, mais la création au service de la consommation ne m’intéressait absolument pas, et mes embaucheurs potentiels l’ont bien senti ! Puis, en 2007, ayant enfin pris conscience d’être trop indépendante pour être gérable, je me suis lancée à mon propre compte. Depuis, je jongle sur divers terrains créatifs, car je me lasse très vite ! Vous êtes graphiste illustratrice, pouvez-vous nous en dire plus sur votre activité ? Je me définis comme une graphiste illustratrice, car cela englobe à peu près tous mes domaines de compétence: de la communication évènementielle à l’illustration jeunesse, en passant par l’identité visuelle, le portrait, et jusqu’à la BD… J’essaie d’appliquer mes créations à toutes formes de productions, histoire de mettre une petite touche colorée dans ce monde bien souvent sinistre ! Entreprises, particulier, organismes … ? Qui sont vos clients ? Tout le monde ! Autant des communes que des entreprises, des entrepreneurs, des associations, et même des particuliers de temps en temps… Tous ont des besoins divers en images ! Et je n’ai pas envie de trier mes clients, j’essaie de m’adapter au maximum pour ne pas toujours avoir le même genre de commande. De quelle manière travaillez-vous ? De quoi vous inspirez-vous ? Quelle que soit la commande, il y a toujours une partie recherches, où je fouine un peu partout, sur le net, dans les bouquins, les magazines, parfois même dans la rue… Puis une seconde étape de gribouillages, souvent au crayon de couleurs, où je pousse la musique bien fort et où je n’entends même plus le téléphone. Et enfin vient la partie PAO : scannage, retouches sur logiciels, travail de colorisation ou de mise en page… mais le plus dur en travaillant à la maison, ça reste de résister à l’envie de flâner continuellement sur internet en travaillant! Lartino vous a « rencontré » sur votre bédéblog, qu’est-ce qui vous a donné envie d’en créer un et que peut on y voir (y lire) ? J’ai créé mon blog l’Association de Looseuses en 2007, peu avant le lancement de mon activité, quand j’ai décidé qu’il fallait que je me mette sérieusement à travailler mon trait.

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Du 2 octobre 2010 au 16 janvier 2011, le Musée des Beaux-Arts de Dole présente l’exposition ERRÓ, 50 ans de collages. Cette exposition a été conçue par le Centre Pompidou, Musée national d’art moderne / Centre de création industrielle, Paris et réalisée par le musée des Beaux-Arts de Dole. Elle s’inscrit dans le cadre de l’année Utopies & Innovations organisée par la Métropole Rhin-Rhône. Le musée des Beaux-Arts de Dole présente l’exposition Erró, 50 ans de collages et revient sur le travail original de création de cet artiste d’origine islandaise, figure incontournable de la Figuration Narrative depuis 1964. Le musée, dont la collection d’art contemporain est essentiellement centrée sur ce courant, l’a valorisé à travers de nombreuses expositions monographiques ou collectives (Rétrospectives Monory, Peter Saul, Bernard Rancillac, Gérard Fromanger notamment, La Figuration Narrative dans les collections publiques, etc.).Dès 1985, une exposition monographique au musée des Beaux-Arts de Dole avait été consacrée à la série des musiciens produite par Erró. Cette nouvelle exposition apporte un éclairage inédit sur l’oeuvre découpé et collé de l’artiste et révèle la part secrète de son travail, trop souvent réduit à sa seule production picturale. Le musée conservant plusieurs tableaux de l’artiste, l’exposition se voit ainsi complétée d’un ensemble de peintures, telles que Brejnev de Russie (1989) qui ouvre le parcours. L’exposition du centre Pompidou, où une centaine de collages était présentée, est complétée à Dole par une vingtaine de peintures permettant de comprendre ces collages non seulement comme des œuvres autonomes mais aussi comme un véritable travail préparatoire aux peintures, soulignant ainsi le processus créatif propre à l’artiste. Illustration : Career Diplomats, 1959Éléments typographiques, illustrations de magazines et épreuve gélatino-argentique, découpés et collés sur carton de couleurMusée national d’art moderne / Centre de création industrielle, Paris, Cabinet d’art graphique© Centre Pompidou/MNAMCCI, cl. Philippe Migeat

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  Desireless, la chanteuse qui s’est fait connaitre en 1986 grâce à son titre « Voyage Voyage », revient (via Akamusic) pour présenter son nouvel album. Un tout premier titre : «  Desireless in NY » et un deuxième très bientôt :«  L’expérience Humaine »  sont extraits de ce nouvel album préparé avec Alec Mansion.

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Lartino vous invite à découvrir le tout nouveau morceau de RHR. L’artiste électro pop, que nous vous avons présenté il y a quelques semaines, revient avec une nouvelle chanson et un clip : This is a lie.

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RHR est un auteur compositeur Français (mais qui écrit en anglais) qui a contracté le « virus » de la musique à l’adolescence. Après quelques tentatives au sein de divers groupes, il a décidé de vivre sa passion en solo. Zoom sur un artiste à (re)découvrir. Que signifie  RHR ? Un rapport avec votre vrai nom ? Cela a effectivement un rapport avec mon vrai nom… mais je ne peux pas en dire plus, j’aime assez l’idée que les gens se creusent les méninges pour savoir le pourquoi du comment…lol Comment définiriez-vous votre univers musical ? Wow… c’est un univers basé avant tout sur les climats. J’aime développer des ambiances… tout s’articule autour d’une chose : la mélodie. Je dirai qu’il s’agit d’une électro pop qui tire parfois vers le rock. Quand avez-vous débuté dans la musique ? A l’adolescence. Je crois que je savais chanter avant d’apprendre à parler… le pire, c’est que c’est vrai…lol.Au collège, je passais beaucoup de temps autour du babyfoot et c’est là que j’ai entendu un gars dire qu’il cherchait des musiciens pour monter un groupe. Au culot, je lui ai dit que j’étais batteur et on a décidé de tenter l’aventure… il m’a donc fallu m’y mettre puisque je n’avais joué de cet instrument que deux ou trois fois dans ma vie. Mais comme les autres étaient à peu près aussi mauvais que moi, mon manque d’expérience est passé relativement inaperçu. Cependant, quand il s’est agit de trouver un chanteur, j’ai vite troqué mes baguettes contre un micro et je crois avoir bien fait…pour mon bien et celui des auditeurs…lolEnsuite, c’est devenu plus qu’un passe temps, une véritable passion voir une vocation, je n’ai pas cessé de faire de la musique depuis cette époque. Je crois que vous écrivez vous-même vos chansons et la musique, pourquoi ce choix ? Ce choix s’est imposé de lui-même… quand le groupe dans lequel je chantais a volé en éclat, ça a été pour moi une véritable douleur. Je ne voulais cependant pas arrêter la musique. J’ai donc décidé que dès lors, je serai mon propre chef et que je ferai tout moi-même. C’est ce que je m’emploie à faire depuis, même si pour la scène, je suis accompagné par des musiciens. Avec qui aimeriez-vous travailler ou pour qui ? Oulala… plein… j’aimerai avoir l’occasion de collaborer avec certaines de mes idoles. Martin Gore (songwritter de depeche mode) ou Robert Smith (the cure) entre autres. En France, je serai aux anges de travailler avec Etienne Daho, j’adore son univers, sa voix, ses textes. Puis, il y a ceux qui ne sont plus là, les Gainsbourg, Bashung, Nougaro…là, je crois que c’est rapé non ? on verra ça dans une autre vie…Quant à travailler pour d’autres, je m’y suis déjà mis. Je suis en train de réaliser un album pour une artiste Française : Céline Aucante. J’adore sa voix & je pense avoir trouvé un univers qui lui va bien. C’est très prometteur & cela me donne l’occasion

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Johanna Fortuné est une jeune auto entrepreneuse de 29 ans. Elle a suivi un parcours commercial diversifié en commençant par le tourisme, l’informatique, le web et l’événementiel. Depuis près d’un an, elle dirige une agence événementielle artistique et accompagne les artistes et les entreprises. Rencontre… Johanna, pouvez-vous nous présenter votre agence Sarasvati Events ? Sarasvati Events est une agence événementielle artistique spécialisée en art plastique qui fait de la promotion d’artistes dans des lieux insolites, en galeries et en entreprises. Sarasvati est la déesse des arts et de la connaissance en Inde. Quand avez-vous créé cette agence et pourquoi ? J’ai créé Sarasvati Events en septembre 2009 en tant qu’auto-entrepreneur, avec le but de rendre l’art accessible à tous.Cette agence s’adresse aux artistes qui souhaitent se faire connaître et vendre leurs œuvres, et aux entreprises qui souhaitent intégrer l’art dans leurs événements d’entreprises.Les objectifs principaux de Sarasvati Events sont de faire connaitre les artistes qu’elle représente. Quel lien faites-vous entre l’art et le monde de l’entreprise ? Intégrer l’Art dans le monde de l’entreprise crée un lien nouveau, dynamique et original pour communiquer. On peut « Faire de l’art un moyen de communication » interne ou externe. Quelles sont les avantages pour une entreprise d’introduire l’art dans son mode de communication ? Les avantages pour les entreprises d’introduire l’art dans leurs événements ou mode de communication sont la valorisation de leur image de marque, le dynamisme qu’elle renvoie à ses collaborateurs, partenaires et clients, mais aussi soutenir l’Art et les artistes vivants. Est-ce possible pour n’importe quelle entreprise ? Intégrer l’Art dans des événements est possible pour n’importe quelle entreprise. Sarasvati Events s’adapte aux besoins et aux budgets de chacun. Et du côté des artistes, comment les aidez-vous à se faire (re)connaitre ? Pour faire connaitre un artiste il faut d’abord croire en lui, en ses œuvres et en ses convictions. On travaille sur des thématiques, ensuite, je me charge de trouver les lieux adaptés à leurs œuvres pour les exposer. Puis, il y a un grand travail de Relations Publiques et de Relations Presses. Comment choisissez-vous les lieux d’exposition ? Je choisis les lieux en fonction des artistes, mais aussi en fonction de leur rapport avec l’art, de l’espace d’accrochage et du passage. Quels sont les prochains événements que vous organisez ? Vous pourrez, en partenariat avec L’Artino retrouver dès le 15 septembre l’exposition « Ecoutez-voir le jazz » par Jean Claude Bertrand au showroom Artelano Paris 7ème, ainsi que l’expo « Visages dans l’abstraction » par André Veltz dès le 6 septembre à l’Hôtel Beaumarchais Paris 11ème visibles ici. Quel regard portez-vous sur l’art en France et plus généralement sur la culture ? Je me rends compte que le grand public aime rencontrer l’Art en dehors des galeries et des musées. Il aime être surpris. Cela dit, il faut créer des automatismes pour aider les nouveaux acheteurs à faire le pas. La culture en France est très diversifiée et c’est une chance de pouvoir promouvoir des artistes de

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Grande première pour le concours des Franc’Off, qui vivait sa seizième édition, le jury vient de récompenser un groupe chantant en anglais : Folks Divine. Folks Divine sera donc à l’affiche officielle des Francofolies 2011 A l’origine, FOLKS DIVINE est né de la guitare et de la voix  de David Folkmar. Toutefois, il a rapidement su s’entourer et faire évoluer son projet vers une véritable aventure de groupe. Auteur – compositeur – interprète d’origine belgo-danoise, David Folkmar a toujours été bercé dans un environnement culturel anglophone. Influencé par Radiohead, Elbow, U2, Pink Floyd, Depeche Mode, Pearl Jam ou encore Peter Gabriel, il a travaillé sur de nombreuses maquettes avec son acolyte, Paolo Pan, lui-même auteur et compositeur.   Sur scène, le groupe a trouvé son équilibre musical. Ainsi, les guitares folks et électriques sont assurées par Paolo Pan, David Sonck et David Folkmar tandis que les sessions rythmiques sont l’affaire du batteur Benoît Derycke et du bassiste Renaud Wens. Rappelons que ce groupe a notamment fait ses débuts sur la plateforme communautaire Akamusic, en déposant en 2008 quelques maquettes sur le site, et en convaincant rapidement 185 internautes producteurs Envie de découvrir Akamusic ? Pour recevoir un code, vous devez être membre Lartino (inscription gratuite) et envoyer votre demande en cliquant ici. N’attendez pas !

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